Hyères
6°07′54″E / .., ..] Cet article possède un homophone, voir Yerre (homonymie). Pour les articles homonymes, voir Hyères (homonymie). Hyères en Français (prononcer ), Ieras en Provençal selon la norme classique et Iero selon la Norme mistralienne (prononcer ), est une Commune française située à sept cent deux kilomètres au sud-EST de Paris dans le département du Var et la région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle est située sur la rive de la Mer Méditerranée à l'embouchure du Gapeau, c'est le Chef-lieu de deux cantons, une Station balnéaire. Elle est surnommée Hyères-les-Palmiers grâce aux 7 000 palmiers plantés dans la commune et cultivés dans les pépinières. C’est à Hyères, en 1887, que Stéphen Liégeard inventa le terme de Côte d'Azur : « le long de cette plage baignée de rayons qui mérite notre baptême de Côte d’Azur, Hyères la première eût l’idée de mettre ses dons bénis au service de la maladie et de l’espérance. » Ses habitants sont appelés les Hyérois. Géographie La commune d'Hyères inclut notamment la Presqu'île de Giens et les îles d'Hyères. Ces îles comprennent Porquerolles, Port-Cros et l'île du Levant ainsi que de nombreuses petites îles et îlots. On les appelle aussi les îles d'Or, ce nom leur fut donné à la Renaissance, sans doute parce que, sous certains éclairages, les micaschistes de leurs roches ont des reflets d'or. Outre ces îles, la ville est composée de nombreux quartiers tels que La Capte, Giens, L'Almanarre, L'Ayguade, Les Salins-d'Hyères ou Les Borrels. La ville longe la mer sur 39 km de côte, et est la plus au sud de la Provence. Ces côtes sont tour à tour de sable ou de falaises rocheuses. La plus ancienne des stations climatiques de la Côte d’Azur est dans un site abrité. Ses vieux quartiers s’accrochent au versant sud de la colline du Castéou (204 m) et dominent la ville moderne et la rade qu’enserrent le cap Bénat et la presqu’île de Giens. La notoriété de la ville se fait dès le XVIIIe siècle. HydrologieReliefCommunes limitrophesDu sud- Ouest à l' EST, la commune est baignée par la Mer Méditerranée, avec le Golfe de Giens au sud- Ouest de la Presqu'île et le quartier insulaire de Porquerolles au sud. Du sud- EST à l' EST se trouve la Rade d'Hyères avec les îles de Bagaud, Port-Cros et Le Levant. Au Nord- EST la commune est limitrophe de La Londe-les-Maures, de Pierrefeu-du-Var au Nord, le Gapeau la sépare de La Crau au Nord- Ouest, la Station balnéaire de Carqueiranne est située à l' Ouest. ClimatHyères est située sur la Côte d'Azur et bénéficie d'un climat méditerranéen aux étés chauds et secs et aux hivers doux et relativement humides. La Rade peut être soumise à des vents violents avec un record établi à 148 km/h le 28 novembre 1983. Le mistral souffle parfois bien que la commune soit abritée au Nord par le Massif des Maures. Elle est parfois exposée au levant qui s'engouffre dans la Rade entre Port-Cros et le Cap Bénat mais est protégée du Sirocco par Porquerolles et la Presqu'île de Giens. En moyenne annuelle, la Température s'établit à 15,9°C avec une moyenne maximale de 20,1°C et une minimale de 11,8°C. Les températures nominales maximales et minimales relevées sont de 29°C en Juillet- Août et 6°C en Janvier et Février, valeurs douces grâce à la présence de la Méditerranée et de l' Agglomération Toulonnaise. Les jours de Gel sont assez rares mais le 10 février 1986 fût relevée la température de -7,5°C. À l'inverse, le 7 juillet 1982 la température de 40,1°C établissait un record. L' Ensoleillement moyen s'établit à 2 899.3 heures par an avec une pointe à 373,8 heures en Juillet. Autre valeur importante, caractéristique du climat méditerranéen, les précipitations totalisent à Hyères 665 millimètres sur l'année, valeur relativement faible par rapport à d'autres communes du pourtour méditerranéen et surtout les pluies sont très inéquitablement réparties avec moins de sept millimètres en Juillet et près de quatre-vingt quatorze millimètres en Octobre. Le record de précipitations relevées en vingt-quatre heures s'établit à 156 millimètres le 16 janvier 1978. Mois | Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. | Année |
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Températures maximales moyennes (°C) | 13 | 13 | 15 | 18 | 22 | 26 | 29 | 29 | 26 | 21 | 16 | 14 | 20,1 |
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Températures minimales moyennes (°C) | 6 | 6 | 8 | 10 | 13 | 16 | 19 | 19 | 17 | 13 | 9 | 7 | 11,8 |
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Températures moyennes (°C) | 9 | 10 | 11 | 14 | 17 | 21 | 24 | 24 | 21 | 17 | 13 | 10 | 15,9 |
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Ensoleillement (h) | 155,3 | 158,2 | 217,6 | 252,1 | 301,5 | 329,3 | 373,8 | 334,9 | 259,9 | 210,3 | 158,7 | 147,6 | 2899,3 |
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Moyennes mensuelles de précipitations (mm) | 76,3 | 88,3 | 56,4 | 55,7 | 45,0 | 22,3 | 6,6 | 28,5 | 49,1 | 93,9 | 69,4 | 73,5 | 665,2 |
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Source : Archives climatologiques mensuelles - Toulon (1961-1990) |
TransportsQuartiers et lieux-dits - La commune d'Hyères étant très étendue en superficie, elle a été subdivisée en plusieurs quartiers, appelés « fractions », qui possèdent une mairie annexe. Ces mairies annexes sont les suivantes :
- Les Salins
- L'Ayguade
- Les Borrels
- Sauvebonne
- Le Port
- La Capte
- Giens
- Porquerolles
- Port-Cros
- Le Levant
ToponymieLe nom de Hyères est une déformation du nom de l'ancienne colonie romaine Areae. Le nom de cette ville semble provenir des salins qui s'étendaient à proximité, peut-être depuis l'Antiquité tardive, après altération du terme latin areae désignant des Marais salants. Hyères est citée pour la première fois en 963 sous la forme Eyras ou Eras. On doit faire l'élision et parler de la ville d'Hyères ainsi que des îles d'Hyères, mais ce point de grammaire est souvent contesté par les hyérois eux mêmes. En 1801, la ville s'orthographiait indifféremment Hières ou Hyères. HistoireVoir article Chronologie d'Hyères En 1853, le territoire communal fût démembré de La Crau, de Carqueiranne en 1894 et de La Londe-les-Maures en 1901. DémographieÉvolution démographique Évolution démographique <nowiki /> | <nowiki /><nowiki /> | <nowiki /><nowiki /> | <nowiki /><nowiki /> | <nowiki /> | Source : Cassini et INSEE. Histogramme (élaboration graphique par Wikipédia) Pyramide des âgesAdministration et politique Hyères est divisée en trois cantons, mais n'est Chef-lieu que de deux d'entre eux : soit 50 789 habitants. La troisième partie d'Hyères appartient au Canton de la Crau. Maires d'Hyères{{Boîte déroulante|titre=Liste des maires successifs|contenu= ' | Période | Identité | Parti | Qualité |
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1677 | 1682 | Charles Valeran | ? | Avocat, 1er Consul | 1682 | 1687 | François Boutiny | ? | Avocat, 1er Consul | 1687 | 1688 | Joseph Montanard | ? | 2e Consul | 1688 | 1689 | N. Ailhet | ? | ? | 1689 | 1691 | Joseph Dellor | ? | 1er Consul | 1691 | 1694 | Joseph Boutiny | ? | Écuyer, 1er Consul | 1694 | 1695 | Joseph Arène | ? | Viguier | 1695 | 1698 | Jean Clapiers | ? | 1er Consul | 1698 | 1701 | Joseph Arène | ? | Viguier | 1701 | 1702 | M. De Cambe | ? | 1er Consul | 1702 | 1704 | Jean Clapiers | ? | 1er Consul | 1704 | 1705 | Claude Couture | ? | 1er Consul | 1705 | 1707 | Joseph Massillon | ? | 2e Consul | 1707 | 1710 | Joseph Arennes | ? | Viguier, 1er Consul | 1710 | 1714 | François Dellor | ? | 1er Consul | 1714 | 1717 | Joseph d'Arennes | ? | Viguier, 1er Consul | 1717 | 1718 | Jean Clapiers | ? | 1er Consul | 1718 | 1720 | M. Laurent | ? | ] Olbius Hippolyte Antoine Riquier lègue le clos Riquier par testament à la ville d'Hyères le 13 avril 1868. Le 14 juillet 1872, sur une idée conjointe de la municipalité et d'Albert Geoffroy Saint Hilaire, alors directeur du jardin d'acclimatation de Paris, une convention est signée donnant à bail pour 26 ans le terrain du clos Riquier afin d'y créer un établissement où l'on pourrait cultiver, étudier et créer des espèces tropicales susceptibles de s'acclimater dans nos régions. Cet endroit était une annexe du jardin d'acclimatation de Paris. De nos jours, ce parc de 7 hectares est à la fois un jardin d'agrément et un Jardin botanique avec de nombreuses essences exotiques rares. Patrimoine architecturalthumbIcône de détail Article détaillé : .- Chapelle Saint-Blaise dite tour des Templiers
thumb thumb Commanderie construite par l'ordre du Temple au XIIe siècle. Au XIVe siècle elle comprenait corps de logis, grange, cellier, moulin, four et la tour Saint-Blaise, son seul vestige actuel. Après la suppression de l'ordre du Temple elle fut affectée à la communauté des frères de la commanderie hospitalière de Baulieu, qui les afferma d'abord à divers particuliers. En 1673, elle les céda à la ville, par bail emphytéotique. La chapelle resta affectée aux pénitents bleus jusqu' en 1765. La ville transforma à cette date la chapelle en halle, puis fit ajouter un étage interne en 1770. Elle fit procéder à l'aménagement d'un niveau intermédiaire, avec démolition des voûtes et construction d'un escalier intérieur. L’hôtel de ville occupa dès lors les lieux jusqu' en 1913. Après restauration, c’est aujourd’hui un lieu d'exposition. Cet édifice fut classé monument historique le 30 mars 1987.thumb Monument historique classé en 1992. Exposition permanente d'ex-voto qui racontent des évènements qui se sont déroulés pendant les guerres de religion. La légende veut que le trésor des templiers y soit caché.- Site archéologique d'Olbia
Rouvert au public en 1999, le site archéologique d’Olbia, ancien comptoir de la cité de Marseille, juxtapose des éléments grecs, romains et médiévaux. Située au bord du golf de Giens, à Hyères, sur la route des comptoirs entre Nice et Marseille, Olbia (« la Bienheureuse » en grec) est évoquée par Strabon (Ier siècle av. J.-C.) dans sa Géographie. Le site a été fouillé dès le XIXe siècle par divers archéologues, dont le prince Frédéric, futur roi du Danemark, Alphonse Denis, maire d'Hyères, et le lieutenant-colonel Poitevin de Maureillan.thumb Le château et les fragments de la première enceinte urbaine dominent le site dont l'escarpement fut retenu pour ses possibilités de défense. Au sommet, le château ne conserve que les vestiges du XIIIe au XVe siècle qui ont échappé à son démantèlement en 1620. L'enceinte de la partie la plus ancienne de la ville encadre le château et délimite une zone déjà largement abandonnée par la population au XIVe siècle au profit de la ville basse. C'est de cette époque que date la reconstruction générale de l'ouvrage dont les fragments sont encore visibles, tant pour la ville haute que pour la ville basse.thumb Le castel Sainte-Claire est le premier des édifices qui, à partir du milieu du XIXe siècle, ont réinvesti les espaces vacants de la vieille ville. C'est une villa bâtie, dans un style roman de fantaisie, par Olivier Voutier, le découvreur de la Vénus de Milo. Par la suite, l'écrivain américain Edith Wharton y résida de 1927 à 1937 alors que Robert Mallet-Stevens et de nombreux autres artistes oeuvraient, au clos Saint-Bernard, pour Charles de Noailles.Située 2, avenue Jean-Natte, cette villa fut construite en 1881 par l'architecte Pierre Chapoulart pour l’industriel Alexis Godillot. Elle était destinée à la fois aux réceptions données par l’industriel mais aussi à la location aux hivernants. Personnalitésthumb thumb thumb thumb- Artistes
- Yann Arthus-Bertrand, né en 1946, vit dans un fort de l'anse de Port-Man, dans l'île de Port-Cros.
- Louis-Henri Brévière, dessinateur et graveur
- Alfred-Louis Brunet-Debaines (1845 Rouen- vers 1935 Hyères) : aquafortiste, fils de l'architecte Charles Brunet-Debaines
- Écrivains
- Benoîte Groult, journaliste et romancière trés impliquée dans le mouvement féministe des années 60, née à Paris en 1920, Benoîte Groult vit depuis de longues années entre la Bretagne et la vieille ville de Hyères. En 1958 elle publie son premier roman, 'Journal à quatre mains', puis 'Ainsi soit-elle' essai sur la condition féminine qui connaît un grand succès.
- Paul Bourget, il possédait une magnifique villa à Costebelle, Le Plantier
- Paul Berna, un des pseudonymes de Jean Sabran, écrivain de livres pour enfants et livres policiers
- Joseph Conrad
- Victor Hugo
- André Malraux qui avait épousé Josette Clotis, fille du maire d'Hyères Joseph Clotis. Elle mourra dans des conditions dramatiques ainsi que les deux fils Pierre Gauthier et Vincent (23 mai 1961) qu'elle lui avait donnés.
- Josette Clotis : écrivain français, femme d'André Malraux, auteur de Le vannier, Une mesure pour rien, morte écrasée par un train le 12 novembre 1944 à Saint-Chamand. Sur sa vie avec Malraux voir Suzanne Chantal Le coeur battant : Josette Clotis, André Malraux
- Jules Michelet
- Saint-John Perse, actuellement inhumé au cimetière de la presqu'île de Giens
- Robert Louis Stevenson: il séjourna en 1883 et 1884 dans un chalet appelé Solitude. Il écrivit alors « Ce coin, notre jardin et notre vue sont sub céleste. Je chante tous les jours avec Bunian le grand barde. Je réside près du Paradis. Plus tard il écrivit « Heureux, je le fus une fois et ce fut à Hyères »
- Edith Wharton
- Ecclésiastiques
- Jean-Baptiste Massillon (1653-1742)
- Antoine Eugène Genoud, dit l'abbé de Genoude
- Industriels
- Médecins
- Alfred Richet (Dijon 1816-Hyères 1891), grand chirurgien français, père de Charles Richet, Prix Nobel en 1913.
- André et Gaston Durville, médecins créateur d’Héliopolis, à l’île du Levant.
- Militaires
- Musiciens
- Artistes de théâtre et cinéma
- Simone Berriau
- Richard Bohringer, né le 16 janvier 1941 à Moulins, acteur et chanteur. Vit dans le quartier de l'Ayguade.
- Mylène Demongeot, née le 28 septembre 1936 à Nice, actrice. Vit sur l'île de Porquerolles.
- Henri Garat, né le 3 avril 1902 à Paris (sous le nom d'Émile Henri Garascu), mort à l'hôpital d'Hyères en 1959. Acteur de Cinéma français de l'entre-deux-guerres, très célèbre alors, mais ayant terminé sa vie dans la plus grande misère. Henri Garat a aussi chanté de nombreux succès dans les années 30, notamment Avoir un bon copain, repris par Jean-Pierre Bacri dans le film d'Alain Resnais : On connaît la chanson.
- Gérard Jugnot, né le 4 mai 1951 à Paris, acteur et réalisateur de cinéma. Vit sur la presqu'île de Giens.
- Sportifs
- Lucien Aimar, né en 1941, champion cycliste, vainqueur du Tour de France 1966.
- Alain Boghossian, né le 27 octobre 1970, ancien footballeur français, milieu, international ayant remporté la coupe du monde 1998.
- Lilian Compan, né le 30 avril 1977, footballeur, attaquant, international espoir.
- Henri Lacroix, triple champion du monde de Pétanque.
- Frank Leboeuf, né le 22 janvier 1968 à Marseille. Footballeur, sélectionné à 50 reprises en équipe de France, champion du monde 1998. Il a joué au F.C. Hyères de 1986 à 1987.
- Nathalie Lelièvre , championne du monde de Funboard.
- Thierry Michaud, champion du monde de Trial.
- Pierre Repellini, né en 1950, footballeur international, à l'AS Saint-Étienne lors de la grande épopée des Verts.
- Laurent Legname, né en 1977, Basketteur.
- Hommes politiques
- Maillefer
- Yann Piat députée Front national puis Parti républicain, assassinée en 1994.
- Autres personnalités célèbres
Héraldique100px | Le blason originel était : De Gueules, à un château d'Argent, sommé de trois tours de même, maçonné de sable, la porte ouverte et garnie de sa coulisse de sable, accompagnée en pointe de trois besants d'or, posés deux et un. Cette version fut attribuée à la ville en 1696. | 100px | La commune choisie plus tard : D'azur à la tour d'Argent maçonnée de sable, ouverte et ajourée du champ, crènelée de quatre pièces, sommée de trois tourelles crènelées chacune de quatre pièces du même, et accompagnée en pointe de trois besants d'or deux et un. | Mythes, légendes et anecdotes- Hyères fût le lieu de l'intrigue de l'épisode 21 « Mon ami Maigret » de la série Les Enquêtes du Commissaire Maigret diffusé le 14 mars 1973 sur la première chaîne de l'ORTF. On y voit notamment l'arrivée à la gare d'Hyères le trajet sur la route de La Capte puis à Giens et enfin des vues de Porquerolles.
Livres dont l'action se passe à Hyères- Eugène-Melchior de Vogüé: Jean d'Agrève
- William Luret : L’homme de Porquerolles
- Gustave Roux : Contes du pays hyérois
- Joseph Conrad: Le frère de la côte
- Paul Bourget : Sous les Palmiers d'Hyères et autres
- Charlotte Turner Smith : Celestina 1791
- Jean-Frédéric Minéry : Frenchy et Fanny - Tome 1 - Mystères à Hyères ! (éditions ANGE)
- Kélilan : La traversée onirique d'Azur Daffodil : Tome 1 - Ville-rêve
Galerie12px | Cliquez sur une vignette pour l'agrandir. | Pour approfondirArticles connexesLiens externesBibliographie- François Fray, Hyères. La ville médiévale, Itinéraires du Patrimoine, plaquette n° 97, Association pour le Patrimoine de Provence, 1995.
- Christian Fischer : Reise nach Hyères im Winter 1803 - 1804 Leipzig 1806
- Alphonse Denis et Dr R. Chassinat : Hyères ancien et moderne - H. Souchon. sd (1910?),
- Alphonse Denis : Promenades pittoresques à Hyères ou notice historique et statistique sur cette ville, ses environs et les Iles. A Toulon & à Paris et à Brest, 1841,
- Amédée Aufaure : Hyères et sa vallée. Guide Historique-Médical-Topographique. Hachette et Cie, s.d
- Honoré-Zénon Gensollen : Essai historique, topographique et médical sur la Ville d'Hyères en Provence avec un prècis des troubles qui ont eu lieu dans cette ville en l'année 1815. Bellue, 1820
- Emile Jahandiez : Les Iles D'Hyères. Monographie des Iles d'Or. Carqueiranne, Chez L'Auteur, 1915,
- Docteur Barth : Notice topographique et médicale sur la ville d'Hyères. Béchet Jeune et Labé : 1841
- Jules Icard : Notes historiques sur les rues d'Hyères.
- Adolphe Smith: The Garden of Hyères - A Description of the Most Southern Port on the French Riviera. London; Published at the Fleet Printing Works and by H. Souchon, Avenue de la Gare, Hyeres (Var), France; 1882 Téléchargement gratuit de The Garden of Hyères sur Gallica, site de la Bibliothèque Nationale
- Maurice Abbonen, "EAU" Moulins d'Hyeres , LACOUR-COLPORTEUR ed. 1996
- P.N Fellon : Hyères en provence ou guide des voyageurs 1834
- Ghislaine Maille et Hubert François : Hyères. Collection Mémoires en images, Editions Alan Sutton, 2003.
- Ghislaine Maille et Hubert François : Hyères Tome II. Collection Mémoires en images, Editions Alan Sutton, 2007.
Notes et références.. |
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