Arpajon
2°14′54″E / .., ..] Pour les articles homonymes, voir Arpajon (homonymie). Arpajon (prononcer ) est une Commune française située à trente kilomètres au sud-Ouest de Paris dans le département de l'Essonne et la région Île-de-France. C'est le Chef-lieu du canton et le siège de la communauté de communes de l'Arpajonnais. Ses habitants sont appelés les Arpajonnais. GéographieType d'occupation | Pourcentage | Superficie(en hectares) |
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Espace urbain construit | 79 % | 188,10 | Espace urbain non construit | 11 % | 25,73 | Espace rural | 10 % | 24,28 | Source : Iaurif |
Arpajon est située dans la grande agglomération parisienne au coeur du département de l'Essonne et de la région naturelle du Hurepoix. Le territoire communal ne représente que 240 hectares mais c'est la capitale du pays Arpajonnais qui s'étend de Breuillet à Brétigny-sur-Orge et de Leuville-sur-Orge à Cheptainville. La relative petite taille de la commune n'empêche pas une dénivellation importante entre quatre-vingt neuf et quarante-sept mètres d'altitudes et entraîne une concentration relativement importante des constructions, sur près de 80 % du territoire. Les espaces agricoles qui ne représentent que 10 % du territoire sont situés à l'extrême nord-est de la commune en bordure de la Route nationale 20. Deux cours d'eau traverse la commune, l'Orge et la Rémarde. La commune est traversée du nord au sud par la Route nationale 20 qui contourne par l'ouest le Centre-ville. C'est aussi le point convergent des départementales 116 depuis Dourdan, 449 depuis La Ferté-Alais et 152 depuis Brétigny-sur-Orge. Le territoire est aussi traversé du nord-est au sud-ouest par la ligne de chemin de fer Brétigny-Tours empruntée par la ligne C4 du RER. Arpajon est situé à trente kilomètres au sud-ouest de Paris-Notre-Dame, quatorze kilomètres au sud-ouest d'Évry, quatorze kilomètres au sud de Palaiseau, six kilomètres au sud-ouest de Montlhéry, quatorze kilomètres au nord-ouest de La Ferté-Alais, dix-huit kilomètres au nord-est de Dourdan, dix-neuf kilomètres au nord-est d'Étampes et vingt-sept kilomètres au nord-ouest de Milly-la-Forêt. La commune est aussi située à quatre cent onze kilomètres au nord de son homonyme Arpajon-sur-Cère dans le Cantal. HydrographieArpajon se trouve au confluent de la Rémarde et de l' Orge, qui se rejoignent et se séparent en Centre-ville pour définitivement se lier à la frontière avec Saint-Germain-lès-Arpajon. Sur le territoire communal, les deux rivières évoluent en parallèle, la Rémarde vient du sud-ouest depuis Ollainville, plus au sud, l'Orge vient du sud-ouest depuis Égly, les deux cours d'eau allant vers le nord-est. Relief et géologieLe Centre-ville est situé dans la Vallée de l'Orge approximativement à quarante-sept mètres d'altitude mais le territoire s'étend au nord et au sud et s'élève rapidement vers le plateau d'Avrainville au sud ou de La Norville à l'est et les prémices de la colline de Linas au nord, ce qui oblige à gravir pour sortir de la commune. Le point culminant de la commune à quatre-vingt neuf mètres est situé dans la zone d'activité nord de la Butte aux Grès, à proximité de la forêt de Linas. Cette situation encaissée entraîne notamment la présence incongrue d'antenne réceptrice de télévision à quelquefois une dizaine de mètres au dessus des toits. Le territoire se trouve à la limite des espaces géologiques de Calcaire du Bassin parisien et du Sable de la Beauce, avec à l'extrême nord des vestiges de carrières de grès. Communes limitrophesLa commune, au territoire relativement petit est entouré du nord à l'est par Saint-Germain-lès-Arpajon dont la Rémarde et l'Orge forment la frontière, à l'est et au sud-est par La Norville, au sud par le village d'Avrainville, àau sud-ouest par Égly et à l'ouest et nord-ouest par la commune d'Ollainville. Sous l' Ancien Régime, la commune rayonnait sous ces villages, certains comme Saint-Germain-lès-Arpajon en faisant même partie intégrante. | Ollainville | Saint-Germain-lès-Arpajon | Saint-Germain-lès-Arpajon | | Ollainville | N | Saint-Germain-lès-Arpajon, La Norville | O Arpajon E | S | Égly | Avrainville | La Norville |
ClimatArpajon est située en Île-de-France et bénéficie d'un Climat océanique dégradé, caractérisé par des hivers frais, des étés doux et des précipitations également réparties sur l'année. Les températures moyennes relevées à la station départementale de Brétigny-sur-Orge s'élèvent à 10,5°C avec des moyennes maximales et minimales de 14,9°C et 6,2°C. Les températures réelles maximales et minimales relevées sont de 24,3°C en Juillet et 0,4°C en Janvier, avec des records établis à 38,2°C le 1er juillet 1952 et -19,6°C le 17 janvier 1985 . La situation en grande Banlieue de la commune entraîne une moindre densité urbaine et une différence négative de un à deux degrés celsius avec Paris. Toutefois, située à proximité du centre urbain et sans présence de vastes espaces de culture, l' Ensoleillement de la commune s'établi à 1 798 heures annuellement, comme sur l'ensemble du nord du département. Avec 610 millimètres de précipitations cumulées sur l'année et une répartition approximative de cinquante millimètres par mois, la commune est arrosée dans les mêmes proportions que les autres régions du Nord de la Loire. Mois | Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. | Année |
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Températures maximales moyennes (°C) | 5,7 | 7,4 | 10,6 | 14,2 | 18 | 21,5 | 24,3 | 23,9 | 20,9 | 15,9 | 9,8 | 6,5 | 14,9 |
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Températures minimales moyennes (°C) | 0,4 | 0,9 | 2,5 | 4,7 | 7,9 | 10,8 | 12,7 | 12,4 | 10,2 | 7 | 3,3 | 1,3 | 6,2 |
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Températures moyennes (°C) | 3,1 | 4,2 | 6,6 | 9,5 | 12,9 | 16,2 | 18,5 | 18,2 | 15,6 | 11,5 | 6,5 | 3,9 | 10,5 |
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Ensoleillement (h) | 59 | 89 | 134 | 176 | 203 | 221 | 240 | 228 | 183 | 133 | 79 | 53 | 1798|-!style="text-align:left"|Moyennes mensuelles de précipitations (mm) | 50,4 | 43,7 | 51,5 | 47,6 | 58,9 | 49,7 | 53,3 | 46,1 | 51 | 51 | 56 | 51 | 610,2|-|colspan="14" style="font-size:90%;text-align:center"|Source : Climatologie mensuelle - Brétigny-sur-Orge, France. |
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Transports L'axe principal du territoire reste la Route nationale 20 qui évite par une déviation à l'ouest le Centre-ville depuis 1956 et traverse Arpajon du nord au sud. La commune est aussi le point de convergence de trois routes départementales importantes du département, la RD 116 qui mène à Dourdan à l'ouest, la RD 449 qui mène à La Ferté-Alais au sud et la RD 152 qui mène à Brétigny-sur-Orge à l'est. S'ajoute la RD 192 qui fait office de voix rapide de ce qui tend à devenir l'agglomération d'Arpajon- Égly- Breuillet. La commune est enfin située à quatre kilomètres au sud de la Francilienne, axe majeur régional qui permet l'accès rapide aux autoroutes A10 et A6. La commune est aussi traversée d'est en ouest par la ligne Brétigny - Tours, empruntée par la ligne C4 du RER avec un terminus à Dourdan La Forêt et un accès à la capitale. Elle dispose sur son territoire de la Gare d'Arpajon desservie par deux trains par heure. De nuit, la ligne N131 du Noctilien assure la continuité du service RER avec un arrêt en gare d'Arpajon. La commune est aussi desservie par la ligne 91.04 du réseau Transessonne à destination d'Évry, par les lignes Daniel Meyer DM151 à destination de Paris-Porte d'Orléans, DM153 à destination de Massy-Palaiseau, DM19 à destination de Brétigny-sur-Orge et DM20 pour le pays arpajonnais entre Égly et La Norville. Les lignes 68.01 et 68.05 du réseau de bus Ormont mènent à Bruyères-le-Châtel et Boissy-sous-Saint-Yon. La ligne 038.018 de la S.A.V.A.C mène à Limours-en-Hurepoix. Des navettes gratuites assurent le transport sur le territoire communale, dont certaines dédiées aux Troisième âge. L'Aéroport Paris-Orly n'est situé qu'à dix-huit kilomètres, facilement accessible par la route nationale 20, l'aéroport Paris-Charles-de-Gaulle est lui situé à cinquante et un kilomètres, pour le trafic particulier et de loisir, l'aéroport d'Étampes Mondésir est lui à vingt-sept kilomètres. Lieux-dits, écarts et quartiersLa commune n'étant pas très étendue, elle ne dispose pas précisément d'un découpage en quartiers. Néanmoins, il est possible de distinguer le Centre-ville, le quartier de la gare, le Moulin de Cerpied. Au nord à proximité, se trouve le lieu-dit La Montagne, en référence à la côte pour y accéder depuis le centre-ville et à l'extrême nord, l'ancien quartier des Folies aujourd'hui devenu la zone d'activités la Butte aux Grès. Deuxième zone d'activités, Les Belles Vues rappellent le caractère dominant la vallée de cet espace jadis agricole. ToponymieLes gallo-romains placèrent un castrum pour surveiller le passage de l' Orge sur la route entre Lutèce et Cenabum, castrum qui devint Chastres vers l'an 250 puis Châtres (parfois Châtres-sous-Montlhéry) au XVIIe siècle avec la réforme de l'orthographe et l'apparition de l'accent circonflexe à la place du « s » muet. En 1720, Louis VI issu de la Famille d'Arpajon du Rouergue acheta le Marquisat de Châtres. Il obtint du Régent Philippe d'Orléans le privilège de donner son nom à la ville qui devint Arpajon, diffusant de force le nom en battant les paysans qui avaient le malheur de répondre Châtres à la question « où résides-tu ? ». En 1794, Philippe de Noailles et son épouse Anne Claudine Louise d'Arpajon, première dame d'honneur de Marie-Antoinette furent guillotinés, la commune prît le nom de Franc-val ou Franeval pour revenir à Arpajon en 1801. Comme pour Avignon et Arles, la préposition « en » n'est pas utilisée. On dira « une résidence à Arpajon ». À l'inverse, l'on dira « une résidence en Arpajonnais ». Histoire Le village fut fondé dès l'époque romaine sur la voie reliant Lutèce ( Paris) à Genabum ( Orléans), un camp romain surveillait le passage de l' Orge, elle s'appelait alors Chastres puis Châtres. En 1960, des vestiges de cette époque ont été retrouvés (en particulier un cimetière). En 1006 les bénédictins de l'Abbaye de Saint-Maur rebâtirent l'église Saint-Clément qui était en ruine, ils y ajoutèrent un cloître et une grange aux dîmes. Il y avait plusieurs moulins sur l'Orge et la Rémarde. De nos jours ceux-ci ont presque tous disparu. En 1360, la ville fut assiégée par le roi d'Angleterre et l'église fut incendiée. En 1470 la seigneurie de Chastres appartenait au seigneur de Marcoussis, l'amiral de Graville, qui autorisa le marché et fit construire une halle. En 1545, la seigneurie de Chastres devint indépendante et fut tenue successivement par trois familles jusqu'en 1720 où Louis de Severac, marquis d'Arpajon l'achèta et lui donna son nom actuel. En 1782, Benjamin Franklin installa un Paratonnerre sur la flèche de l'église saint-Clément. À la Révolution, elle a porté le nom de Francval et le seigneur du lieu, Philippe de Noailles, fut guillotiné avec son épouse Anne-Claude d'Arpajon. Le château fut vendu en 1802 et démoli. En 1851 les frères Martin, originaires de Limoges, implantèrent une usine de chaussures qui, en 1900, employait 450 adultes et environ 50 enfants. Elle fut rachetée par les chaussures André en 1920 et ferma ses portes définitivement en 1956. Dans les villages environnants, Marcoussis, Linas, Montlhéry, la culture maraîchère était très importante et, de 1911 à 1936, un petit train nommé l'Arpajonnais reliait ces villages aux halles de Paris pour y apporter chaque matin tomates, fraises, haricots cultivés dans les champs. DémographieÉvolution démographiqueArpajon connaît l'évolution démographique d'un bourg de province aujourd'hui intégré à l'agglomération parisienne. De 1 988 Arpajonnais décomptés lors du premier Recensement de 1793, la population a lentement crût jusqu'à un premier accident démographique en 1846 où la population tombe à 2 017 et un second plus important en 1856 où elle chute à 1 890. Ensuite, la démographie fît un bon jusqu'à 2 822 en 1872 pour relativement se stabiliser avant une nouvelle croissance soutenue au sortir de la première guerre mondiale avec 3 221 en 1921, encore accrue après la seconde et la construction de grands ensembles pour atteindre 4 550 personnes en 1954, 8 105 en 1975 et finalement 9 615 lors du recensement partiel de 2006. En 1999, 10,8 % des Arpajonnais étaient de nationalité étrangère et 14 % des foyers étaient composés de familles monoparentales soit 2 points supplémentaires pour chacune des catégories comparativement aux chiffres du département. Évolution démographique <nowiki /> | <nowiki /><nowiki /> | <nowiki /><nowiki /> | <nowiki /><nowiki /> | <nowiki /> | Source : Insee et base de données Cassini Histogramme (élaboration graphique par Wikipédia) Pyramide des âgesLa Pyramide des âges d'Arpajon présente un relatif déficit sur les deux catégories les plus basses, correspondantes au personnes âgées de moins de trente ans en 1999. De fait, seuls 28,6 % de la population était âgée de moins de vingt-cinq ans à cette date soit cinq points de moins que pour l'ensemble de l' Essonne. Le prix relativement élevé des résidences, l'absence de lieux d'accueil pour les jeunes enfants et les collégiens et l'éloignement des centres universitaires peuvent expliquer cette situation. Néanmoins, on ne note pas la présence accrue de population âgée malgré le fait que les retraités représentaient en 1999 la première catégorie socioprofessionnelle (20,81 %) devant les employés (19,27 %) et les professions intermédiaires (16,79 %). Administration et politiqueArpajon est le Chef-lieu du canton représenté par la conseillère générale Monique Goguelat (PS). Elle est attachée à la troisième circonscription de l'Essonne représentée par la députée Geneviève Colot (UMP). Son maire actuel est Pascal Fournier (PS), assisté de huit adjoints choisis parmi le Conseil municipal composé de vingt-neuf élus répartis après les dernières élections de 2008 en vingt-six élus socialistes et seulement trois élus UMP dans l'opposition. La commune disposait avant la réforme de la justice d'un tribunal d'instance mais dépend aujourd'hui de celui de Longjumeau, comme pour le conseil des prud'hommes et des tribunaux de grande instance et de commerce d' Évry, tous attachés à la cour d'appel de Paris. En 2007, la commune disposait d'un budget de 22 920 000 euros dont 12 553 000 euros de fonctionnement et 10 367 000 euros d'investissement. En 2006, les taux d'imposition s'élevaient à 11,78 % pour la Taxe d'habitation, 14,74 % et 46,78 % pour la Taxe foncière (bâti et non bâti) et 15,07 % pour la Taxe professionnelle fixée par l'Intercommunalité. La commune dispose d'un centre communal d'action sociale, la commune dispose sur son territoire de neuf cent quarante sept logements HLM soit 24 % du parc total. La commune est le siège de la communauté de communes de l'Arpajonnais qui regroupe quatorze communes, compétente pour le développement économique, l'aménagement de l'espace et des voiries, les politiques de logements sociaux, du sport, de la culture et de la petite enfance, la collecte et le traitement des Ordures ménagères et l'accueil des gens du voyage. Elle adhère en outre au Syndicat mixte de la vallée de l'Orge aval (SIVOA) avec trente-deux communes pour la préservation et la valorisation de l'Environnement. Maires d'Arpajon Liste des maires successifs Résultats politiquesÉlections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :- élection présidentielle de 2007 : 56,76 % pour Nicolas Sarkozy (UMP), 43,24 % pour Ségolène Royal (PS), 82,56 % de participation.
- élection présidentielle de 2002 : 81,80 % pour Jacques Chirac (RPR), 18,20 % pour Jean-Marie Le Pen (FN), 75,00 % de participation.
Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :- élections législatives de 2007 : 56,68 % pour Geneviève Colot (UMP), 43,32 % pour Brigitte Zins (PS), 55,05 % de participation.
- élections législatives de 2002 : 58,63 % pour Geneviève Colot (UMP), 41,37 % pour Yves Tavernier (PS), 56,66 % de participation.
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores :Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores :Élections cantonales, résultats des deuxièmes tours :- élections cantonales de 2004 : 50,87 % pour Philippe Le Fol (DVD), 49,13 % pour Monique Goguelat (PS), 63,25 % de participation.
Élections municipales, résultats du deuxième tour 2001, tour unique en 2008 :- élections municipales de 2008 : 77,29 % pour Pascal Fournier (PS) élu au premier tour, 22,71 % pour Philippe Catrou (UMP), 55,77 % de participation.
- élections municipales de 2001 :, 38,14 % pour Pascal Fournier (DVG), 35,78 % pour Patrick Sarradeil (DVD), 58,23 % de participation.
Élections référendaires :- Référendum de 2005 relatif au traité établissant une Constitution pour l'Europe : 51,73 % pour le Non, 48,27 % pour le Oui, 68,26 % de participation.
EnseignementArpajon compte 3 lycées :- Lycée Edmond Michelet : Enseignement général et technologique. C'est l'un des 3 lycées de l'Essonne qui possède une section de BTS IRIS (Informatique et Réseau pour l'Industrie et les Services).
- Lycée Général Technologique René Cassin
- Lycée Professionnel Paul Belmondo
Aucun collège- 3 écoles maternelles et primaires publiques : Anatole France, Edouard Herriot, La Rémarde.
- 1 école maternelle et primaire privée : Ecole Sainte Jeanne D'Arc.
Une école de musique (conservatoire). Santé- Un hopital (Centre Hospitalier d'Arpajon)
- Une clinique privée (Clinique des Charmilles)
- Une maison de retraite (Guinchard)
- 4 pharmacies
- 2 laboratoires d'analyse médicale (2 adresses mais mêmes propriétaires)
- 13 médecins généralistes (pages jaunes au 9/04/08)
- 10 dentistes répertoriés (pages jaunes au 9/04/08), mais au moins 12 en comptant un cabinet dentaire
- 9 masseurs kénésithérapeutes
- 2 accupuncteurs
- 1 homéopathe (peut être deux)
- 1 osthéopathe
Services Publics - un bureau de postes
- une gare SNCF (RER)
- une gare routière
- une Caisse Primaire d'Assurance Maladie
- un commissariat
- un centre des impots en deux parties (recette et trésorerie à deux adresses distinctes)
JumelagesArpajon a développé des associations de Jumelage avec :Vie quotidienne à ArpajonCulture Arpajon, haut lieu du cinéma de par ses studios, est dotée d'un cinéma indépendant comportant cinq salles, dont une grande salle de quatre cents places. Il y est projeté chaque semaine entre six et douze films en exclusivité ainsi que certains films, parfois d'art et d'essai, en version originale. Prix de la place : 7,80 euros.Films tournés en ArpajonFilms tournés dans les studios de Saint-Germain-lès-ArpajonFilms tournés dans la ville d'Arpajon- Le Président (1961) avec Jean Gabin. Tourné place du Marché et porte de Paris.
- La Vie à la française (1962) tourné devant le magasin Thirion en nocturne. Pour tourner cette séquence (un couple sur un scooter), il fallait qu'il pleuve, ce soir-là, il faisait beau. Ce sont les pompiers d'Arpajon, MM. Piquet et Richard entres autres commandés par Raymond Leroux qui produisirent une fausse pluie avec une lance.
- Paris brûle-t-il ? (1966)
Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! SportArpajon a été ville-étape du Tour de France 1999. Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Festivités - Le troisième week-end de septembre a lieu à Arpajon la « Foire aux haricots », manifestation commerciale et artisanale qui dure quatre jours. Le haricot ici fêté est le chevrier.
D'autres festivités dont le Carnaval entrainent la présence d'une fête foraine 3 à 4 semaines par an. Lieux de cultes L'église Saint-Clément (catholique). Médias Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Économie Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Culture et PatrimoinePatrimoine environnementalSi 80 % du territoire communal est bâti, il subsiste quelques parcs et jardin publics. Le plus ancien, au 4 rue Henri Barbusse fût installé au XIXe siècle. Cinq autres parcs agrémentent la ville, le parc Chevrier, le parc de Freising, le parc du 100 Grande Rue et le parc Théophile Guesdon, le parc de la Rémarde. Les bords de la Rémarde et de l'Orge sont encore occupés sur la plupart des berges par des espaces naturels. Ce patrimoine environnemental permet à Arpajon d'être récompensé depuis 2008 par deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris. Le nord-ouest de la commune est encore occupé par des espaces de culture, rappelant le caractère agricole de la commune spécialisée dans le Maraîchage. Patrimoine architectural Le patrimoine d'Arpajon est varié et marqué par les différentes époques prospères pour la commune. La halle du marché construite en 1470 longue de trente-cinq mètres et large de dix-huit est classée monument historique depuis 1921. Les anciennes écuries du château abritent aujourd'hui la bibliothèque municipale. L'église saint-Clément, reconstruite au XVIe siècle sur les ruines de l'édifice du XIe siècle et remaniée au XIXe siècle est classée monument historique depuis 1926. La cloche fondue en 1643 elle aussi classée depuis 1944 sonne en ré. S'ajoute le lavoir construit en 1748 et agrandi en 1824, la porte de Paris réaménagée en 1730 avec deux pilastres de dix mètres de haut, une maison du XVe siècle subsiste au numéro 12 de la place du Marché, elle est classée monument historique depuis 1966. L'Hôtel-Dieu fondé au XIIe siècle pour abriter les pèlerins sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, il devint un hôpital sous la Révolution mais fût entièrement reconstruit de 1819 à 1852. Il est toujours utilisé comme maison de retraite. S'ajoute la Mairie construite en 1868 agrémentée par la place de l'Hôtel de Ville de 1776 et réaménagée en 1868 classée depuis 1944. Plusieurs demeures de notables ou de villégiature du XIXe siècle marquent l'importance de la commune à l'époque, dont celles du 34 boulevard Aristide Briand de 1884, du 42 boulevard Aristide Briand, du 4 rue Henri Barbusse, du 53 rue de la Libération, du 21 rue Pasteur, la villa Charlotte au 5 boulevard Jean Jaurès et la villa La Source au 2 rue Henri Barbusse agrémentée d'une Pagode Tonkinoise rachetée après l'Exposition universelle de Paris de 1889. Cette nouvelle commune de villégiature était accessible par la gare construite en 1864. En 1947 furent construits les bains douches devenus le tribunal d'instance en 1985. Personnalités- Corbinien de Freising (680-730), évêque et Saint catholique y vécut.
- René Liger (?-v.1801), Prêtre et Pamphletiste y vécut.
- Louis Bérard (1783-1859), homme politique en fût le député.
- Charles Truche (1870-1951), professeur de médecine découvreur du sérum antipneumococcique et du milieu de culture qui porte son nom (milieu T), pionnier de la pathologie aviaire y est né et inhumé.
- Louis Babin (8 août 1889 -15 décembre 1941 ), médecin et radiologue. Dénoncé aux Allemands comme communiste, il finit fusillé avec huit autres personnes du camp de Choisel.
- Camille Danguillaume (1919-1950), coureur cycliste y est mort.
- David Galula (1919-1967), Lieutenant-colonel y est mort.
- François-Alexandre Galepide dit Moustache (1929-1987), Musicien et Comédien y est mort.
- Joël Robuchon (1945- ), célèbre Cuisinier reçut la médaille d'or de la ville d'Arpajon en 1966.
- René Fontaine (1946- ), chocolatier exerça quelques temps à Arpajon.
- François-Michel Gonnot (1949- ), homme politique y est né.
- Wadeck Stanczak (1961- ), Acteur y est né.
- Emmanuel Collard (1971- ), pilote automobile y est né.
- Sébastien Hamel (1975- ), footballeur y est né.
- Abel Cornaton est considéré comme une personnalité de la commune pour y avoir été maire pendant près de trente ans.
Héraldique | Écartelé, au premier, de Gueules à la croix de Toulouse d'Argent ; au deuxième, d'Argent à quatre pals de Gueules ; au troisième, de Gueules à la Harpe d'or ; au quatrième, d'azur à trois fleurs de lys d'or, au bâton de Gueules péri en barre ; sur le tout de Gueules à la Croix de Malte d'Argent. Ce blason est une adaptation de celui du marquis Louis VI d'Arpajon, seigneur de la ville, qui était écartelé, au premier et au quatrième d'azur aux trois fleurs de lys d'or et à la bordure du même, au deuxième et au troisième de gueules à la harpe d'or et de celui de l'ancienne commune de Chastres. La présence de la harpe en font des Armes parlantes. Il apparaît sur la motrice numéro BB 9280 de la SNCF dans le cadre du parrainage des matériels par les communes. | | Mythes, légendes et anecdotes Cette section est vide, pas assez détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Pour approfondirArticles connexesLiens externesBibliographie- Jean-Marie Alliot, Les curés d'Arpajon, Éd. P. Lamouche, 1889.
- Collectif d'auteurs, Arpajon, les grandes étapes de son histoire, Éd. Municipalité d'Arpajon.
- J. Peyrafitte, Il était une fois l'Arpajonnais (1893-1936), Éd. Amatteis, 1987.
- Ass. Art et Histoire du Pays de Châtres, Chronologie des principaux évènements d'Arpajon, Éd. Soleil Natal, 1988, (ISBN 9782905270047).
- Sophie Di Folco, Arpajon : Temps passés, Temps présent, Éd. Ville d'Arpajon, 1994, (ISBN 9782950820105).
- Ass. Art et Histoire du Pays de Châtres, Arpajon et sa région : 1900-1950, Éd. Soleil Natal, 1996, (ISBN 9782905270948).
Notes et Références.. |
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