est un des composants, était habité il y a 40 000 ans, comme le montrent les grottes du Val du Célé (Pech Merle par exemple à Cabrerets ). Puis vinrent s'installer sur les hauteurs, les
. Leur place-forte fut
, Murcens... Le nom Uxellodunum signifie "haute-citadelle" et fut en 51 avant J.-C. l'un des derniers bastions résistant à
.
La ville de Cahors a longtemps été disputée, et assiégée plus souvent qu'à son tour : du Romain
en passant par les prétentions anglaises de Richard Coeur de Lion, plus tard du Prince Noir.
Jean XXII, un pape cadurcien
Au
XIVe siècle Cahors bénéficie des largesses du pape
Jean XXII, né Jacques Duèze (ou d'Euze ?), en 1244, à Cahors dans une famille bien établie dans la ville et liée aux notables. Il est élu pape en 1316.
Mort à Avignon en 1334, Jean XXII s'était beaucoup soucié de sa ville natale, de sa famille et de ses concitoyens. Il construisit un palais, dont il reste encore quelques éléments et une tour, encore nommée "du pape Jean XXII". C'est lui qui fonde en 1331 l’université de Cahors, qui fut l'une des premières créées en France (cette université attirera de grands professeurs de droit notamment comme Cujas et sera autour de 1450 l'une des universités les plus prestigieuses de France et comptant le plus d'étudiants. Cette université est fusionnée avec celle de Toulouse en 1751 sur décision du chancelier du roi, La Moignon).
À l'époque médiévale, Cahors est une place financière de première importance dans l'Europe d'alors, où affluent les banquiers lombards.
Pendant la Guerre de Cent Ans, la ville passe pour un temps sous domination anglaise. Le 8 janvier 1362, elle doit se rendre au lieutenant du roi d'Angleterre, Chandos, en présence du maréchal français Boucicaut. Le 5 février 1369, les consuls de Cahors jurent de porter secours au roi de France Charles V déclarant que, « même sous la domination anglaise, ils n'avaient jamais cessé d'avoir le coeur français ».
Renaissance
À la Renaissance, Cahors demeure une ville artisanale et industrielle active. Ses vins, connus depuis les Romains et appréciés dans le monde de l'époque, qui lui assurent des revenus, sont concurrencés par ceux de Bordeaux, soutenus par les Anglais. En 1562, les catholiques tuent huit protestants, dans un affrontement de rue.
En mai 1580, durant la septième guerre de religion, Henri de Navarre en fait le siège. Le capitaine Jean de Vezins refuse la reddition. Les assaillants font sauter la porte, puis prennent la ville après trois jours et trois nuits de combats de rue, Barricade par barricade. Cette prise contribue énormément au prestige du futur Henri IV : il est toujours au coeur des combats, entraîne ses compagnons d’armes, les rallie sans cesse, veille à éviter le pillage, empêche le massacre.
Le Pèlerinage de Compostelle
La ville est traversée par un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle
La Via Podiensis.
Sur la Via Podiensis du Pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Les jacquets arrivaient de Saint-Cirq-Lapopie pour ceux qui avaient emprunté la vallée du Célé, ou de Varaire pour ceux qui avaient emprunté la vallée du Lot.
La sortie de la ville et la traversée du Lot qui se faisait aux premiers siècles de l'ère chrétienne comme de nos jours en face du quartier Saint-Georges, il se fit aussi à partir du XIVe siècle par le pont Valentré.
Les pèlerins remontaient alors par un chemin assez raide jusqu'à la Croix de Magne et de là, après un dernier regard sur le panorama de l'ancienne cité des Cadurques, reprenaient leur chemin dans la direction que leur indiquait toujours la Voie lactée. Sur ce parcours, la prochaine commune est Labastide-Marnhac.
Cahors eut plusieurs hôpitaux dont celui de Saint-Jacques qui fut d'abord près de l'actuelle place Galdémar. En 1683, il fut transféré au lieudit la Croix des Capucins. Une chapelle dédiée à l'apôtre de l’Espagne fut appelée au XVIe siècle Saint-Jacques des Pénitents à partir du moment où elle fut le siège d'une confrérie de Pénitents Bleus, un très intéressant retable y était conservé.
Du roi Soleil à Gambetta
Au cours des siècles, la ville qui accueille couvents et congrégation, menée d'une main vigoureuse par les évêques et les prélats perd de son lustre et de son prestige politique et culturel. Ainsi l'université est fermée au
XVIIe siècle. Plus tard, le département du Lot, dont Cahors est le chef-lieu, est amputé, en 1808, de sa partie sud au profit du
Tarn-et-Garonne et de Montauban. La ville conserve néanmoins un excellent établissement d'enseignement secondaire, hérité de l'école des Jésuites, lycée royal ou impérial, qui deviendra le Lycée Gambetta. Ce lycée a formé au cours des siècles de nombreuses futures célébrités : juristes, poètes, maréchaux d'Empire, sommités médicales, hommes politiques, journalistes...
L'établissement porte le nom de l'un de ses anciens élèves, Léon Gambetta, né dans la ville tout près du lycée, avocat, tribun et homme politique célèbre qui s'était opposé à Napoléon III et est devenu le sauveur de la Nation face à l'invasion prussienne en 1870, assurant ensuite le rétablissement du pays.
De Cahors Mundi à Cahors Rugby
En 1949, à l'initiative de
Robert Sarrazac et à celle associée de Émile Baynac, instituteur, fondateur des "Francs et franches camarades", Cahors, chef-lieu du département français du Lot, s'était déclaré ville citoyenne du monde : "
Cahors Mundi". L'année suivante, les 24 et 25 juin 1950, Cahors fêtera en grande pompe ce premier anniversaire en présence du prix Nobel de la Paix 1949, l'écossais Lord Boyd Orr, fondateur de la FAO à l'ONU.
André Breton, le pape du Surréalisme participe aux festivités organisées près du monument médiéval, le pont Valentré. Cette manifestation a marqué le début d'un mouvement qui a impliqué un millier de territoires dans 13 pays. Voir
http://www.recim.org/dem/lot.htm .Cahors s'est aussi fait remarquer pour ses performances dans le
rugby. Le Stade Cadurcien, devenu
Cahors rugby a obtenu de beaux succès : Champion de France de Deuxième Division : 1955 ; Finaliste Championnat de France Deuxième Division : 1993 ; Vainqueur Coupe de l'Espérance : 1959 ; Finaliste Coupe de l'Espérance : 1960 ; Quart de finaliste Championnat de France (Béziers) 0 à 3 : 1962 ; Quart de finaliste Championnat de France (Lourdes) 0 à 3 : 1963 ; Champion de France de Fédérale 2 : 2003.
La politique et la cuisine
Maire de Cahors de 1965 à 1989,
Maurice Faure, agrégé d'histoire et géographie, docteur en droit, élu député ( radical socialiste ) du Lot en 1951 puis membre à partir de 1958 de la FGDS ( fédération de la gauche démocratique et socialiste ) demeure député jusqu'en 1983, puis devient sénateur jusqu'en 1988. Plusieurs fois ministre sous la IV
e République, il fut en 1954 l'un des signataires du traité de Rome créant la Communauté européenne. Garde des Sceaux du 22 mai au 23 juin 1981, il est ministre de l'Équipement et du logement du 12 mai 1988 au 22 février 1989, avant d'être nommé membre du Conseil constitutionnel.
Bernard Charles, député radical socialiste du Lot, à partir de 1983, lui succède à la mairie de 1989 à 2001. Faisant basculer à droite la gestion municipale,
Michel Roumegoux, député UMP du Lot lui succède alors avant d'être lui même remplacé par Marc Lecuru à la suite de son invalidation. En mars 2008, avec l'élection d'un maire socialiste, la mairie de Cahors retourne à sa tradition de gauche, ancrée en 1919 par
Anatole de Monzie jusqu'en 1942, puis rénovée après la guerre par un alternance de maires communistes et radicaux. Innovation : pour célébrer la cuisine et la gastronomie locales une fête à laquelle participent les restaurants les plus renommés du Lot se déroule chaque année sur le Pont Valentré. Cette manifestation a été lancée en juillet 2006 à l'occasion du sept centième anniversaire de la construction de ce monument.
Administration
Démographie
Au début du XXe siècle, Cahors comptait 13 212 habitants.
Évolution démographique1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 |
---|
16 980 | 19 128 | 20 226 | 19 707 | 19 735 | 20 003 | 23 128 |
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes |
La population cadurcienne est statistiquement vieillissante. Le centre ville se dépeuple au profit des villages environnants qui constituent autant de dortoirs pour les gens qui travaillent en ville. De nombreuses constructions nouvelles sans cachet ni référence traditionnelle dans les communes alentour témoignent de ce déplacement de population. De même le commerce du centre ville a perdu de son dynamisme au profit des supermarchés établis à la périphérie (Leclerc, Carrefour, Lidl etc) et qui draînent avec leurs parkings confortables les consommateurs. En outre Cahors qui figurait parmi les villes du Sud de moins de 20 000 habitants les plus jeunes de France dans les années 1990 ne peut offrir à sa jeunesse des postes de travail pouvant la retenir en nombre. Face au manque de travail proposé, une majorité de jeunes quittent la ville pour rejoindre Toulouse ou Paris. Ce vieillissement de la population est d'autant plus marqué que la ville devient une place de choix pour les retraités aussi bien français qu'étrangers.
Économie
L'agglomération cadurcienne a souvent été présentée comme une petite ville périphérique de
Toulouse, au milieu d'un territoire « vide ». C'est une ville qui tire sa raison d'être de son rôle directif de préfecture sur un espace lotois dévitalisé. Le
Lot, qui est longtemps resté en marge des grands courants d'échange et de communication, est un département fortement marqué par sa ruralité et par un terroir sans véritable tradition industrielle et dépourvu d'armature urbaine structurante. Actuellement, l'agriculture, la vigne et le
Tourisme sont ses principales ressources, mais le département abrite aussi des festivals culturels de qualité :
Gindou (cinémas du sud),
Cajarc (Africajarc),
Assier (musiques),
Belaye (violoncelle) etc. Son influence extra-départementale est réduite ; elle est assujettie à l'ordre économique régional et national.
Malgré cela, grâce à son rôle de préfecture du Lot, la ville a pu subsister dans une région rurale en déclin où elle a pris une place de plus en plus importante. Cahors est aussi une de ces villes de Midi-Pyrénées qui, derrière une façade de ville administrative de Province, cachent une activité industrielle d’un niveau technologique assez élevé. Les caractéristiques urbaines, le niveau des services peuvent ensemble favoriser l’implantation de nouvelles entreprises et plus précisément de PME et PMI qui trouveent ici une société urbaine et un environnement à leur échelle. De plus, Cahors possède un port fluvial sur le Lot géré par la Chambre de commerce et d'industrie du Lot.
En 1997, le magazine L'Entreprise avait classé Cahors comme étant, parmi les villes de 20 000 habitants, la plus performante en création d’emplois industriels. Face à la crise des grandes villes, Cahors s’approprie progressivement l’image d’un centre urbain resté à taille humaine et préservant au mieux une certaine qualité de vie. Cahors a enfin trouvé sa place en tant que pôle urbain relais de la capitale régionale qu’est Toulouse.
Cahors est le siège de la Chambre de commerce et d'industrie du Lot. Elle gère outre le port de la ville, le Centre consulaire de formation, la Base Technique d’entretien et d’hivernage à bateaux de Saint-Géry, le port de Douelle, le port de Luzech, le port de Bouzies. Elle gère aussi des Hôtels d’entreprises et le ZI Cahors Sud.
Des infrastructures culturelles
La ville, qui compte déjà une École de Musique pourvue d'une salle de concert, s'est dotée en
2003 d'une
Médiathèque et a organisé la réouverture du Théâtre. Le Musée Henri Martin, rénové par Laurent Guillot, offre des expositions artistiques intéressantes (Hartung, Olivier Debré...), de même que d'autres sites en ville comme la Chantrerie avec des expositions d'art contemporain (le FLAC, Sanfourche,
Patrick Moya,
Didier Chamizo et Bernard Pras en 2007) ou le Grenier du Chapître. L'Espace Caviole permet d'organiser des concerts en plein air. Le Cahors Blues Festival
[#] existe depuis 25 ans et présente au coeur de l'été les plus grands artistes du blues. Depuis 2003, l'installation au début de l'automne d'un nouveau festival francophone permet de rendre hommage à la culture d'un pays étranger où la culture francophone joue un role important.
Les Docks sont un lieu voué à la jeunesse où se côtoient un pan d'escalade, des ateliers musicaux et des ateliers de nouvelles technologies.
Le Marché près de la cathédrale demeure un lieu de rencontre animé pour les Cadurciens.
Malgré ces nouvelles infrastructures et ces efforts, l'animation culturelle de Cahors a vu ces dernières années le déplacement géographique de festivals prestigieux comme le Printemps de la Photo (aujourd'hui situé à Toulouse) ou Le Chaînon manquant, qui attiraient beaucoup de touristes et d'artistes. Peu à peu, l'affluence touristique stagne alors qu'elle comptait pour beaucoup dans le dynamisme économique de la ville.
Personnalités nées ou ayant vécu à Cahors
Anciens élèves (ou professeurs) du Lycée Gambetta
- Hugues Salel (1504-1533), poète de la Renaissance
- François Roaldès (1519-1589) professeur à l'université de Cahors
- Jacques Cujas (1522-1590) juriste, professeur à l'Université de Cahors
- Olivier de Magny (1529-1561) poète de la Renaissance
- Pierre Charron (1541-1603) écrivain, moraliste
- Jean de Lacoste (1576-1637) jurisconsulte
- Fénelon 1651-1715) François de Salignac de Lamothe-Fénelon fut archevêque de Cambrai, précepteur des Princes de France
- Joachim Murat (1767-1815) maréchal de France, prince d'Empire et roi de Naples
- Jean-Baptiste Bessières (1768-1813) maréchal de France, duc d'Istrie
- Jean-Pierre Ramel (1768-1815) maréchal de France
- Jean-Louis Galdemar ( 1769-1837), général d'Empire
- Jean-Michel Agar (1771-1844) comte de Mosbourg, ministre des finances du roi de Naples
- Pierre Bonhomme (1803-1861) Fondateur de la congrégation des Soeurs de Notre-Dame du Calvaire à Gramat
- Charles de Freycinet (1828-1923) Charles-Louis Saulces de Freycinet fut sénateur, ministre, président du conseil
- Léon Gambetta (1838-1882) Avocat, député, ministre, président du conseil
- Gustave Larroumet (1852-1903) directeur des Beaux-Arts
- François Roussel (1864-19??) conseiller d'état
- Léon Lafage (1874-1953) poète, occitaniste
- Henri Redon (1899-1974) médecin cancérologue
- Eugène Pujol (1899-1986) artiste peintre
- Léon Bouzerand (1907-1972) photographe
- Jean-Jacques Chapou (1909-1944) résistant
- André Girard (1909-1993) résistant
- Roger Couderc (1918-1984) journaliste sportif
- René Andrieu (1920-1998) journaliste, rédacteur en chef de lHumanité.
- Georges Héreil (1907-1980) industriel, père de la Caravelle
- Martin Malvy journaliste, député, ministre, président de la Région Midi-Pyrénées
- Pierre Laville juriste, dramaturge
- Jean Le Garrec, député, ministre,
- Jacques Bouzerand journaliste, dirigeant de télévision, critique d'art
- Éric Neuhoff journaliste, écrivain
- Edmond Jouve juriste
- Bernard Pagès artiste
- André Nouyrit artiste
- Denis Charvet rugbyman, producteur
- Paul Pavlovitch écrivain
- Henri de Laborde de Monpezat, S.A.R. prince Henrik de Danemark
Label Ville d'Art et d'Histoire
La ville obtient le label Ville d'Art et d'Histoire en 2005. Il reconnait la richesse patrimoniale de la ville. Il lui permet de la mettre en valeur.
Le visiteur peut découvrir la qualité architecturale de la ville par le biais de plusieurs équipements :
- Le Centre d'Interprétation de l'Architecture et du Patrimoine (CIAP), installé au coeur du domaine cathédral.
- L'ancienne station de pompage, réaménagée. Le lieu est axée sur la thématique de l'eau.
- La Maison Quéval abrite le Service patrimoine de la Ville et accueillera à terme une exposition permanente sur le Secteur sauvegardé.
Monuments et lieux touristiques
[image] [image] [image] Les monuments dont le nom est suivi de la mention MH sont classés à l'Inventaire des monuments historiques - Le Pont Valentré (MH), emblème de la ville qui figure sur ses armoiries ;
- Barbacane (MH). La Barbacane protégeait la porte de la Barre ;
- Tour des pendus (MH).
- Église Saint-Barthélémy (MH), XIVe siècle (L'église s'est appelée Saint-Étienne de Soubiroux (Sancti Stephani de Superioribus) jusqu'au XIIIe siècle, par opposition à la cathédrale qui était dans le quartier bas).
- Palais Duèze (MH) ;
- Tour du pape Jean XXII. La tour est le seul vestige du palais de Pierre Duèze, frère du pape Jean XXII.
- Collège Pélegry, tour d'escalier crénelée (MH), fin XVe siècle (Le collège Pélegry a été fondé en 1368 et fut, jusqu'au XVIIIe siècle, l'un des établissements les plus importants de la ville) ;
- Maison Quéval (XVe siècle) (MH).
- Quartier de la Daurade. On y trouve :
- Cathédrale Saint-Étienne (MH) ;
- Cloître (MH) ;
- Archidiaconé (MH) ;
- Maison Henri IV ou Hôtel de Roaldès (XVe siècle) (MH) ;
- Le boulevard Gambetta aujourd'hui, construit sur l'emplacement du fossé des remparts ;
- Hôtel de ville, architecte Malo (1837-1847) ;
- La Maison du Tourisme, place François-Mitterrand (le bâtiment abrite également les fonds anciens et fonds Quercy de la bibliothèque municipale) ;
- L'Arc de Diane, vestige des thermes gallo-romains ;
- Statue de Léon Gambetta, place François-Mitterrand ;
- Fontaine et Horloge monumentale à billes par Michel Zachariou.
Parcs et espaces verts
La commune est une ville fleurie ayant obtenu quatre fleurs
[image] [image] [image] [image] avec distinction Grand Prix au concours des villes et villages fleuris et Médaille d'Or au concours européen 2004.
- Deux lieux méritent le détour :
- Le parc Tassart ;
- Le circuit des Jardins secrets de Cahors.
En 2006, la ville a signé un partenariat avec la ville de
Bitche qui a reproduit à l'identique un rond-point aux arrosoirs dans la ville du Lot.
Ouvrages
Jumelages
Voir aussi
Galerie de photographies sur la ville de Cahors.
Étape
Liens externes
Notes