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Dynastie Qing
Pour les articles homonymes, voir Dynastie Qing (homonymie).

Histoire de la Chine
Les Trois Augustes et les Cinq Empereurs
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1368Dynastie Ming
1644Dynastie Qing
1912République de Chine
1949République Populaire
 Taïwan

La dynastie Qing 1644-1911 (Sinogramme : 清朝 ; en Hanyu pinyin : qīng cháo) est la dernière dynastie à avoir régné sur la Chine. Elle n'est pas d'origine chinoise mais mandchoue. Elle succède à la dernière dynastie d'origine chinoise, la Dynastie Ming. Elle a été fondée par Aisin Giorio Nurhachi du clan Aisin Giorio, dans le nord-est de la Chine actuelle (en Mandchourie). La classe dirigeante des Qing parlait Mandchou, une langue toungouse. Les nobles mandchous étaient appelés « hommes de bannières » (qiren, 旗人 en mandarin), par référence aux huit bannières, les armées de la confédération mandchoue. A partir de 1644, les Mandchous prirent le pouvoir en Chine, instaurant un nouvel empire, l'Empire du Grand Qing (Chinois traditionnel : 大清國; Pinyin: dàqīngguó). Si la dynastie Qing avait été fondée en 1616 sous le nom de dynastie des Jin Postérieurs, ce nom fut changé pour "Qing", c'est-à-dire "clair", ou "pur" dès 1636. Après s'être emparé de Pékin en 1644, les mandchous étendirent leur pouvoir jusqu'à posséder la majeure partie du territoire actuel de la Chine. Cependant, la pacification du pays ne fut pas complète avant 1683.

Tout au long de son règne, la dynastie Qing s'est fortement associée à la culture chinoise. Toutefois, son pouvoir militaire s'affaiblit au cours du XIXe siècle et fut confronté aux pressions internationales, aux rébellions et à de multiples défaites militaires, ayant pour conséquence le déclin de la dynastie à partir de la seconde moitié du XIXe siècle. La dynastie Qing fut renversée à la suite de la révolution Xinhai, quand abdiqua le dernier empereur, Puyi , alors âgé de 7 ans, le 12 février 1912.

Formation de l'état mandchou

La dynastie fut fondée non pas par les Chinois Han qui constituent la majorité de la population chinoise, mais par des Mandchous, qui de nos jours ne représentent plus qu'une minorité ethnique en Chine. Les Mandchous descendent des Jurchens (女真), un peuple Toungouses qui vivait dans la région comprenant l'actuelle province russe du Krai de Primorsk et la province chinoise du Heilongjiang. Ce qui allait devenir l'état mandchou fut fondé par Nurhaci, le chef d'une tribu mineure Jurchen dans le Jianzhou (建州), au début du XVIIe siècle. Vassal de la dynastie des Ming, Nurhaci fut à partir de 1582 mêlé à des querelles entre les différentes tribus mandchoues, qui évolua rapidement en une campagne pour l'unification des tribus Jurchen du Jianzhou. Dès 1616, Nurhaci avait suffisamment pris de pouvoir sur la région pour s'auto-proclamer « Khan du Grand Jin » , en référence à la précédente dynastie Jurchen. Les historiens désignent cette entité pre-Qing comme la dynastie des Jin Postérieurs, pour la distinguer de la première dynastie Jin. Deux ans plus tard, Nurhaci renonça publiquement à la suzeraineté des Ming afin de terminer l'unification des tribus Jurchen toujours alliées à la dynastie Ming. Après une série de victoires militaires, il déplaça sa capitale de Hetu Ala à de plus grandes villes prises aux mains des Ming dans la province du Liaodong (辽东), telles que Liaoyang (辽阳) en 1621, puis Shenyang (沈阳, qui fut par la suite renommée Shenjing (盛京).

Déplacer sa cour du Jianzhou au Liaodong permit à Nurhaci d'obtenir un pouvoir basé plus solidement pour ce qui est des ressources matérielles et humaines, mais géographiquement ce déplacement le rapprocha aussi des tribus mongoles vivant dans les plaines de Mongolie. Bien qu'à cette époque la nation mongole née sous Gengis Khan n'était depuis longtemps plus qu'un peuple fragmenté, ces tribus désunies présentait toujours une sérieuse menace pour les Ming. La politique de Nurhaci envers les Mongols était de rechercher leur amitié et coopération, sécurisant ainsi le front ouest des Jurchen d'ennemis potentiels. De plus, les Mongols se révélèrent d'utiles alliés durant la guerre, en aidant les Jurchens de leurs archers cavaliers. Pour sceller cette nouvelle alliance, Nurhaci initia une politique matrimoniale entre les noblesses jurchens et mongoles favorables aux Jurchens, tandis que ceux qui s'opposaient à lui devaient subir ses attaques. C'est là un exemple typique de la politique de Nurhaci, qui finit par devenir la politique du gouvernement Qing ; c'est dans ce sens que de nombreux historiens s'accordent pour désigner Nurhaci comme véritable fondateur de cette dynastie. Une autre contribution important de Nurhaci fut la création d'une transcription de la langue mandchoue, basée sur l'écriture mongole, ainsi que la création d'un système administratif civil et militaire qui devint un élément clé de l'identité mandchoue, posant les fondations pour unifier les tribus Jurchens alors désunies.

La série de victoires militaires de Nurhaci prit fin en janvier 1626 quand il subit sa première défaite majeure, infligée par le général Yuan Chonghuan durant le siège de la ville ming de Liaoning. Il mourut quelques mois plus tard et fut succédé par son huitième fils, Huang Taiji, qui s'éleva après une querelle quant à la succession de Nurhaci. Bien qu'un général plein d'expérience et le chef de deux Bannières à ce moment-là, le règne de Huang Taiji commença mal sur le plan militaire. Les Jurchens essuyèrent une nouvelle défaite en 1627 de la part de Yuan Chonghuan. Comme l'année précédente, cet échec était dû à la supériorité des armes ming, des canons acquis auprès des Portugais. Pour redresser les disparités technologiques et numériques, Huang Taiji créa en 1634 son propre corps d'artillerie (重军). En 1635 les alliés Mongols furent entièrement incorporés dans une Bannière séparée des autres, mais directement dirigée par les Mandchous. S'ensuivit la création des deux premières Bannières Han en 1637 (qui s'élevèrent au nombre de huit à partir de 1642). Ces réformes militaires permirent à Huang-Taiji de vaincre les troupes Ming dans une série de batailles de 1640 à 1642 sur les territoires du Songshan et du Jingzhou. Cette victoire finale eut pour conséquence la capitulation des troupes les plus usées par le combat de la dynastie Ming, et le retrait permanent des troupes Ming restantes des territoires situés au nord de la Grande Muraille. Sur le plan géopolitique, cette victoire a donné aux Mandchous le contrôle indiscutable de la dynastie Joseon coréenne, jusque là vassale des Ming.

Sur le plan civil, Hung Taiji organisa un système bureaucratique rudimentaire basé sur le modèle du gouvernement Ming. Sa bureaucratie comprenait un nombre important de chinois Han, des officiels Ming qui venaient de se rendre aux Jurchens ; cependant, un quota ethnique permettait aux Jurchens de dominer ce gouvernement, en obtenant les plus hauts postes.

Empereurs de la dynastie Qing

La dynastie Qing compta douze empereurs.
  1. Nurhachi, empereur de Chine du Nord (1616-1625)
  2. Huang-Taiji, empereur de Chine du Nord (1625-1643)
  3. Shunzhi (Shizu) (Aixinjueluo Fulin), empereur de Chine du Nord (1643-1644) puis empereur de Chine (1644-1661)
  4. Kangxi (Shengzu) (Aixinjueluo Xuanye) (1661-1722)
  5. Yongzheng (Shizong) (Aixinjueluo Yinzhen) (1722-1735)
  6. Qianlong (Gaozong) (Aixinjueluo Hongli) (1735-1796)
  7. Jiaqing (Renzong) (Aixinjueluo Yongyan) (1796-1820)
  8. Daoguang (Xuanzong) (Aixinjueluo Minning) (1820-1850)
  9. Xianfeng (Wenzong) (Aixinjueluo Yining) (1850-1861)
  10. Tongzhi (Muzong) (Aixinjueluo Zaichun) (1861-1875)
  11. Guangxu (Dezong) (Aixinjueluo Zaitian) (1875-1908)
  12. Xuantong (Xundi, Modi) (Aixinjueluo Puyi) (1908-1912), abdique en 1912 (proclamation de la république), puis empereur de la Mandchourie (1936-1945)

La population fut sans doute étonnée par l'attitude conciliatrice du second empereur Qing Kangxi. La politique économique était d'enrichir les paysans et des exonérations spéciales dans les campagnes eurent pour conséquence la prospérité dans les milieux ruraux. Des révoltes injustifiées furent brisées avec puissance. Et les derniers Ming furent abattus. La période de prospérité culmina sous le règne de Qianlong avant que ne commence une longue et désagréable décadence.

Notes et références


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