La Garenne-Colombes est une
commune française située dans le département des
Hauts-de-Seine et la
région Île-de-France. Ses
habitants sont les Garennois et Garennoises.
Géographie
La Garenne-Colombes est souvent appelée simplement "La Garenne", et porte le surnom de "petit
Neuilly".
Les environs
La ville est délimitée au nord par la partie pavillonnaire de
Colombes, à l'est par
Bois-Colombes (Les Vallées, Les Bruyères), au sud par
Courbevoie (
Faubourg de l'Arche, Bécon) et à l'ouest par
Nanterre (Les Champs-Philippes, La Folie). La taille de la ville est comparable à celle du 1er arrondissement de Paris. La place de Belgique est à quelques centaines de mètres de
La Défense et le rond-point de l'Europe à moins d'un kilomètre de l'
Île de la Jatte. Les frontières de cette petite ville sont à 3.000 mètres de celles de
Paris (XVIIe, hors
Bois de Boulogne), soit environ une fois et demi la longueur de l'avenue des Champs-Elysées.
Transports
La Garenne-Colombes est relativement bien desservie : 2 stations de trains sur son territoire (Gare de La Garenne-Colombes,
Gare des Vallées) et 2 stations de train à proximité (
Gare de Courbevoie et Gare de Bécon-les-Bruyères) la reliant rapidement à Nanterre Université (RER A) et à Saint Lazare (métro 3,9,12,13,14, RER E) ainsi qu'à
La Défense (RER A, métro 1, tramway 2), 11 lignes de bus la reliant directement au centre de
Paris (ligne 73) et aux villes voisines ainsi qu'à
La Défense (6 lignes de bus), et enfin dans les années à venir 2 stations de tramway. La Garenne-Colombes sera à deux stations de tramway du coeur du quartier d'affaires de Paris donnant ainsi un accès très rapide au RER A et au métro 1 pour les Garennois.
Avec actuellement deux stations de transport lourd (train) sur son territoire, la ville comporte 1,12 stations par km², contre 0,52 de moyenne pour le département des Hauts-de-Seine. L'ouverture prochaine des deux stations de tramway portera ce ratio à 2,24 stations de transport lourd par km² (contre 0,76 par km² dans le 92 d'ici 2012).
Itinéraire
Temps pour se rendre au centre de Paris (Châtelet, les Halles) depuis La Garenne-Colombes (ou inversement) en transports en commun, 6 solutions (source RATP):
- prendre le train en Gare de La Garenne-Colombes ou en Gare des Vallées direction Nanterre-Université pour y prendre le RER A vers Paris : 15 à 20 minutes ;
- prendre le train en Gare de La Garenne-Colombes, en Gare des Vallées, en Gare de Courbevoie ou en Gare de Bécon-les-Bruyères direction Saint-Lazare, puis prendre le métro 14 : 15 à 25 minutes ;
- prendre le train en Gare de Courbevoie ou en Gare de Bécon-les-Bruyères direction La Défense puis prendre la RER A : 10 à 20 minutes ;
- prendre le bus pour rejoindre La Défense et prendre le RER A : 15 à 20 minutes ;
- se rendre directement à pieds à La Défense et prendre le RER A : 25 à 30 minutes;
- prendre le bus 73 et se laisser porter jusqu'au musée d'Orsay : 55 minutes (à privilégier pour le tourisme...).
Bien que La Garenne-Colombes se situe en zone 3, certains Garennois se rendant à pieds à La Défense pour y prendre le métro 1 disposent d'un abonnement carte orange seulement de zone 1-2, c'est-à-dire zone urbaine.
Le train : depuis 1837
La commune est desservie par deux gares du Transilien Paris Saint-Lazare :
Les Vallées et La Garenne-Colombes. Ce moyen de transport y est utilisé depuis
1837 (ligne Paris-Saint-Germain, toute première ligne lourde de
Transport en commun en
France). La
Gare de Courbevoie permet de desservir le sud de la ville, celle de Bécon-les-Bruyères le sud-est.
Article détaillé : .Le 24 août 2007, la ligne desservant la Gare de La Garenne-Colombes a "fêté" son 170ème anniversaire. Malgré le côté unique de cette ligne de par son âge et sa longévité, il n'y a eu aucune médiatisation, aucune information aux voyageurs, alors que les 100 ans de la ligne 1 du métro avaient fait l'objet de multiples reportages.
- station Les Vallées - station Pont Cardinet (Paris XVIIe) : 10 minutes
- station La Garenne-Colombes - Nanterre-Université () : 3 minutes
- station La Garenne-Colombes - station Les Vallées : 2 minutes
Le bus
La Garenne-Colombes est parcourue par les lignes de
Bus RATP et
Noctilien . La ligne
Noctilien passe à proximité de la place de l'Europe.
La ligne 73 dessert notamment le faubourg de l'Arche, La Défense, Neuilly, Maillot, Etoile, les Champs-Elysées, la Concorde et le musée d'Orsay.
Le tramway
En
1935, cinq lignes de tramway passaient par La Garenne-Colombes.
En 2009 la commune sera traversée par la ligne de tramway avec deux stations: Les Fauvelles et Charlebourg.
Histoire
Du <span class
"romain" title="Nombre écrit en chiffres romains">VII
e au XVIII
e siècle===
]
Dagobert Ier concède ce lieu de chasse boisé à l'abbaye de Saint-Denis au VIIe siècle. Dans la littérature, La Garenne-Colombes est citée en 1222 dans un titre de l'abbaye de Saint-Denis. Elle est également citée par le seigneur Bouchard de Marly en tant que « La Garenne dépendant de Colombes » en 1240. Au XIIIe siècle, La Garenne est encore un bois taillis très giboyeux, qui ne comporte aucune habitation autre que « La Tournelle », la demeure du fermier, qui se trouvait dans les environs de la place de Belgique actuelle, du côté de Courbevoie. « La Tournelle » n’est pas sortie de l’histoire de La Garenne puisque c’est le nom du lycée qui se trouve sur la place de Belgique aujourd’hui. Au XVe siècle, une maison de campagne y est bâtie, à l'usage des abbés pendant les saisons de chasse ; ces derniers en font une garenne fermée. Jusqu’en 1684, l’abbaye de Saint-Denis exerce ses droits féodaux sur ce lieu, tout comme sur les communes voisines. C’est justement en 1684 que la destinée de La Garenne passe aux mains des dames de Saint-Cyr créées par Madame de Maintenon. En 1707, La Garenne passe aux mains du marquis de Tanlay, qui l’obtient des dames de Saint-Cyr contre une ferme à Cormeilles dans Le Vésinet. Par la suite, La Garenne appartiendra à une chanteuse d’opéra, Mlle Manon Pélissier, en 1730, à un futur ministre de Louis XVI, un prince de Monaco, jusque 1791. C’est cette année que La Garenne est classée dans les Biens nationaux, et revient à Jean Benoît de Thévenin, marquis de Tanlay, descendant de l’ancien propriétaire des lieux.
Le <span class
"romain" title="Nombre écrit en chiffres romains">XIX
e siècle : l'urbanisation===
La Garenne change à nouveau de propriétaire en
1801 avec Hercule de Salis Tagstein, et en
1812 avec le baron Jean-Nicolas Corvisart, premier médecin de l’Empereur
Napoléon Ier et propriétaire de Château des Tournelles de
1806 au
24 avril 1820. La liste continue avec M. et Mlle Rubichon en
1820, qui décident alors d’y fonder un village, mais qui connaissent une faillite qui empêche ce projet d’exister. En
1832, La Garenne passe aux mains du banquier Sartoris, qui meurt en
1833. Ses héritiers relancent le projet de village et créent le « nouveau village de La Garenne », dont l'administration dépend alors de
Colombes. La gare (d'abord appelée Colombes puis La Garenne-Bezons) ouvre le
26 août 1837 sur la première ligne française ouverte au trafic des voyageurs, Paris – Saint-Germain. L'inauguration de la ligne se fait notamment en présence de la reine Marie-Amélie. Durant la Restauration, l’urbanisation modifie l’apparence de « bois taillis très giboyeux » d’origine, avec le tracé de voies et places. Le plan de cette nouvelle propriété communale est remis par les architectes Jean-Baptiste Lafolie et Guerton au maire de
Colombes. L’histoire de la Garenne est alors à ses prémices et de fortes revendications séparatistes apparaissent en
1893, combattues par
Colombes.
Le <span class
"romain" title="Nombre écrit en chiffres romains">XX
e siècle: l'indépendance===
Les revendications de séparation sont de plus en plus fortes à l’entrée dans le
XXe siècle. Elles gagnent le Conseil municipal de
Colombes et créent une impasse politique qui aboutit nécessairement à la création d’une commune indépendante, La Garenne-Colombes. C’est la loi de séparation du
2 mai 1910 qui officialise la création de la ville. Le
5 juin 1910, Jean Bonal est élu maire de La Garenne-Colombes aux premières élections municipales. La nouvelle équipe dirigeante de La Garenne donne un cadre et une structure à l’identité garennoise, qui existait dans les faits depuis longtemps.
En 1908, l'usine Caséo-Sojaine ouvre à La Garenne-Colombes, où travaillent notamment des Chinois, qui participent à un programme leur permettant de suivre parallèlement des cours de chinois, de français et de matières scientifiques. Deng Xiaoping y a travaillé en 1920.
Démographie
Le territoire de la commune étant intégralement bâti, la population ne peut croître significativement que par la destruction de bâtiments suivie de la construction d'habitats. Ainsi, la population après le nouvel aménagement du quartier des Champs-Philippe pourrait dépasser les 30.000 habitants, pour une densité de près de 17.000 habitants au kilomètre carré.
D'après l'INSEE, La Garenne-Colombes est la deuxième ville des Hauts-de-Seine où la population croît le plus vite depuis 1999, après Issy-les-Moulineaux, et la troisième ex aequo des 126 communes de la petite couronne.
Malgré cet accroissement nouveau de population, inédit dans l'histoire de ce quartier des Hauts-de-Seine (voir le tableau d'évolution de la population ci-dessus) déjà entièrement bâti lors son indépendance vis-à-vis de Colombes, La Garenne tente de conserver son atmosphère de "petite" ville avec des immeubles bas et l'absence de "bétonnage".
Au regard des statistiques concernant la composition des ménages, les revenus ou encore les catégories professionnelles, La Garenne est très similaire à la ville de Courbevoie, c'est-à-dire tout à fait dans la moyenne des Hauts-de-Seine.
Économie
Anciennement, La Garenne-Colombes comptait de multiples ateliers, selon la tradition industrielle du département. Aujourd'hui, La Garenne-Colombes est une ville principalement résidentielle. Cependant, elle compte près de 1200 entreprises et commerces disséminés dans toute la ville, parfois "invisibles" car au rez-de chaussée d'immeubles d'habitation ou dans des pavillons.
Le secteur tertiaire
Le secteur tertiaire est prépondérant dans l'économie de La Garenne-Colombes. La proximité de
La Défense augmente ce phénomène. L'on trouve notamment :
- recherche : Bureau d'étude et de recherche de Peugeot
- édition : La Centrale, J'annonce (journal d'annonces gratuites), bureaux du magazine CB News (Communication & Business News)
- audio-visuel : SIP Animation (production d'animation), SIS (fabrication des bandes son et mixage des films)
- informatique : Avanquest Software
- financement : OSEO Ile-de-France Ouest Financement & Garantie
- industrie : Automotive EEDS Systems]], CECA, Boston Scientific International
Le centre RATP de Charlebourg est également à La Garenne-Colombes.
Une activité appelée à croître
Le réaménagement de la place de Belgique et du boulevard National (anciennement avenue de
La Défense) apportera une nouvelle dynamique économique, avec le passage du tramway et la construction de nouveaux immeubles de bureaux et d'habitation.
Dans le quartier des Champs Philippe, à proximité de la station Charlebourg du tramway, d'ici à 2013 devraient également apparaître de nouveaux commerces, des bureaux, des locaux artisanaux et un complexe de trois salles de cinéma. De plus, il est prévu que 1200 logements y soient créés.
Urbanisme
La ville
Cette ville principalement résidentielle est composée de pavillons, maisons de villes, villas et immeubles construits pour nombre d'entre eux à la fin du
XIXe siècle et au début du
XXe siècle. La Garenne-Colombes comprend quelques immeubles haussmanniens. Il s'y trouve également un hôtel
Second Empire. Dans une majeure partie de la ville, les constructions nouvelles sont strictement limitées à quatre étages.
Ainsi, La Garenne-Colombes a su conservé son identité d'origine, notamment à travers son urbanisme maîtrisé, ses rues bordées d'arbres et la présence de multiples espaces verts. L'absence de "bétonnage" et la proximité de Paris et La Défense résultent en un cadre de vie favorable. Auparavant, le bouvelard National s'appelait Avenue de La Défense, et menait au rond-point (qui n'existe plus) dominé par le monument de 1870.
Le quartier de la place de Belgique et du boulevard National, porte d'entrée dans La Défense, est en pleine réorganisation. L'arrivée du tramway en 2009 avec deux stations dans ce quartier va remodeler cette partie de la ville. Des immeubles de bureaux dans la prolongation de l'axe de La Défense vont être construits, toujours en respect de l'urbanisme local, ainsi que des immeubles d'habitations, en retrait.
Parcs, jardins et squares
Huit espaces verts sont répartis sur la ville. Précisément,
Deux parcs
- Parc de l'Hotêl de ville (Victor Roy) qui comprend une Fontaine Wallace
- Parc du Foyer des Arts et Loisirs (Wangen im Allgäu)
Deux jardins
Quatre squares
- Square Jean Boiselle
- Square Guy Môquet
- Square Jean-Nicolas Corvisart
- Square Aimé Heitzmann
Places notoires
Administration
Liste des maires successifs |
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|
juin 1910 | 1933 | Jean Bonal | - | - |
1934 | 1943 | Charles Jubert | - | Médecin |
1944 | 1944 | Maurice Godaux | - | - |
1944 | 1945 | André Crimet | - | - |
1945 | 1947 | Gaston Sourrisseau | - | - |
1947 | 1955 | Louis Jean | - | - |
1955 | mars 1971 | René Guest | - | - |
mars 1971 | 1975 | Albert Fabbi | - | - |
1975 | mars 2001 | Max Catrin | CNI | Médecin & Conseiller général |
mars 2001 | mars 2008 | Philippe Juvin | UMP | professeur de médecine & Vice-Président du Conseil général |
mars 2008 | - | Philippe Juvin | UMP | professeur de médecine & Vice-Président du Conseil général |
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
Article détaillé : .Jumelages
Enseignement
- Les écoles maternelles et primaires : École René Guest, École André Marsault, École Ernest Renan (ouverte en 1905), École Sainte-Geneviève (privée), École Sagot-Voltaire
- Le collège Les Vallées
- Le lycée professionnel La Tournelle
La ville est propriétaire du château Foucher de Careil, ou château de Caumont à Houlgate en Basse-Normandie où elle envoit les élèves de classes élémentaires en colonies de vacances.
Ouvriront bientôt:
- Une nouvelle école primaire à la rentrée 2009 soit 2 classes sur les 9 prévues, située à l'angle de la rue de Plaisance et de la rue Sartoris
- L'École Edelweiss à la rentrée 2009, première école de France destinée aux enfants polyhandicapés et autistes
- Un second collège pour septembre 2009, situé dans le quartier des Champs-Philippe (travaux commencés)
Circonscription législative
La Garenne-Colombes fait partie de la troisième circonscription législative des Hauts-de-Seine. Cette dernière comprend l'intégralité de
Courbevoie, de
Bois-Colombes et de La Garenne-Colombes.
Les habitants de cette circonscription sont sous représentés, la circonscription comprenant en 1999 117 646 habitants, contre 105 600 habitants en moyenne dans les circonscriptions législatives françaises.
Cette tendance s'accentue très fortement : en 2005, les estimations INSEE portent la population de La Garenne-Colombes à 27 700 habitants, celle de Bois-Colombes à 26700 et celle de Courbevoie à 84 000 habitants avec la construction du quartier du Faubourg de l'Arche notamment.
La population de cette circonscription en 2005 est donc d'après l'INSEE de 138 400 habitants, mais les travaux de la ZAC des Champs-Philippe à La Garenne n'ont pas commencé, ceux de la ZAC des Bruyères à Bois-Colombes ne sont pas achevés, l'arrivée du Tramway 2 augmentera l'attractivité de la zone, et le réaménagement du boulevard de la Mission Marchand/National à Courbevoie/La Garenne a à peine commencé.
À la fin des travaux et à un horizon proche, la population de cette circonscription dépasserait facilement les 150 000 personnes (densité supérieure à 19 000 habitants au km²).
Événements
- "La fête de La Garenne". Elle dure trois jours, fin mai, début juin. Sont organisées des manifestations sportives et culturelles, du vendredi au dimanche. Il se tient également une brocante et un vide grenier le samedi et le dimanche. Une course cycliste est organisée.
- Forum des associations. Il a lieu le premier dimanche de septembre. Présence de toutes les associations de La Garenne-Colombes (liste sur le site Internet de la ville). Brocante sur la place de la Liberté (Marché, Église). Pour l'année 2005, démonstration d'une désincarcération de véhicule par les pompiers, simulation de tonneaux, initiations aux Premiers Secours par la Croix-Rouge française... Course cycliste.
- Téléthon. Tous les ans la ville de La Garenne-Colombes se mobilise pour récolter de l'argent en faveur du Téléthon. Activités sportives, culturelles...
- D'autres associations indépendantes de la municipalité proposent des animations comme ART3C qui organise chaque année depuis 6 ans "Le Printemps des poètes".
La vie en ville
Dans le classement 2005 du Figaro, publié en septembre 2006, La Garenne est la ville des Hauts-de-Seine qui a le taux de criminalité le plus bas, avec un taux de 49,9 crimes et délits pour 1.000 habitants, pour une moyenne des Hauts-de-Seine de 70,9 et une moyenne nationale de 83.
Les estimations 2005 de l'INSEE portent la population à 27.500 personnes, il en découlerait une densité de 15.449 hab/km². A titre de comparaison, la densité du 1er arrondissement de Paris est de 9.228 hab/km² (INSEE 1999) (minimum de Paris), Paris VIIe 13.619 hab/km² (INSEE 2005) (proche de La Garenne), et Paris XIe 41.008 hab/km² (maximum de Paris).
Le décor de la ville apparaît dans certains films tels que Les Aristos, certaines séries-télés telles que Julie Lescaut ou encore certaines émissions telles que KD2A.
Volet social
La Garenne-Colombes compte 14.330 logements (INSEE 2005) dont moins de 10 % de logements sociaux. Des programmes de logements sociaux par réhabilitation et rénovation d'immeubles existants sont régulièrement entrepris.
Personnages célèbres
Ils y sont nés
- Maurice Vidal, journaliste sportif, né 28 mai 1919.
- Fernand Oury, (18 janvier 1920 - 19 février 1998).
- Daniel Billon, dessinateur, né le 7 juillet 1927.
- Patrick Chesnais, acteur, né le 18 mars 1947.
- Guéric Kervadec, joueur de l'équipe de France de handball, né le 9 janvier 1972.
- Catherine Picard, née le 14 août 1952.
- Philippe Martin, député du Gers, né le 22 novembre 1953.
- Pascal Jules est un ancien coureur cycliste professionnel né le 22 juillet 1961 dans la commune et décédé en 1987.
- Christian Cailleaux, auteur de BD et illustrateur, né en 1967.
- Carole Rousseau, animatrice télé, née le 25 décembre 1967.
- Émilie Le Pennec, gymnaste, née le 31 décembre 1987.
Ils y vivent ou y ont vécu
- Claude Gensac, actrice
- Arnaud Gidoin, artiste humoriste
- William Klein, peintre, réalisateur et photographe.
- Bernard Menez, comédien et chanteur français.
- Cédric Mongongu, footballeur évoluant à l'AS Monaco
- Pierre Probst, dessinateur, créateur du personnage de Caroline.
- Jean-Pierre Raynaud, plasticien, créateur notamment du Pot Doré sur le parvis de Beaubourg.
- Jacques Tati, réalisateur et acteur.
- Deng Xiaoping, dirigeant chinois, années 1920
- Clavel Kayitare, athlète français d'origine rwandaise, médaille d'argent aux Jeux paralympiques d'été de 2004 (100 et 200 mètres en catégorie T42)
Ils y sont décédés
À voir à La Garenne-Colombes
- Le bâtiment de la bibliothèque municipale, un hôtel Second Empire
- Le marché du Centre (halle inaugurée en 1879) mercredi et samedi matins
- Le marché des Vallées (halle fermée inaugurée en 1964) mardi, vendredi et dimanche matins
- L'église Saint-Urbain, construite entre 1866 et 1875
- La propriété de Jean-Pierre Raynaud (Mastaba) qui subit des travaux pour accueillir le public, ouverture d'un centre d'art contemporain prévue en ces lieux pour janvier 2008
- La Colonne, érigée en 1865
- National motos (sur le boulevard National), vainqueurs des 24 Heures du Mans 2006 (Team Honda)
Voir aussi
- Communes des Hauts-de-Seine
Liens externes
Notes