, 6 km de son centre, Grande-Synthe est située sur la façade maritime du triangle le plus densément peuplé, urbanisé et équipé de voies de communication de notre continent, en effet Grande-Synthe est reliée à
par l'A16/E40.
Cette proximité maritime confère un climat océanique tempéré.
La ville a été amenée à renoncer à sa côte naturelle pour mieux accueillir les bateaux du monde entier grâce au port en eau profonde de Dunkerque.
Dans la Flandre française s’achevant sur les monts d’Artois, Grande-Synthe dispose d’un tissu d’axes de communication diversifié : autoroutes gratuites sur de longues distances, gare TGV à Dunkerque mettant Paris à 1h30 de la côte ; proximité du tunnel sous la Manche, voies navigables intérieures, première gare de triage de France en volume traité…
Histoire
C'est de l'histoire ancienne
Car, avant la ville contemporaine, il y avait un village rural de fermes entourées de champs gagnés sur la mer au fil des siècles : à partir du VIII
e siècle, les connaissances et le travail des bénédictins permirent de canaliser les eaux en ayant recours aux
wateringues qui s’écoulaient dans les fleuves comme l’
Aa ou directement dans la mer. De nouvelles terres sont ainsi rendues cultivables par les seigneurs et abbayes car la puissance, le pouvoir, venait de la terre, de sa possession, de sa capacité à nourrir les familles. Et bien qu’habitant un village côtier, les Synthois sont longtemps restés des agriculteurs à l’abri des dunes. Le comte Jean fit édifier une première digue dès
1280 au niveau de l’actuelle rue qui porte son nom. Il était difficile de prospérer au calme quand on fait partie de la Flandre maritime : alliances, mariages, successions, hégémonies cycliques d’abbayes diverses, enjeu stratégique entre les trois grandes puissances des XVI
e, XVII
e et XVIII
e siècles : Espagne (qui possèdent alors les Pays-Bas), Angleterre et France… Combien de batailles en Flandre ont décidé du sort des Synthois… Dunkerque représentait un port intéressant dans cette zone aux frontières fluctuantes et son histoire est riche et glorieuse. Après une épidémie de choléra particulièrement meurtrière en
1870 arrivée par bateau au port, la fin du XIX
e siècle fut une époque plus stable et prospère pour les familles synthoises. Las, Dunkerque allait se retrouver aux premières loges dans le théâtre des opérations lors des deux conflits mondiaux…
1914-1939
Lors de la Première Guerre mondiale, les rives de l’
Yser sont une ligne de front moins célèbre en France aujourd’hui que le
Chemin des Dames. Malgré les efforts des Allemands, Dunkerque ne “tombe” pas et sert même de “camp retranché”. Les plages permettent d’amener les troupes du Commonwealth grâce aux aérodromes aménagés autour de la ville. Une visite aux monuments aux morts d’Ypres et de Dixmude donne toute la dimension de ces années terribles… Dès le retour de la paix, la première usine locale sort de terre le long du canal de Bourbourg. Le groupe Carel et Fouché y fabrique des péniches. Cette usine a employé jusqu’à 400 salariés entre les deux guerres (la ville ne compte alors pas plus de 3500 habitants). La cité des Deux-Synthe est construite pour héberger ouvriers et contremaîtres. Grâce à l'arrivée de l'électricité en 1923, la prospérité du village est de retour puisqu’elle permettait la transformation des produits agricoles et une substantielle valeur ajoutée…
La seconde guerre mondiale
La Seconde Guerre mondiale allait bouleverser Grande-Synthe de façon irrémédiable. Elle débuta par la
Drôle de guerre mais l’offensive allemande par la Meuse et la Somme encercle les troupes anglo-françaises dans la poche de Dunkerque. Elle se termine avec l’extraordinaire opération Dynamo qui permet à de nombreux soldats britanniques et français de réembarquer pour l’Angleterre sur une flottille hétéroclite mais héroïque dont le 60ième anniversaire fut célébrée en 2000 à Dunkerque. Freinés par l’ouverture des vannes qui inondent les sols inférieurs au niveau de la mer, les Allemands retiendront le stratagème quand à leur tour ils se replieront sur la ville en 1944. Ils ne se rendront qu'une fois Berlin tombée, un jour après la signature de l'armistice, le 9 mai 1945. Entre temps, pendant l'Occupation, le “terrain d’aviation” présente un intérêt aux yeux des envahisseurs. Ils transforment la ferme du petit Prédembourg en
Kommandantur. Les Anglais bombardent quelquefois le village afin de détruire ces aéroports, d'où décollaient des avions allemands participant au
Blitzkrieg contre l'Angleterre. Après le débarquement de juin 1944, l’espoir renaît dans la population mais la percée alliée après la fin de la bataille de Normandie va se heurter ici à un ennemi sur la défensive, prêt à tout pour conserver sa position dunkerquoise. Les Grand-Synthois ont tous en mémoire la nuit du 15 septembre 1944. Les villageois encore présents à ce moment-là furent chassés de leur domicile en quelques heures n’emmenant que bien peu de choses et cherchant alors à se loger dans la famille, plus à l’intérieur des terres, déjà libéré. 239 des 371 maisons de la commune furent complètement détruites ainsi que l’église, dynamitée. 132 furent sinistrées et aucune maison ne resta intacte.
De retour 8 mois plus tard, les habitants ne peuvent que constater qu’il n’y a plus rien. Ils doivent repartir à zéro et les années qui suivent sont difficiles. Ils peinent à rebâtir leur domicile, accaparés par l’urgence de rendre la terre cultivable de nouveau, traumatisés par ceux qui sont morts à cause des mines en voulant remettre leurs champs en état. Les marraines de guerre américaines et canadiennes envoient des chèques et des colis, le Général de Gaulle accorde au village une “croix de guerre” mais au quotidien, tout fait défaut… et déjà, le village n’est pas rebâti suivant les fondations ancestrales…
L’épopée moderne : 1960 à nos jours
Le séisme n’est pas fini puisque malgré ce lien vital qui unit les Grand-Synthois à leur terre, la France désire retrouver son rang de puissance économique, tournée vers l’avenir. Pour cela il faut entre autre de l’acier issu d’une usine performante : elle s’implantera précisément sur les terres synthoises.
Les états d’âme des maraîchers et agriculteurs, qui ont tant donné d’eux-mêmes pour se relever, ne pèsent pas lourds dans ces enjeux de dimension européenne car autour du site industriel, il faut bâtir une véritable ville pour loger ceux qui le font et y travailleront. Une ville-champignon va ainsi sortir de terre.
C’est alors une génération de pionniers qui viendra projeter Grande-Synthe dans une ère moderne. Foin du passé, on découvre des vestiges de galions en creusant les fondations de l’usine ? Qu’à cela ne tienne ! C’est demain qui importe. Les logements sont à peine achevés qu’ils sont déjà occupés : en ”cité” ou en HLM. Tous, Grand-Synthois de souche et nouveaux arrivants, ont alors en commun que leur vie est faite de ruptures… toutes les familles abandonnent un ”ailleurs” forcément rassurant pour un eldorado en perpétuel chantier dans la ville la plus septentrionale de France. Tous déracinés, et surtout les femmes qui suivent leurs maris sans autres motivations que celle d’épouse et de mère. L’infrastructure portuaire favorise alors l’implantation d’autres groupes industriels en Flandre maritime, profitant et générant à leur tour des flux en tous genres : transports, énergies, main-d’oeuvre…jusqu’à un point d’inflexion qui se situe vers 1975, conséquence du Choc pétrolier mais aussi du début d’une réflexion pour s’intéresser à l’amélioration du cadre de vie, à l’aspiration d’un retour à la nature. Ceci se vérifiera dans le quartier de Courghain, conçu pour valoriser le “bien-être familial dans un paysage respectueux de la Flandre” tout en étant moderne et innovant et par la décision de créer artificiellement un “poumon vert” au Puythouck. Beaucoup de jeunes adultes se souviennent d’avoir planté “leur arbre” en classe. Le travail de sensibilisation à la nature commençait déjà. Le progrès est un peu myope et l’urgence faisait loi mais dès 1982, des HLM construits 20 ans auparavant sont détruits.
Arrivé à un point de rupture de sa croissance constante, la ville doit apprendre à “souffler”, à trouver son rythme. Grâce à une utilisation optimale de financements gouvernementaux dans le cadre du plan “Développement social des quartiers”, la ville se transfigure et lance les axes qui sont les fondamentaux de la ville aujourd’hui. Ainsi, Grande-Synthe est devenue une ville verte, qui recherche l’équilibre indispensable pour réussir le XXIe siècle.
Héraldique
| Les armes de Grande-Synthe se blasonnent ainsi : "D'azur à une fleur de lis d'or, au chef d'argent chargé d'un lion léopardé de sable." |
Administration
Liste des maires successifs |
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|
2008 | 2014 | Damien Carème | PS | conseiller régional |
2001 | 2008 | Damien Carème | PS | conseiller régional |
1995 | 2001 | André Demarthe | PS | ... |
1989 | 1995 | René Carème | PS | ... |
1983 | 1989 | René Carème | PS | ... |
1977 | 1983 | René Carème | PS | ... |
1971 | 1977 | René Carème | PS | ... |
1965 | 1971 | Mr Duhem | ... | ... |
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
Démographie
Évolution démographique <nowiki /> |
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Source : Cassini et INSEELieux et monuments
- Les différentes mairies Synthoises
La guerre eut raison de la mairie en brique de sable, de style flamand, aux pignons caractéristiques, typique de la région. Les volets et boiseries étaient souvent repeints de couleurs pimpantes pour Pâques. Elle se situait entre le cimetière et le Crédit agricole, avec l'école.
Totalement détruit pendant la guerre, la mairie, à l'image de beaucoup de Synthois, se contenta d'un chalet canadien provisoire symbolise bien la vie difficile qui s’organisa dans ces baraquements de fortune, faits de bois et de carton bitumé, désignés UK100…
Les lignes modernes des années 1950/60 caractérisent la nouvelle mairie inaugurée en 1958 par Julien d'Hulster. Elle fut rapidement le théâtre d'un bouleversement total puisque l'arrivée d'Usinor allait "booster" le village de façon très artificielle. Elle sert désormais aux réunions des associations.
Sa taille, répondant aux nécessités d’un village, n’était plus adaptée à la ville moderne qui a vu la population décupler et son centre déplacé autour de l’actuelle maison communale conçue par le cabinet d’architectes Allain et Prieur (voir photo). Elle a connu un petit agrandissement au deuxième étage qui n'a pas dénaturé l'ensemble.
- L’histoire des églises synthoises mérite également quelques explications qui vont de pair avec celle des mairies…
Il ne reste que quelques clichés de l’église trapue de style roman construite en 1757 et dynamitée avec 600 kg d’explosifs par les Allemands la nuit du 16 juin 44. Seule une partie du bronze de la cloche a pu être récupérée pour fondre la « Jacqueline » qui résonne à Saint-Jacques. Point de passage d’un des chemins vers Compostelle au XIe siècle en raison notamment de la légende du Kruysbellaert, Cette particularité justifie le saint qui donne son nom à l’église. D’ailleurs un autre vestige de l’ancienne église est enchâssée dans l’actuelle : une statue en bois le représentant. Une autre reproduction plus contemporaine nous accueille sur la façade principale.
Les vitraux sont d’une époque qui dura peu et ils risquent ainsi de devenir notable pour les historiens de l’art : ils sont l’oeuvre d'un 1er prix de Rome et sont encore une représentation des personnages saints avant que l’abstraction ne se généralise dans les églises modernes…
Ce qui est le cas dans la seconde, l'église Saint-Joseph, construite dans la moitié orientale du territoire par l’évêché qui voyait la population synthoise augmenter. Avec ses volumes et l’usage du béton typique des années 1970, et à l’inverse de certains bâtiments de cette époque, elle traverse bien le temps et garde une forte personnalité même si elle est désormais inutilisée.
- La digue du Breack qui protège sur 10 kilomètres les installations industrielles, érigée en 1965, est un haut lieu du tourisme industriel. Elle permet une vision unique et très impressionnante sur le site portuaire et industriel dunkerquois et grand-syntois.
Personnalités liées à la commune
- Rémy Vercoutre, footballeur au poste de gardien de but et actuel doublure de Grégory Coupet à l'Olympique lyonnais (Ligue 1) né le 26 juin 1980 à Grande-Synthe.
- Geoffrey Dernis, footballeur au poste de milieu de terrain gauche, actuellement à l'AS Saint Étienne, né le 24 décembre 1980 à Grande-Synthe.
- Robert Malm footballeur au poste d'attaquant 34 ans Date de naissance 21 août 1973 Lieu de naissance Dunkerque Taille 1m80 Poids 73 kg Poste Attaquant Club actuel Nîmes National 2007-2008
Économie
Simple
Hameau au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, elle doit son essor rapide à partir des
Années 1960 au développement de l'
industrie sidérurgique.
Proximité immédiate avec l’ensemble des villes de la Communauté urbaine de Dunkerque, grands axes routiers en liaison directes avec Bruxelles, Lille, Calais, liaison rapide, directe et privilégiée avec les ports de Dunkerque et le port de Loon-Plage, autant d’atouts qui procurent à Grande-Synthe une large ouverture sur le littoral Nord de la France, mais aussi sur la Grande-Bretagne et la Belgique.
Terre d’accueil de la métallurgie et de ses corolaires, richement dotée d’équipements sportifs et culturels, Grande-Synthe regroupe des activités économiques liant tradition et modernité.
Culture
- Grande-Synthe compte quatre collèges : Anne-Franck, Jules-Verne, du Moulin, et de l'Abbé-Bonpain et trois lycées : le lycée du Noordover, le lycée des Plaines du Nord, et le lycée automobile.
- Grande-Synthe compte également 17 écoles : Abbé-René Bonpain, Jacques-Brel, Buffon, Chabrier, Clemenceau, Pierre-et-Marie Curie, Julie-Daubié, Francisco-Ferrer, Jules-Ferry, Célestin-Freinet, Victor-Hugo, Lorca, Blaise-Pascal, Paul-Verlaine, Jean-Moulin, Jacques-Prévert, Des Deux-Synthe.
- Un Festival de Blues, le Bay Car Blues Festival, a lieu chaque année en avril/mai à Grande-Synthe.
- Une chaîne de télévision locale, l'ASTV, peut être regardée à Grande-Synthe et sur internet (voir lien plus bas). Il s'agit de la première télévision associative de France, créée par Patrice Vermeersch.
Lieux de culture
- La médiathèque Nelson-Mandela : Elle est un des lieux privilégiés de partage de la culture. Elle compte pas moins de 4700 adhérents et organise régulièrement des animations comme des lectures publiques, des contes…
- La galerie Robespierre : La galerie propose une dizaine d’expositions d'arts plastiques par saison culturelle : peintures, sculptures, vidéo, photographies, installations. Les oeuvres des artistes locaux et professionnels s’y croisent. Des visites guidées des expositions sont possibles pour les groupes sur simple demande. Des stages d’arts plastiques ainsi que des conférences ont également lieu dans une perspective de sensibilisation à l’art moderne et contemporain.
- Le cinéma Le Varlin : programme des films «grand public» et met en place des actions de sensibilisation à l’image : projections débat, expositions, projections vidéo, diaporamas… Les habitants peuvent intégrer la commission du Varlin afin de proposer de nouveaux projets et bénéficier d’un accompagnement professionnel dans la mise en oeuvre d’actions.
- La maison du théâtre : Située dans le quartier du Courghain, elle passerait presque inaperçue… Par volonté de se rapprocher des gens dans leur quotidien. Fi des temples aux colonnes qui vous écrasent, la culture doit être un acte courant, pas l’exception. Récemment de mise aux normes et améliorée en termes techniques, elle est le centre névralgique où se forment nos acteurs.
- École de musique municipale et lieu musical
- Le Palais du littoral : Reconstruit entièrement et inauguré en 2007, il comporte maintenant une grande salle de Théâtre et une grande salle de concert de 3000 places.
Espaces naturels et de loisir
- Partis de classiques massifs de rosiers il y a 30 ans, les jardiniers municipaux ont, au fur et à mesure des années, acquis une connaissance technique qui favorisa la reconnaissance de leur travail et la notoriété de la ville. Grande-Synthe a su grandir en préservant et améliorant le cadre de vie de ses habitants : 220 000 fleurs y sont plantées chaque années ! La nature est présente partout dans cette ville de Flandre aux maisons de briques, parcourue par un réseau de canaux et jalonnée de jardins. De nombreux itinéraires ont été créés pour une découverte originale de la ville.
- Un sentier de randonnée urbain de 10 km au fil de l'eau;
- Espace naturel protégé du Puythouck avec Lac (130 ha), verger pédagogique, parcours de pêche, chasse règlementée, parcours VTT, base de voile, centre aéré.
- jardin des plantes médicinales André Gaudron, à la ferme des Jésuites
- jardin public avec bassin à carpe koï et de multiples jeux pour les jeunes enfants.
- Parcs urbains : Albeck, Moulin, Saint-Jacques, Jardin public.
- Plantation d'une nouvelle zone boisée de 85Ha avec 150 000 arbres au Prédembourg
- La gestion différenciée de l'espace naturel : spécialité reconnue de la ville de Grande-Synthe exportée partout en France
La ville de Grande-Synthe a obtenue de nombreuses récompenses pour ses efforts environnementaux :
- Grand prix national du fleurissement en 1991, 1994, 1997, 2000, 2003, 2006 et 2007.
- Label 4 fleurs des villes fleuries depuis 1991.
- Prix national de l'arbre en 1992 et en 2005
- 1er prix du concours transmanche en 1993
- Prix de l'association internationale des producteurs et horticulteurs pour l'innovation, la qualité et la diversité des espaces verts du fleurissement en 2000.
Sports
Grande-Synthe compte, en 2005, 6327 licenciés sportifs, soit 20,8 % de la population. 33 disciplines pratiquées grâce à 42 sections sportives. La ville, propose 17248 m² de surface couverte et 68 500 en extérieur.
- 6 stades : stade Jean-Deconinck (2 terrains de football), stade André-Calcoen (3 terrains de football), stade du Puythouck (2 terrains de rugby, 2 terrains de football), stade Debussy (1 terrain de football), stade du Moulin (2 terrains de football, 1 terrain de rugby), stade du Basroch (1 terrain de rugby)
- 3 terrains multisports, 2 dans le quartier du moulin, un dans l'albeck
- 12 gymnases : gymnase Buffon, gymnase Chabrier, gymnase Clemenceau, gymnase Dupailler, gymnase Du Basroch, gymnase du Moulin, gymnase Léo-Lagrange, gymnase Jean-Marc-Bobeuf, gymnase Victor-Hugo, halle de sports Debussy, halle de sports Dufour, halle de sports du Noordover
Équipements sportifs spécifiques grand-synthois :
- Base de voile, boulodrome, salle de boxe, vélodrome, halle de sports du Noormeulen (spécialisée pour le volley), salle d’haltérophilie, dojo, salle de gymnastique, complexe de tennis, amicale canine, terrain de tir à l'arc (20m, 30m, 50m, 70m, 90m ; 6 blasons 120cm max)
- 2 espaces jeunes : Moulin et Albeck avec gymnase et activité divers
- Piscine Léo-Lagrange (25m) spécialisée dans le water polo, grand et petit bassin.
Jumelages
Voir aussi
Liens internes
Notes, sources et références
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Liens externes