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Aux élections de 1998, André Boisclair est à nouveau reconduit dans ses fonctions de député. Il occupe le poste de ministre de la Solidarité sociale de 1998 à 2001. En 2002, il est nommé ministre de l'Environnement et des Affaires municipales, fonction qu'il occupe jusqu'aux élections du 14 avril 2003, remportées cette fois par le Parti libéral du Québec. Malgré la défaite de son parti, André Boisclair est encore une fois réélu dans Gouin.
En Octobre 2005, Lysiane Gagnon, chroniqueuse du journal La Presse, remet en cause la valeur de son diplôme obtenu aux États-Unis, soulignant que l'on ne peut pas avoir de maîtrise sans avoir au moins un baccalauréat . Sommée de se rétracter suite à une mise en demeure émise à son endroit, elle s'exécute deux jours plus tard.
Quelques semaines après, le Parti québécois décide de lui attribuer un salaire d'environ 120 000 $ par année, puisé directement dans les contributions des membres. Cette décision fut très controversée chez les militants péquistes.
Puis, la population et les journalistes se plaignent, au cours des mois, de ses absences et de son manque de visibilité. Il répond à ces critiques en affirmant qu'il se déplace beaucoup et qu'il privilégie le travail de terrain afin de reconstruire les organisations péquistes locales.
Le 14 août 2006 au Québec, André Boisclair fait son retour à l'Assemblée nationale du Québec, suite à sa victoire lors d'une élection partielle dans la circonscription de Pointe-aux-Trembles (Est de Montréal). Il succède alors à la députée Nicole Léger (à ses côtés sur la photo ci-dessus). Il est assermenté une semaine plus tard, accédant au titre de chef de l'opposition officielle de l'Assemblée nationale du Québec, remplaçant ainsi Louise Harel, qui en avait assuré l'intérim depuis la démission de Bernard Landry, le 6 juin 2005 .
Lors d'un Conseil national du Parti québécois en Octobre 2006, il refuse de se soumettre à une résolution sur l'environnement votée par une majorité des délégués présents. Alors que ses militants préconisent la nationalisation de l'énergie éolienne, lui juge cette idée trop « audacieuse ».
Cette décision est critiquée par plusieurs membres du parti, mais saluée par des chroniqueurs de La Presse et du journal Le Devoir. À Matane, le 19 décembre 2006 au Québec, André Boisclair confirme sa décision de ne pas nationaliser l'énergie éolienne, se disant d'accord pour qu'Hydro-Québec procède par appels d'offres avec le secteur privé, mais exigeant que le gouvernement encadre de façon claire le développement de la production éolienne.
Vers la fin de l'année, André Boisclair accepte de jouer dans un sketch des Justiciers masqués, diffusé dans la nuit du nouvel an (2007). Ce sketch parodiait le controversé film Le Secret de Brokeback Mountain, portant sur l'homosexualité de deux hommes mariés. Sa participation à ce sketch humoristique souleva un tollé. La journaliste Denise Bombardier prétendit d'ailleurs que le sketch n'était pas drôle du tout et dénigrait les homosexuels. Aussi, elle demanda à André Boisclair de démissionner, sous prétexte qu'il n'était pas à la hauteur de sa fonction.
En Janvier 2007, André Boisclair affirme que son gouvernement ne ferait pas de copinage envers les syndicats, accusant au passage ses prédécesseurs de favoritisme envers ces groupes.
Le mois suivant, suite à un sondage dévastateur, Bernard Landry critique violemment le leadership de son successeur, le jugeant responsable de la déconfiture de son parti (passé de 50% à 30% en un an et demi; l'option souverainiste ayant également chuté) et l'invitant à plus d'humilité et de modestie. Quant à Yves Michaud, il va même jusqu'à réclamer sa démission.
Les libéraux accusent André Boisclair d'incohérence dans le dossier du prolongement de l'Autoroute 30 . Pendant la campagne, des péquistes désabusés prennent publiquement leurs distances face à leur parti. Aussi, André Boisclair se trouve obligé de dialoguer avec les anciens sympathisants de son parti . Selon les analystes, c'est lui qui a le plus à gagner au cours du débat des chefs , qui s'avère finalement<includeonly></includeonly> un match nul , bien que lui-même, ou Mario Dumont soient perçus comme les plus performants .
Le 16 mars, André Boisclair annonce que le Parti québécois pourrait tenir un référendum même en cas de gouvernement minoritaire, et qu'il serait prêt à en faire plusieurs de suite jusqu'à la victoire du OUI. [#]. Jacques Parizeau et Bernard Landry affirmeront par contre que ce geste serait impossible. Pour la première fois, un sondage lui donne une légère avance, le 17 mars. [#]. Le 18, alors qu'il courtise les socialistes, Dumont affirme en revanche qu'il est le prisonnier du groupuscule SPQ Libre [#].
Le jour du scrutin, le 26 mars, le Parti québécois fait élire 36 députés, ce qui est son pire résultat électoral depuis 1989, lorsque Jacques Parizeau avait été défait par Robert Bourassa. De plus, en nombre absolu de votes, ce résultat est inférieur à celui du parti en 1970, à l'époque de René Lévesque . Le parti a néanmoins réussi à conserver certaines circonscriptions qui lui sont traditionnellement favorables (notamment au Saguenay-Lac-Saint-Jean, en Gaspésie, en Abitibi et dans l'est de Montréal).
Malgré la contestation ouverte de sa direction, André Boisclair affirme vouloir rester à la tête du Parti québécois. Il devient alors chef du deuxième groupe d'opposition, l'Action démocratique du Québec formant la nouvelle opposition officielle.
Certains croient qu'il doit être remplacé par le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe. Dans une entrevue qu'il accorde au début de Mai 2007, André Boisclair dénonce ce qui, pour lui, sont des manoeuvres visant à le déloger. Il mentionne alors le nom de Gilles Duceppe, qu'il dit en faveur de l'« affirmation nationale », courant dont il se méfie. Le 8 mai 2007 , ayant perdu l'appui de la majorité des députés de son Caucus, André Boisclair annonce finalement sa démission comme chef du Parti québécois,. Il précise néanmoins qu'il conservera son poste de député de Pointe-aux-Trembles. Suite à cette démission, l'ex-candidat péquiste Réjean Thomas déclare qu'André Boisclair a été chassé par les « dinosaures » du Parti québécois. Il fait alors référence à Yves Michaud, Denis Lazure et Bernard Landry.
Après la démission d'André Boisclair, la course à la direction du Parti québécois commence, mais seule Pauline Marois y participe officiellement, puisque Gilles Duceppe, pourtant vu comme son éventuel successeur, se retire, après une journée. Le 26 juin 2007 , Marois succède à Boisclair.
Le 15 octobre 2007 au Québec, André Boisclair annonce qu'il quitte la vie politique. De fait, il confirme qu'il laissera, le 15 novembre 2007 au Québec, son siège de député de Pointe-aux-Trembles. Pour son parti, cette date est symbolique, car elle soulignera le 31e anniversaire de l'élection du premier gouvernement péquiste. Pour Boisclair, elle souligne plutôt le deuxième anniversaire de son élection à la direction du PQ.
André Boisclair a refusé d'écarter tout recours à la médecine à deux vitesses. Aussi, la nomination de Daniel Audet (de l'Institut économique de Montréal) à titre de conseiller est un signe de sa volonté de recentrage.
Quant au statut du Québec et des Québécois, André Boisclair est un partisan du nationalisme civique. Il souhaite donc que le combat indépendantiste soit coupé de toute référence historique, ethnique ou linguistique, comme en témoignent sa modération dans le dossier des accomodements raisonnables (notamment en ce qui a trait au droit de faire du sport en portant le Hijab, et à la présence du Crucifix à l'Assemblée Nationale).
André Boisclair est également opposé aux thèses des souverainistes "purs et durs" et au principe d'une élection sur la souveraineté, principe selon lequel la prise du pouvoir par le Parti québécois servirait uniquement de transition vers le statut de pays par le biais d'une série de "gestes de souveraineté" brisant la légalité constitutionnelle canadienne. Plutôt, le programme électoral d'André Boisclair se limitait à une simple gestion provinciale, en plus de la promesse d'un référendum le plus rapidement possible. Les indépendantistes les plus identitaires virent en lui le représentant d'une élite montante dangereuse.
André Boisclair s'oppose à toute modification à la Charte de la langue française.
En 2005, pendant la course à la chefferie du Parti québécois, une controverse vient assombrir sa campagne. En effet, l'Affaire Boisclair éclate vers la fin de septembre, après qu'il eut avoué avoir consommé de la Cocaïne à quelques reprises alors qu'il était Ministre. Quelques jours après cette déclaration, André Boisclair annonce malgré tout qu'il ne se désistera pas de la course, et presse les médias et la population de tourner la page sur cette affaire.
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