(Devanāgarī) La devanāgarī (Sanskrit : देवनागरी) est une écriture Alphasyllabaire utilisée pour le Sanskrit, le Hindî, le Népalais, le Marâthî et plusieurs autres langues indiennes. C’est une des écritures les plus employées en Inde et au Népal.
Histoire
Origine
Comme la quasi-totalité des écritures indiennes, la devanāgarī descend de l'écriture
brâhmî,, plus précisément de l'écriture gupta.
On retrace les origines de la devanāgarī autour du XIIe siècle, vraisemblablement comme une modification du siddham. Elle remplaça peu à peu l'écriture sharda dans une grande partie du nord de l'Inde.
La devanāgarī est maintenant l'une des écritures les plus employées de l'Inde, étant majoritairement utilisée pour écrire le Hindî, langue de loin la plus parlée en Inde. Le hindî écrit en devanāgarī est également une langue officielle de l'Inde, il en est de même pour le Népalais écrit en devanāgarī, « langue de la nation » du Népal. Cette écriture sert aussi à écrire entre autres le Marâthî et le Sindhi. Traditionnellement, dans le nord de l'Inde, c'est avec elle qu'on écrivait le Sanskrit.
Des langues moins parlées utilisent également cette écriture : le Bihari, le Bhili, le Konkânî, le Bhojpuri, le Nepâlbhâsa. Il arrive que le Kashmiri et le rromani fassent également usage de la devanāgarī, bien que le premier utilise principalement l'Alphabet arabe sous une forme modifiée, et que le second préfère l'Alphabet latin.
Étymologie
Le terme
devanāgarī, qui vient du
Sanskrit, se décompose en :
- deva (देव) : divin ;
- nāgarī (नागरी) : féminin de nāgara (नागर), citadin.
Ce mot qualifie donc cette écriture de « citadine divine ». Le nom peut aussi être abrégé en
nāgarī.
Caractéristiques générales
La devanāgarī s’écrit horizontalement, de gauche à droite, ne fait pas de distinction entre majuscules et minuscules. Elle est reconnaissable à la barre horizontale continue sous laquelle sont attachés les caractères. Cette barre s'interrompt brièvement pour certains caractères ouverts en haut. Elle est également interrompue entre les mots dans les langues modernes mais peut recouvrir plusieurs mots d'affilée en sanskrit dans le cas des
Sandhi. Dans l'écriture manuscrite, elle est tracée après avoir écrit un mot en entier.
Elle utilise maintenant les mêmes signes de ponctuation que l’Alphabet latin, sauf parfois pour les fins de vers et de phrases dans l’écriture traditionnelle. Il existe des variantes pour certains caractères.
C'est une écriture quasiment phonétique, où un symbole représente toujours le même Phonème, même s'il existe quelques variations d'une langue ou d'un Dialecte à l'autre. L'unité de base — appelée akshara (du Sanskrit अक्षर akṣara, signifiant « lettre, caractère ») — est constituée soit d'un groupement d'une ou plusieurs consonnes consécutives éventuellement suivies d'une Voyelle, soit d'une voyelle seule. Lorsqu'une voyelle suit une consonne, elle est représentée par un signe Diacritique attaché à cette consonne. Lorsque plusieurs consonnes se suivent, elles sont représentées par une ligature. L’akshara constitue souvent, mais pas toujours, une Syllabe d'un mot.
Contraintes de présentation
La barre horizontale sous laquelle s’inscrivent la plupart des lettres de base est jointive graphiquement avec les barres horizontales des lettres de base précédentes et suivantes, quand elles en ont une. Lors de la justification de texte, il est permis d’allonger l’interlettrage entre les
aksharas, en conservant cette jonction graphique qui identifie les mots. Mais la forme graphique de l’
akshara reste normalement inchangée (en particulier, le demi-glyphe vertical
danda, lié graphiquement à la droite de certaines lettres pleines et qui représente graphiquement la voyelle implicite dans la lettre pleine, ne doit pas s’écarter du demi-glyphe représentant la lettre morte correspondante).
Les aksharas délimitant les syllabes, la césure est permise presque n’importe où dans un mot entre deux aksharas. Toutefois, pour que cette césure respecte les syllabes phonétiques ou sémantiques, la devanāgarī permet de transcrire un groupe de consonnes en deux parties distinctes en forçant la dernière consonne du premier groupe à adopter une forme pleine explicitement privée de sa voyelle associée, mais malgré tout séparable. Dans ce cas, ce groupe de consonnes est lié logiquement à l’akshara précédente terminé par une voyelle comme si c'était des consonnes finales, et la césure dans ce cas ne sera pas permise avant ce groupe de consonnes.
Exemple
- Texte en devanāgarī (langue Hindî)
- सभी मनुष्यों को गौरव और अधिकारों के मामले में जन्मजात स्वतन्त्रता और समानता प्राप्त है। उन्हें बुद्धि और अन्तरात्मा की देन है और परस्पर उन्हें भाईचारे के भाव से बर्ताव करना चाहिये।
- Le même texte en transcription latine
- Sabhī manuṣyõ ko gaurav aur adhikārõ ke mamle mẽ janmajāt svatantrātā aur samāntā prāpt hai. Unhẽ buddhi aur antrātmā kī den hai aur parspar unhẽ bhaīcāre ke bhāv se bartāv karnā cāhiye.
- Traduction
- Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité.
L’alphasyllabaire
L'écriture devanāgarī différencie de façon fondamentale les voyelles des consonnes dans le fonctionnement de leur représentation.
Voyelles
Une
Voyelle peut être rendue par deux signes différents selon qu’elle suit une consonne (forme dépendante) ou non (forme indépendante) :
- dans le premier cas, la voyelle dépendante est représentée par un signe diacritique — appelé matra (मात्रा) — qui peut être lié à droite, à gauche, en dessous ou au dessus de la consonne après laquelle elle est prononcée ;
- dans le second cas, la voyelle indépendante est une akshara à part entière.
Symboles représentant les voyelles |
Voyelle indépendante | Voyelle dépendante après प | Transcription | Prononciation (API) |
---|
अ | प (seul) | a | [] ou [API e] |
आ | पा | ā | [API **] |
इ | पि | i | [] |
ई | पी | ī | [API i*] |
उ | पु | u | [API u] |
ऊ | पू | ū | [API u*] |
ऋ | पृ | ṛ | dépend des langues |
ॠ | पॄ | ṝ | (r rétroflexe long, en fin de syllabe) |
ऌ | पॢ | ḷ | (l rétroflexe court, en fin de syllabe) |
ॡ | पॣ | ḹ | (l rétroflexe long, en fin de syllabe) |
ऍ | पॅ | ẽ | é nasal |
ऎ | पॆ | e | |
ए | पे | ē | [API e] |
ऐ | पै | ai | [] |
ऑ | पॉ | o | o ouvert |
ऒ | पॊ | | o nasal |
ओ | पो | ô | [API o] |
औ | पौ | au | [au] (o ouvert long) |
Les voyelles [u] et [uË] ne s'écrivent pas avec les matras habituelles quand elles suivent un र isolé :
Cas particulier après र | Voyelle indépendante | Voyelle dépendante |
---|
उ | रु |
ऊ | रू |
Nasalisation
La
nasalisation est rendue par un signe diacritique se plaçant au-dessus de l’
akshara. Ce signe peut être :
- une candrabindu (चन्द्रबिन्दु), ici au-dessus de उ : उँ ;
- un anusvāra (अनुस्वार), ici au-dessus de उ : उं.
Ils sont de signification identique. Une solution souvent retenue est d'utiliser l’anusvāra quand l’akshara n'est surmonté d'aucun signe, la candrabindu dans le cas contraire. Quand l’anusvāra est placé sur une voyelle utilisant un matra, il est placé à droite de celle-ci. Le nom candrabindu vient de candra « lune » et bindu « point ». Le symbole candrabindu est aussi appelé anunāsika (अनुनासिक).
Exemples de voyelles nasalisées | Voyelle indépendante non-nasalisée | Voyelle indépendante nasalisée | Voyelle dépendante après प |
---|
अ | अँ | पँ |
आ | आँ | पाँ |
ए | एँ | पें |
ओ | ओं | पों |
Autres signes diacritiques
La devanāgarī dispose d'autres signes diacritiques se plaçant après une voyelle :
Diacritique (ici après ए) | Appellation | Fonction |
---|
एऽ | avagraha (अवग्रह) | utilisé pour prolonger le son d'une voyelle (en Marâthî, le signe marque explicitement la non-élision de la voyelle implicite en fin de mot, cette élision étant généralement implicite et non marquée) |
एः | visarga (विसर्ग) | est prononcé comme un [h] suivi de la répétition de la voyelle précédente |
Consonnes
Lorsqu’une
Consonne n'est ni directement précédée ni directement suivie d’une autre consonne, elle est représentée par un symbole de base (forme pleine). Dans ce cas elle est prononcée suivie de la voyelle implicite [
], ou parfois prononcée sans voyelle du tout dans certains cas dans des langues comme le hindî. De nombreux
glyphes de consonnes comportent une barre verticale appelée
danda.
Si la consonne est suivie du signe diacritique sanskrit virama (विराम), aucune voyelle n'est prononcée. Ce signe est attaché en dessous du danda final de la consonne pleine, ou centré dessous si le signe de la consonne pleine ne comporte pas de danda : क् (ici accompagnant क). Il est appelé halant (हलन्त) en Hindî.
La devanāgarī distingue les consonnes occlusives aspirées de celles qui ne le sont pas, et les dentales des rétroflexes. La tableau qui suit présente les consonnes selon la disposition classique (ordre phonétique) généralement utilisée.
Consonnes plosives | | Sourdes non-aspirées | Sourdes aspirées | Voisées non-aspirées | Voisées aspirées | Nasales |
---|
Vélaires | क [] (k) | ख [API k*] (kh) | ग [] (g) | घ [API **] (gh) | ङ [API n] (ṅ) |
---|
Palatales | च [] (c) | छ [] (ch) | ज [] (j) | झ [] (jh) | ञ [] (ñ) |
---|
Rétroflexes | ट [] (ṭ) | ठ [API **] (ṭh) | ड [] (ḍ) | ढ [API **] (ḍh) | ण [] (ṇ) |
---|
Dentales | त [API t*] (t) | थ [API t**] (th) | द [API d*] (d) | ध [API d**] (dh) | न [API n] (n) |
---|
Labiales | प [API p] (p) | फ [API p*] (ph) | ब [API b] (b) | भ [API b*] (bh) | म [API m] (m) |
---|
Quand un mot est terminé par un akshara surmonté d'un anusvāra qui ne sert pas à nasaliser une voyelle, cet anusvāra représente म्. Par exemple ग्रामं = ग्रामम्.
Consonnes étrangères
Pour transcrire des sons non-natifs de la devanāgarī, certaines consonnes sont souscrites d'un point appelé
nukta.
Quelques exemples de consonnes souscrites d'un nukta |
Symbole | Transcription | Prononciation (API) |
---|
क़ | q | [API q] |
ख़ | x | [API x] |
ग़ | ġ | [] |
ज़ | z | [API z] |
ड़ | ṛ | [] |
ढ़ | ṛh | [API **] |
फ़ | f | [API f] |
Combinaisons
[image] Quand plusieurs consonnes sont prononcées d'affilée (sans voyelle intermédiaire), la devanāgarī utilise des combinaisons de consonnes qui regroupent plusieurs symboles de consonnes formant une ligature. Elle peut être soit une simple compression graphique des consonnes attachées entre elles, soit un
Glyphe entièrement nouveau. Elle peut être complétée d'une voyelle sous forme de
matra classique qui s'applique à l'ensemble de la combinaison créée. La ligature résultant d'une combinaison et son éventuelle voyelle forment un
akshara.
Une combinaison peut aussi être représentée en apposant simplement un virama à la première consonne.
Regroupement par la droite
Dans le cas général le plus simple, quand la première consonne (en forme pleine) est bordée à droite par un
danda, elle est combinée à l’autre en perdant son
danda et en se collant à la suivante. De même
क et
फ voient leur extrêmité droite atrophiée.
Exemples avec perte de la partie droite |
1re consonne | 2e consonne | Combinaison |
---|
स | त | स्त |
ब | द | ब्द |
ष | य | ष्य |
क | य | क्य |
फ़ | त | फ़्त |
Abréviation de la seconde consonne
Dans quelques cas, c'est la deuxième consonne de la combinaison qui est atrophiée, la première gardant sa forme initiale. Ainsi lorsque
द est la première consonne d'une combinaison, la deuxième vient en général se coller en bas à sa gauche après avoir perdu son
danda. Bien que bordée d'un
danda,
श peut prendre une forme spéciale — elle-même bordée d'un
danda — quand elle est la première d'une combinaison et que la deuxième consonne est
व,
र,
च ou
न, la deuxième consonne venant alors se coller en bas à sa gauche. Cependant la forme habituelle avec une simple absence du
danda peut se recontrer également. En première position d'une combinaison
ह, elle, reçoit en bas à gauche la consonne suivante, ou bien s'ouvre par la droite.
Exemples avec द, श ou ह en 1re consonne |
1re consonne | 2e consonne | Combinaison |
---|
द | व | द्व |
द | ध | द्ध |
श | व | श्व |
ह | म | ह्म |
ह | व | ह्व |
Le cas de र
La consonne
र prend des formes très particulières dans les combinaisons.
Si elle suit une consonne munie d'un danda dans sa forme pleine, र est généralement représentée sous la forme d’un segment oblique accroché en bas à gauche du danda. Lorsque cette consonne précédente ne comporte pas de danda, र est représentée sous la forme d'un segment ou de deux segments obliques joints par le haut et attachés sous la consonne précédente en forme pleine.
Quand र précède une autre consonne, elle est représenté sous forme d’un arc de cercle courbé vers la droite, placé en haut à droite de l’akshara (c’est-à-dire le groupe de consonnes qui suit et qui peut lui-même former une ligature ou être accompagné d'une voyelle dépendante) à laquelle elle appartient.
Exemples avec र |
1re partie | 2e partie | Combinaison |
---|
प | र | प्र |
ग | र | ग्र |
ट | र | ट्र |
र | त | र्त |
र | चा | र्चा |
र | र | र्र |
Anusvāra
Lorsque la première consonne d'une combinaison est une
nasale et est suivie d'une consonne de la même classe articulatoire, elle peut être représentée par un
anusvāra placé sur l’
akshara précédent (ou plus rarement par un
candrabindu). Ainsi la labiale
म peut être affichée comme un
anusvāra quand elle précède la labiale
ब, la dentale
न quand elle précèdre la dentale
त ou
स, etc. Devant
ह l’
anusvāra représente la nasale vélaire.
L'anusvāra dans les combinaisons |
| Devant | l'anusvāra signifie | Exemple |
---|
Vélaire | क, ख, ग, घ ou ह | ङ | पंखा = पङ्खा |
---|
Palatales | च, छ, ज ou झ | ञ | शतरंज = शतरञ्ज |
---|
Rétroflexes | ट, ठ, ड ou ढ | ण | गुंडा = गुण्डा |
---|
Dentales | त, थ, द, ध, ल ou स | न | अंतर = अन्तर |
---|
Labiales | प, फ, ब ou भ | म | संभव = सम्भव |
---|
Cas particuliers
Il existe enfin des combinaisons particulières pour lesquelles les formes initiales sont très modifiées voire inapparantes.
Quelques cas particuliers |
1re consonne | 2e consonne | Combinaison |
---|
त | त | त्त |
त | र | त्र |
क | त | क्त |
द | द | द्द |
द | य | द्य |
द | म | द्म |
क | र | क्र |
ज | ञ | ज्ञ |
क | ष | क्ष |
L’écriture devanāgarī traditionnelle utilise des centaines de ces ligatures spécifiques, toutefois aucune n'est essentielle à la lecture, tant que le signe virama permettant la distinction des consonnes mortes et vives est bien représenté.
Autres symboles et ponctuation
Symbole | Appellation | Fonction |
---|
। | danda (डण्डा), (khadi) pai (खड़ी पाई) ou purna virama (पूर्ण विराम) | marque la fin d’un vers en poésie ou dans un texte religieux, ou bien la fin d'une phrase |
॥ | double danda | marque de fin de paragraphe ou d’une strophe en poésie |
॰ | | symbole d’abréviation placé après un akshara |
ॐ | Om̐ | symbole sacré hindou Om̐ |
प॑ | udatta (उदात्त) | accentuation pour la prononciation de certains textes en sanskrit |
प॒ | anudatta (अनुदात्त) | accentuation pour la prononciation de certains textes en sanskrit |
Chiffres
Bien qu'étant parfois utilisée avec les
chiffres arabes, la devanāgarī dispose de ses propres symboles pour ceux-ci :
Chiffre devanāgarī | ० | १ | २ | ३ | ४ | ५ | ६ | ७ | ८ | ९ |
---|
Chiffre arabe | 0 | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 |
---|
Ils sont empruntés à la brahmî.
Variantes
En plus de légères différences esthétiques dans certains cas, la devanāgarī connaît des importantes variations dans la représentation des symboles
अ,
आ,
ओ,
औ,
ण et
झ.
Ordre lexicographique
De même que l'
Alphabet latin suit l'ordre alphabétique, la devanāgarī suit un ordre, notamment utilisé dans les
dictionnaires.
On a d'abord l’anusvāra ou la candrabindu, puis les voyelles dans l'ordre अ, आ, इ, ई, उ, ऊ, ऋ, ॠ, ऌ, ॡ, ए, ऐ, ओ, औ, et enfin les consonnes dans l'ordre क, ख, ङ, ग, घ, च, छ, ज, झ, ञ, ट, ठ, ड, ढ, ण, त, थ, द, ध, न, प, फ, ब, भ, म, य, र, ल, व, श, ष, स, ह,. La présence d'un nukta sous une consonne n'affecte pas son classement.
Références
Notes
..
Bibliographie
- (en) Hardev Bahri, Learners' Hindi-English Dictionary, Rajpal,2004(ISBN 81-7028-002-8), « Hints on Hindi Pronunciation and Writing »
- (en) Florian Coulmas, Writing Systems, Cambridge University Press,2003(ISBN 0-521-78737-8), « Vowel incorporation - Devanagari »
- Gérard Huet,Héritage du Sanskrit Dictionnaire sanskrit-français, 20 mai 2007
- Annie Montaut et Akshay Bakaya, Le hindi sans peine, Assimil,1994(ISBN 2-7005-0172-1), « L'écriture et les sons du hindi »
- Annie Montaut et Sarasvati Joshi, Parlons hindi, L'Harmattan,1999(ISBN 2-7384-8135-3), « Les sons et les lettres »
- (en) Rupert Snell, Teach yourself Hindi, Teach yourself,2003(ISBN 0-340-86687-X), « The Hindi script and sound system »
- (gu) સુરેશચંદ્ર જ. દવે;મનસુખ કે. મોલિયા et મોહિની આચાર્ય et al., સંસ્કૃત - ધોરણ 10, ગુજરાત રાજ્ય શાળા પાઠ્યપુસ્તક મંડળ,2006
Voir aussi
Liens internes
- Transcription des langues indiennes
- Écritures indiennes et informatique
Liens externes