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Châteaudun est une Ville française du sud-ouest du Bassin parisien, arrosée par le Loir, chef-lieu d'arrondissement d'Eure-et-Loir, dans la région Centre.
Ses habitants sont appelés les Dunois et les Dunoises.
Aux confins de l'Orléanais, de la Beauce et du Perche, la cité, bâtie sur un éperon rocheux surplombant le Loir, est la capitale du Dunois. Cette configuration naturelle et sa situation à la croisée de deux voies romaines reliant Chartres à Tours et Orléans au Mans la destinent à être une place forte, probablement dès l'époque romaine, mentionnée par Grégoire de Tours à la fin du VIe siècle sous le toponyme de Castum-Dunense.
Toponymie
Le nom de Châteaudun est issu de deux éléments, l'un latin castellum, l'autre gaulois dunos, tous deux de même sens et qui désignent une forteresse.
Une ville pléonasme
Ce vieux mot
gaulois dunon a laissé sa trace dans le nom de beaucoup de villes françaises même lorsque leurs noms furent latinisés par les Romains. Le plus souvent, il est associé au nom d’un chef gaulois comme à
Loudun,
Verdun ou
Meudon. Ou encore au nom de
dieu celte le plus vénéré :
Lug. C’est le cas à
Laon et à
Lyon dont les deux noms dérivent de
Lugduno. À Châteaudun, le nom de la ville dit donc effectivement deux fois la même chose !
Changement de nom temporaire
À la Révolution, la Convention Nationale décida que toutes les communes ayant un nom rappelant l'
Ancien Régime ou la religion devaient en changer et Châteaudun n'échappa pas à cette règle; ainsi, du
11 mars 1794 au
10 février 1795 (c'est-à-dire entre le 21 ventôse an II et le 22 pluviôse an III), soit 11 mois, Châteaudun s'appela
Dun-sur-Loir. Ce changement n'aurait pu rester qu'anecdotique s'il n'avait permis à 12 personnes, emprisonnées à Châteaudun dans l'attente d'être jugées à Paris, de ne pas être guillotinées. En effet, en pleine terreur, le Comité de sûreté générale de Paris demanda par courrier le transfert de ces détenus mais consécutivement au changement du nom de la ville, la lettre parvint par erreur à
Dun-sur-Auron dans le département du Cher et non à Dun-sur-Loir. Le temps qu'elle revienne à sa destination initiale, c'était la chute de Robespierre le
9 Thermidor An II (
27 juillet 1794). Le régime de terreur s'adoucit et les 12 prisonniers eurent la vie sauve.
Géographie
Communes limitrophes
Climat
La station météorologique de
Météo-France, implanté sur la base aérienne 279, à une altitude de 126 m, mesure journellement plusieurs paramètres.
Le climat à Châteaudun est un climat tempéré, de type océanique dégradé, soumis aux influences océaniques venant de l'ouest et continentales venant de l'est. Les épisodes orageux sont peu nombreux et majoritairement concentrés durant l'été. La pluviométrie est relative basse, très inférieure à la moyenne nationale avec, sur la période 1961-1990, une moyenne de précipitations annuelles de 662 mm ; les mois les plus pluvieux sont ceux de l'automne ainsi que mai. Sur cette même période, la température moyenne annuelle est de 10,3°C, le mois le plus froid est janvier, avec 3°C et le plus chaud est juillet, avec 18,2°C.
L'analyse des données de la décennie 1991-2000 par rapport aux trente années précédentes montre un net réchauffement et une baisse significative des précipitations. La température moyenne annuelle est de 11,2°C et tous les mois de l'année enregistre une augmentation. Quant à la moyenne des précipitations, elle est très inférieure avec 617 mm.
Ville | Ensoleillement | Pluie | Neige | Orage | Brouillard |
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Lille | 1 600 h/an | 687 mm/an | 19 j/an | 19 j/an | 69 j/an |
Strasbourg | 1 637 h/an | 610 mm/an | 30 j/an | 29 j/an | 65 j/an | Nice | 2 694 h/an | 767 mm/an | 1 j/an | 31 j/an | 1 j/an | Pau | 1 849 h/an | 1 121 mm/an | 6 j/an | 27 j/an | 42 j/an | Brest | 1 749 h/an | 1 109 mm/an | 9 j/an | 11 j/an | 74 j/an | Châteaudun | 1 818 h/an | 612 mm/an | 13 j/an | 15 j/an | 48 j/an |
Moyenne nationale | 1 973 h/an | 770 mm/an | 14 j/an | 22 j/an | 40 j/an |
Sources : Internaute ,,,,,
À Châteaudun, les records de température maximale et minimale sont, respectivement de 39,3°C le 6 août 2003 et - 18,8°C le 17 janvier 1985 . Le record de la vitesse du vent a été enregistré le 26 décembre 1999 lors de la tempête connue sous le nom d'ouragan Lothar, avec 144 km/h, et celui de la plus forte précitation l'a été le 6 juillet 2001 avec 57,8 mm.
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D | Année |
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Températures moyennes (sous abri, normales) °C, période 1961-1990 | 3,0 | 4,0 | 6,4 | 9,1 | 12,7 | 15,9 | 18,2 | 17,9 | 15,5 | 11,4 | 6,3 | 3,6 | 10,3 |
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Précipitations (hauteur moyenne en mm, période 1961-1990) | 55 | 51 | 53 | 50 | 64 | 53 | 49 | 48 | 57 | 62 | 64 | 56 | 662 |
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Source: Météo France |
Mois | J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D | Année |
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Températures moyennes (sous abri, normales) °C, période 1991-2000 | 4,2 | 4,7 | 7,8 | 9,6 | 13,8 | 16,5 | 19,1 | 19,8 | 15,6 | 11,3 | 6,9 | 4,7 | 11,2 |
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Précipitations (hauteur moyenne en mm, période 1991-2000) | 54 | 45 | 30 | 58 | 56 | 42 | 50 | 39 | 60 | 61 | 56 | 66 | 617 |
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Source: Météo France |
Voies de communication & Transports
Voies routières
Châteaudun est accessible par six axes routiers, un majeur, la
Route nationale 10 qui la relie à la capitale française, au chef-lieu du département, à
Tours et cinq secondaires, les routes départementales D 31 (vers
Meung-sur-Loire), D 924 (vers
Blois), D 925 (vers
Beaugency), D 927 (vers
Pithiviers et
Le Mans) et
D 955 (vers
Orléans et
Alençon).
La ville n'est pas située à proximité immédiate des axes autoroutiers, sans en être excessivement éloignée; ainsi, l'accès à l'Autoroute A11 est soit à 32 km ( 04 Brou), soit à 36 km ( 03 Chartres), tandis que celui à l'Autoroute A10 est soit à 46 km ( 12 Allaines), soit à 44 km ( 14 Orléans-Nord). L'autoroute A110, un projet de doublement, entre Ablis et Tours, de l'actuelle autoroute A 10, desservira Châteaudun, à l'horizon 2025-2030 quelle que soit la solution retenue (nouvelle autoroute concédée de Ablis à Sorigny ou aménagement à 2x2 voies de la N 10 du sud de Chartres à Vendôme ou autoroute concédée de Ablis à Châteaudun, N 10 aménagée jusqu'à Vendôme, puis autoroute concédée jusqu'à Sorigny).
Désiré et réclamé par les dunois depuis plus de vingt ans, le contournement de la ville, par l'est, est devenue réalité le 13 juillet 2007 avec l'inauguration et l'ouverture du tronçon sud, d'une longueur de 2,6 km, après celles de la section nord, le 8 juillet 2003 . Longue de 7 km, curieusement réalisée à 2x1 voie et avec quatre giratoires, cette déviation assure la continuité du trafic de transit de la RN 10 qui supportait, dans la traversée de Châteaudun, un trafic de 16 000 véhicules/jour, dont 16,5 % de poids lourds, source indéniable de nuisances environnementales et de difficultés de circulation.
Transport ferroviaire
Article détaillé : .Châteaudun est desservie depuis 1865 par la ligne de chemin de fer Brétigny-Tours, assurée par les trains TER Centre. Troisième axe ferroviaire reliant Tours à Paris, il fait figure de parent pauvre du réseau. Non électrifié, à voie unique, il a été si mal entretenu que, en raison du mauvais état des voies, les vitesses sont limitées à 50 km/h sur certaines portions. Inscrits au contrat de projets État-Région 2007-2013 et financés par la Région Centre, les travaux prévoient la régénération des voies entre Dourdan et Châteaudun en 2009-2010 et la modernisation des infrastructures entre la cité dunoise et Tours. À l'achèvement de la rénovation de la ligne, les trains circuleront à 140 km/heure et, de 1h35 actuellement, le trajet Châteaudun-Paris Austerlitz s'effectuera alors en 1h15.
La région Centre envisage de rouvrir au trafic voyageurs, au mieux en 2010, la ligne Chartres-Orléans, fermée depuis la Seconde Guerre mondiale et uniquement utilisée pour un trafic marchandises, principalement céréalier. Cette réouverture permettrait à Châteaudun d'être reliée, via Voves, aux préfectures départementale et régionale.
Gare TGV à proximité de Châteaudun ?
L'Eure-et-Loir est traversé par la
LGV Atlantique, du nord-est (
Auneau) au sud-ouest (
Courtalain), mais aucun train ne s'y arrête. La création d'une gare
TGV dans le sud du département est un vieux serpent de mer régulièrement évoqué, défendue par des élus locaux, en autres, le député de la quatrième circonscription et maire de
Cloyes-sur-le-Loir,
Philippe Vigier, le conseiller général et maire de
Châtillon-en-Dunois,
Claude Térouinard, le président du conseil général, Albéric de Montgolfier, le sénateur-maire de
Bonneval,
Joël Billard. Joël Billard, Albéric de Montgolfier et Philippe Vigier ont été reçus le
13 septembre 2007 par
Dominique Bussereau, le secrétaire d'État aux transports, afin d'évoquer les grands dossiers départementaux relatifs aux transports et le président du conseil général a déclaré au début de l'année
2008, lors de la cérémonie des voeux de l'Assemblée départementale : « de très bonnes nouvelles devraient intervenir quant aux projets d'infrastruture », propos confirmés lors d'un entretien avec la radio locale
Intensité, le
13 février 2008 .
Ce projet de construction verra-t-il enfin le jour ?
Transports en commun
Transport aérien
L'
Aéroport commercial le plus proche de Châteaudun est celui de Tours Val de Loire, à 95 km et le seul dont dispose la région Centre mais avec seulement 3 lignes régulières opérationnelles, à destination de Londres Stansted, de
Figari et, à compter de juin 2008, de
Dublin, la desserte aérienne de Châteaudun est assurée par les deux aéroports parisiens,
Orly et Roissy-Charles-de-Gaulle, situés, respectivement, à 125 et 157 km.
Urbanisme
Le logement
Châteaudun comptait en
1999 6 617 logements, dont 89 % soit 5 890 de résidences principales, répartis en 3 834 maisons individuelles (57,90 %) et 2 783 appartements (42,10 %), (respectivement 72,60 % et 27,40 % pour la région Centre).
Le parc Immobilier, constitué des résidences principales, date de la période 1949-1974 pour presque la moitié (48,10 %) et a été construit avant 1949 pour 24,50 % (respectivement 30,70 % et 34,30 % pour la région); comparé aux tendances régionales, l'âge moyen est inférieur même si les constructions neuves (5,50 % contre 9,60 %) sont très inférieures aux moyennes de la région.
La taille des habitations de la ville est plutôt grande et peu différente de la moyenne régionale ; les 4 pièces et plus (59 %) sont majoritaires, suivis des 3 pièces (26,80 %), des 2 pièces (9,60 %) puis des studios (4,50 %).
Les résidences principales ne possédant ni baignoire, ni douche représentent 2,20 % du parc régional, mais seulement 0,80 % à Châteaudun. Les logements de la commune sont plus équipés d'un chauffage central (95,70 % contre 83,90 % pour la région) mais ceux bénéficiant d'un garage, boxe ou place de stationnement sont moins nombreux (57,60 % contre 66,60 %).
À noter qu’avec 2 012 logements HLM, soit 34,16 % du parc en 1999 (16,70 % dans la région), la ville respecte les dispositions de l’article 55 de la loi solidarité et renouvellement urbain (SRU) de décembre 2000 fixant à 20 % le taux minimum de logements sociaux pour les communes les plus importantes,.
Contraitement à la tendance régionale, les habitants sont majoritairement locataires de leur logement à 52,20 % contre 44,90 % qui en sont propriétaires (respectivement 36,10 % et 51,10 % dans la région) et 2,90 % sont logés à titre gratuit,.
Démographie
Châteaudun compte au recensement de 1999 une population de 14 543 habitants. À dater de celui de 1982, la commune de
Lucé lui ravit le rang de la 3
e ville du département, derrière
Chartres et
Dreux, qu'elle détenait jusqu'alors.
L'agglomération totalise 17 894 habitants et se classe au 12e rang régional et l'aire urbaine, avec 23 728 habitants, est la 232e au classement national.
L'analyse de la population de Châteaudun au cours des XIXe et XXe siècles permet de dégager quatre périodes. La première, le XIXe siècle, voit un essor modéré de la population, de 18,19 %, avec une baisse significative au recensement de 1872 due à une épidémie de typhoïde en 1866 et une hausse, au recensement de 1881, consécutive à la présente d'un régiment entier à dater de 1878. Les quatre premières décennies du XXe siècle sont caractérisées par une stabilisation, due en particulier à la Première guerre mondiale. La période d'accroissement des Trente Glorieuses permet à la ville de doubler sa population, avec un pic de 15 338 habitants atteint en 1975. Depuis, l'évolution démographique est stoppée et Châteaudun voit sa population régulièrement baisser. Les naissances sont pourtant beaucoup plus nombreuses que les décès, mais il existe un important déficit migratoire dû au départ des jeunes adultes, le plus souvent diplômés, qui quittent une ville et un bassin d'emploi peu attractifs, consécutivement à un contexte économique très dégradé. La pyramide des âges est très parlante et traduit parfaitement le vieillissement de la population dunoise.
Évolution démographique
Tableau démographique du <span class
"romain" title="Nombre écrit en chiffres romains">XX
e siècle ===
La population au recensement de 1999 comptait 50,21 % d'hommes et 49,79 % de femmes.
Évolution de la pyramide des âges de la ville de Châteaudun, comparaison entre l'année 1999 et 1990
Pyramide des âges en 1999 en nombre d'individus.Hommes | Classe d'âge | Femmes |
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| Pyramide des âges en 1990 en nombre d'individus.Hommes | Classe d'âge | Femmes |
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Histoire
Article détaillé : .Héraldique
| Châteaudun- « De gueules, à trois croissants montant d'argent 2 et 1, au chef d'azur chargé d'une croix de la Légion d'honneur » en souvenir de sa belle défense de 1870, et pour devise : « EXTINCTA REVIVISCO », tel que rapporté par Malte-Brun, dans la France illustrée (1882).
- « De gueules à trois croissants d'argent, au chef cousu d'azur chargé de l'étoile de la Légion d'honneur », tel que rapporté par le Grand Larousse encyclopédique (1960).
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Historique
- 1575 : sur le 1er plan gravé de François de Belleforest figurent les armoiries de la ville, un escu de gueulles à trois croissants d'argent et sa devise Extincta Revivisco.
- 1697 : les échevins déclarent que Châteaudun ne possède pas d'armoiries, affirmation erronée dans le seul but, semble-t-il et à l'instar d'autres villes, de ne pas payer l'impôt relatif à l'enregistrement des armoiries. Un blason leur est imposé, qui ne vit jamais le jour, un escu de sable à 2 plaz d'argent.
- de 1735 à 1830 : suite aux privilèges accordés à la ville après l'incendie de 1723 (exemption de taille, envoi de l'architecte du Roy), un chef de France d'azur à 3 fleurs de lys d'or complète les armoiries.
- 1860 : retour à la version de 1575
- 1877 : consécutivement à sa défense héroïque du 18 octobre 1870, le Maréchal de Mac-Mahon, président de la République, autorise la ville, par décret du 3 octobre 1877, à faire figurer la Croix de la Légion d'honneur dans ses armoiries.
Guerre de 1870
Le 18 octobre 1870 eut lieu la bataille de Châteaudun.
Administration et Politique
Châteaudun est l'une des trois
sous-préfectures du département d'Eure-et-Loir, le
Chef-lieu de l'arrondissement et du canton homonymes.
Elle est membre de la Communauté de communes du Dunois, dont elle accueille le siège.
Le Conseil municipal de Châteaudun est composé de trente-trois élus, proportionnellement au nombre d'habitants, dont le maire et ses huit adjoints.
Élections municipales
Les élections municipales de 2008 se sont traduites par une nette défaite de
Alain Venot, le maire UMP en place depuis vingt-cinq années, qui briguait un 5
e mandat, battu par Didier Huguet (
Sans Étiquette), un pharmacien originaire de Châteaudun, installé dans cette ville mais inconnu dans le paysage politique local.
Au 1er tour, le 9 mars 2008 , les dunois s'abstiennent à 36,14 % et les électeurs placent en tête la liste Ensemble pour Châteaudun conduite par le maire sortant, avec 44,01 %, suivie de celle, apolitique et de rassemblement, de Didier Huguet, Agir avec vous avec 39,53 % et Changeons avec la gauche de François Millien, avec 16,46 %. Peu de temps après la publication des résultats de ce 1er tour, François Millien annonce ne pas maintenir la liste de gauche pour le second tour.
La semaine suivante, le 16 mars 2008 , le corps électoral se mobilise davantage, avec un taux d'abstentions inférieur de 2 points, à 34,09 %. Avec un très bon report des voix de gauche, la liste de Didier Huguet obtient une large majorité, avec 53,88 % des suffrages et 26 sièges, sur 33, de conseillers municipaux.
Liste des maires successifs |
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|
Début= 21 mars Début= 18 mars mars - style='vertical-align: top' 1977 | 1983 | Jean Hardy | PCF | Professeur technique au LEP {{Élu |Début= 10 mars Début= 30 octobre octobre Début= 18 mai mai - à 1945) | label= | largeur=100% | contenu=' |
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|
Début= 29 août Début= 19 mai mai Début= 19 mai mai Début= 19 mars mars Début= 17 mai mai - style='vertical-align: top' !10!10mars!10!10 !10!10- style='vertical-align: top' !11!111919!11!11 | - | - | - | - |
Budget 2007
Les dépenses : Poste budgétaire | Montant total | % | Investissement | Fonctionnement | |
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Environnement-Urbanisme & vie de quartier | 10 154 767 | 30,48 % | 7 423 728 | 2 731 039 | |
Services rendus | 7 236 639 | 21,72 % | 1 293 972 | 5 942 667 | |
Sport | 3 180 300 | 9,55 % | 2 194 826 | 985 474 | |
Culture | 2 774 653 | 8,33 % | 587 193 | 2 187 460 | |
Enseignement | 2 515 856 | 7,56 % | 433 961 | 2 081 895 | |
Développement économique | 2 192 100 | 6,58 % | 1 554 053 | 638 047 | |
Solidarité | 1 913 505 | 5,74 % | | 1 913 505 | |
Sécurité | 1 321 998 | 3,97 % | 4 200 | 1 317 798 | |
Enfance - Jeunesse | 1 274 671 | 3,83 % | 66 809 | 1 207 862 | |
Animations - Associations | 746 546 | 2,24 % | 13 500 | 733 046 | |
Total | 33 311 035 | | 13 572 242 | 19 738 793 | |
Les recettes :