.. / 48.636028, -1.511393] Pour les articles homonymes, voir Le Mont-Saint-Michel (homonymie).
Le Mont-Saint-Michel est une commune française, située dans le département de la Manche et la région Basse-Normandie. Elle tire son nom d'un îlot rocheux dédié à saint Michel et où s'élève aujourd'hui l'abbaye du mont Saint-Michel.
L'architecture du mont Saint-Michel et sa baie en font le site touristique le plus fréquenté de Normandie et le premier de France (hors Île-de-France) avec quelque 3 000 000 visiteurs chaque année . Une statue de saint Michel placée au sommet de l'église abbatiale culmine à 170 mètres au-dessus du rivage. Classé monument historique en 1874, le site figure depuis 1979 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Ses habitants sont appelés les Montois.
Géographie
Le rocher
Le mont Saint-Michel est donc un îlot rocheux granitique situé à l'est de l'embouchure du
Fleuve du
Couesnon, rocher sur lequel a été construit un sanctuaire en l'honneur de l'
Archange saint Michel à partir de
709. Antérieurement à cette date, il fut connu comme le « mont Tombe ». Pendant tout le
Moyen Âge, il fut couramment appelé « mont Saint-Michel au péril de la mer » (
Mons Sancti Michaeli in periculo mari).
Le rocher ne représente qu'une petite partie de la commune qui s'étend aussi sur la digue et plusieurs dizaines d'hectares de polders. La partie essentielle du rocher est couverte par l'emprise au sol de l'abbaye du mont Saint-Michel et de son domaine.
Le mont Saint-Michel, situé à 48°38'10" de latitude nord et à 1°30'40" de longitude ouest, baigne dans la baie du mont Saint-Michel, ouverte sur la Manche. L'îlot est une excroissance granitique d'environ 960 mètres de circonférence, qui atteint 92 mètres d'altitude et offre une superficie émergée d'environ 280 ha, au dessus de laquelle s'élève l'Abbaye. Cet îlot s'élève dans une grande plaine sablonneuse que la marée envahit deux fois par jour.
En 1846, Édouard Le Héricher le décrivait ainsi, avec l'emphase de cette époque, mais qui rend encore bien compte de la réalité :« Le Mont Saint-Michel apparaît comme une montagne circulaire qui semble s'affaisser sous la pyramide monumentale qui la couronne. On voudrait prolonger sa cime en une flèche aiguë qui monterait vers le ciel (la flèche actuelle ne date que de 1899), dominant son dais de brouillards ou se perdant dans une pure et chaude lumière. De vastes solitudes l'environnent, celle de la grève ou celle de la mer, encadrées dans de lointaines rives verdoyantes ou noires. » (extrait de L'Avranchin monumental et pittoresque, t. 2, p. 310, 1846).
La baie
Le mont Saint-Michel (l'îlot ou l'abbaye) a donné à son tour son nom à la
Baie du mont Saint-Michel, elle aussi classée au patrimoine mondial de l'Unesco.
Un mont normand aux marches de la Bretagne
Le mont fut ensuite ballotté par les divagations des cours des trois
fleuves qui abreuvent encore la baie du mont Saint-Michel. Ces cours d'eau sont : la
Sélune, la
Sée et surtout le
Couesnon qui, marquant autrefois la frontière entre la Normandie et la Bretagne se mit dit-on soudainement à couler à l'ouest du mont, faisant ainsi passer ce dernier en Normandie. En réalité, jusqu'au
XVIIIe siècle, l'embouchure de ce dernier se trouvait à 6 km du rocher. Ceci est donc une légende qui amuse les habitants frontaliers qui savent que la frontière ne se situe pas sur le Couesnon proprement dit mais sur la terre ferme à 4 km à l'ouest, au pied du massif de Saint-Brelade. Un vieux dicton local a cependant immortalisé l'évènement :
- « Li Couesnon a fait folie
- Si est le Mont en Normandie »
- « Le Couesnon dans sa folie
- A mis le Mont en Normandie »
Aux grandes marées le mont redevient île
Les marées dans la baie du mont Saint-Michel ont de quoi impressionner : d'une amplitude de près de treize mètres les jours de fort coefficient, la mer se retire à grande vitesse sur une dizaine de kilomètres, mais revient aussi vite. L'expression consacrée est « qu'elle revient à la vitesse d'un cheval au galop ». Aujourd'hui le Mont-Saint-Michel n'est entouré et ne redevient île qu'aux grandes marées. Mais c'est un spectacle impressionnant qui attire de nombreux touristes ces jours là.
La digue
Au fil des années, la baie du mont Saint-Michel fut sujette à la
poldérisation de la part de ses propriétaires riverains. L'action la plus marquante en ce sens fut la construction en 1880 d'une digue insubmersible par les Ponts et Chaussées, malgré l'opposition de diverses autorités.
Cette digue et celle de la Roche-Torin précipitèrent l'ensablement de la baie, et il est maintenant question de démolir la digue qui relie le mont au continent, ceci afin d’endiguer cet ensablement qui menace l'insularité du mont.
La digue d'accès construite au XIXe siècle, qui retient le sable, aggrave donc l'ensablement naturel de la baie, au point que le mont pourrait cesser d'être une île.
Construction de la digue-route en 1879
À peine finie, querelles et protestations de toutes sortes (
Clemenceau (
1881) par
Anticléricalisme : dépenser de l'argent pour des moines !
Victor Hugo (janvier
1884) par symbolique de l'île, de
Maupassant (juillet 1884) et une foule d'autres sont exprimées.
Mais bientôt (en 1901) le Chemin de fer arrive (il restera jusqu'en 1938). Le canal sert de réserve d'eau douce en été ; il permet d'éviter l'inondation de Pontorson ; il aide à la sédimentation du marais blanc. Le Schorre (les herbus ou prés-salés) s'étend.
Après la Seconde Guerre mondiale, où l'armée allemande a délibérément inondé (en eau de mer !) les polders, il faut reconstruire, et on repoldérise cette fois aussi en rive droite du Couesnon. Un immense projet (Centre d'études des Marées) voit le jour : séparer la baie en deux bassins, un à l'ouest et l'autre à l'est et jouer de la marée et du Couesnon convenablement orienté vers deux déversoirs pour faire une immense centrale hydroélectrique de marée. Ce projet ne sortira des cartons qu'en miniature (l'usine de la Rance) : les ostréiculteurs et les mytiliculteurs ont eu gain de cause et actuellement bien que le naissain vienne toujours de Marennes, l'essentiel de la production française de moules est celle des Hermelles, juste au nord du Vivier-sur-Mer.
Premiers projets de préservation et mise en valeur du site
1969 : le « péril vert » est écarté. On prend conscience de la valeur patrimoniale du site, et surtout pécuniaire : le tourisme est lancé et ne s'arrêtera plus (3,3 millions de touristes en 2005, on en prévoit 10 millions en
2010) : il faut à la fois un
Parking et que l'île reste île.
Dès 1975, l'ingénieur Mignot avait très rigoureusement analysé la baie et comparé avec les relevés de 1958 (qui étaient plus approximatifs : la slikke ne dépendait ni du SHOM ni de l'IGN).
De 1975 à 1995, se feront des études en bassin (la SOGREAH, qui s'occupe aussi de la Somme). Pas faciles, ces études en bassin : la Nacre pilée et la sciure remplacent le Sable, il faut ajuster convenablement les débits des rivières, des pluies, de l'évapo-transpiration et du cycle des marées, “caler” les paramètres du modèle réduit puis passer de la rétrospective à la prospective. On se trompe, on rectifie avec observations sur le terrain ; on passe des thèses.
1979 : l'île est inscrite au Patrimoine Mondial, au titre de l'Art et au titre de la Culture. La Loi littoral est votée.
Le projet de restauration du caractère maritime de l'île
1983 : très symboliquement, François Mitterrand vient non pas poser la première pierre, mais ôter la première pierre de la digue (submersible) de la Roche Torin.
1995 : les études sont déclarées honnêtes ; la puissance des ordinateurs a augmenté ainsi que les codes de calcul : on peut monter la Commission du Mont-Saint-Michel, qui doit préserver son insularité et faire arriver des touristes payants régulés.
D'où le projet (voir aussi Projet Mont-Saint-Michel) :
- Suppression du parking : il sera ramené au sud du barrage de la Caserne (en cours de reconstruction), et une navette spéciale amènera les visiteurs par une route-passerelle au Mont ; dans le futur, une gare SNCF sera construite sur le continent avec des trains directs depuis Paris-Vaugirard (Montparnasse-3) ;
- Côté île : on sait bien maintenant qu'on ne peut lutter contre la nature ; il faut ruser ; la ruse c'est de faire que le Couesnon soit chenalisé de part et d'autre du Mont-Saint-Michel, 2/3 à l'Ouest en Bretagne et 1/3 à l'Est en Normandie, le barrage servant de barrage de chasse de 700 000 m³. Des échelles à poissons sont prévues, pour les anguilles (catadromes) comme les saumons (anadromes).
L'écosystème sera préservé : pour conserver les 40 crapauds mâles, on a déjà enlisé une excavatrice dans la vase, qu'il a fallu extraire à la grue et non pas en traction (voir ci-dessus : sables mouvants) : cette excavatrice devait faire les mares nécessaires avant de pouvoir dégager et curer le Couesnon. L'entrée d'eau de mer se fera par l'eau de surface (beaucoup moins turbide) et la chasse sera brutale pour bien évacuer, selon des chenaux régulés, toute la vase et donner un « bel aspect » au Mont-Saint-Michel, débarrassé de son encombrant parking, mais entouré de douves “naturelles”.
Du coup, on barre la route aux halophytes comme la salicorne, puisque le schorre sera contenu, et on ouvre la route à la navette des néophytes.
Le coût des travaux a augmenté au fil du temps : 72 M€ en 1999, puis 94 M€, puis 134, puis, crise du pétrole aidant, 220 M€ en 2004 : pendant ce temps, la vase s'accumule et cela à raison de 2,6 mm/an maintenant, sur 240 km².
Les travaux de désensablement de la baie du mont Saint-Michel ont débuté le vendredi 16 juin 2006.
Communes limitrophes
Les
communes limitrophes de celle du Mont-Saint-Michel sont
Beauvoir et
Pontorson dans la Manche (en
Basse-Normandie) d'une part, et
Roz-sur-Couesnon et Saint-Georges-de-Gréhaigne en
Ille-et-Vilaine (en Bretagne) d'autre part.
L'ancienne commune d’Ardevon, limitrophe du Mont-Saint-Michel, de Beauvoir et de Pontorson a fusionné en 1972 avec la commune de Pontorson.
Démographie
Évolution démographique (Source : Cassini et INSEE) <nowiki /> |
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Évolution des naissances |
1956-1962 | 1962-1968 | 1968-1975 | 1975-1982 | 1982-1990 | 1990-1999 |
---|
xx | 13 | 16 | 8 | 6 | 4 |
Évolution des décès |
1956-1962 | 1962-1968 | 1968-1975 | 1975-1982 | 1982-1990 | 1990-1999 |
---|
xx | 6 | 6 | 4 | 5 | 3 |
La commune accueille jusqu'à 20 000 visiteurs par jour pendant la saison estivale. Parmi les 43 Montois dénombrés en 2006, .
Administration municipale
Liste des maires successifs |
Période | Identité | Parti | Qualité |
---|
mars 2008-en cours | Éric Vannier | DVD | PDG de l'auberge de la mère Poulard |
mars 2001-2008 | Patrick Gaulois | UMP | hôtelier-restaurateur |
1983-2001 | Éric Vannier | DVD | PDG de l'auberge de la mère Poulard |
-1983 | Julien Nicolle | | |
Les données antérieures ne sont pas encore connues. |
Histoire et économie
Histoire
L'histoire ancienne de la commune étant peu dissociable de l'histoire de l'abbaye elle-même, nous renvoyons l'article consacré à l'abbaye du mont Saint-Michel, y compris pour les périodes
gauloise et
romaine.
Le temps des pèlerinages
Le village, implanté sur le mont en
709, s'est développé à l'ombre de son abbaye médiévale. Au nord de l'église Saint-Pierre, le bâtiment double appelé La Merveille est un chef-d'oeuvre de l'architecture gothique. Il est construit sur trois niveaux à flanc de rocher.
L'économie du Mont a donc été tributaire, pendant douze siècles, des nombreux pèlerinages à Saint Michel, notamment jusqu'à la Révolution française. On venait de toute l'Europe du Nord en pèlerinage à l'abbaye : depuis l'Angleterre, la France du Nord et de l'Ouest, etc. Un réseau de routes montoises a été récemment étudié et remis en valeurs, notamment à cause de l'attrait touristique important que représente le site et sa baie :
Le temps du tourisme
Déjà depuis le
XIXe siècle, les auteurs et
peintres romantiques venaient au mont, pour son charme unique et ses qualités pittoresques, tel
Guy de Maupassant. À la fin du siècle, plusieurs hôtels sont établis au mont. Dans la deuxième moitié du
XXe siècle, la mutation du site en un lieu de visite de rang mondial a fait de la petite commune
normande l'une des premières destinations touristiques de France. On compte aujourd'hui trois millions de visiteurs annuels, dont un tiers seulement monte jusqu'à l'abbaye. Le temps moyen de visite est de 2 à 3 heures et il y a jusqu'à 20 000 visiteurs par jour en période estivale.
Monuments et lieux touristiques
De nombreux immeubles du site sont, à titre individuel, classés au titre des monuments historiques.
Patrimoine religieux
Par ordre d'importance, c'est bien sûr l'abbaye elle-même qui impose sa fière allure et sa magnifique architecture à plusieurs dizaines de kilomètres alentour.
Mais il existe d'autres monuments religieux sur le rocher :
- la chapelle Notre-Dame-sous-Terre (voir abbaye du Mont Saint-Michel)
- l'abbaye du Mont Saint-Michel
- l'église paroissiale Saint-Pierre. À l'origine, c'était l'église des habitants du Mont, les Montois. Saint-Pierre a conservé son titre de Paroisse et se distingue encore aujourd'hui au spirituel - comme autrefois - de l'abbaye. Elle est desservie par un Curé nommé par l'évêque de Coutances. L'église a gardé quelques vestiges du XIe siècle, dans ses piliers, mais d'une manière générale, elle appartient aux XVe et XVIe siècles. Sa nef ne possède qu'un seul bas-côté, ce qui décentre son choeur vers la gauche. Munie d'un petit clocher, elle est riche de beaux objets cultuels : un vitrail du XVe siècle, un gisant médiéval décapité, un autel et son rétable à colonnes daté de 1660, des fonts baptismaux primitifs du XIIIe siècle; une Vierge à l'Enfant et une Éducation de la Vierge (Sainte Anne enseignant à Marie) des XVe ‑ XVIe siècles. Enfin, une copie de la statue de saint Michel. L'église Saint-Pierre, qui est encore entourée de son Cimetière, est inscrite depuis 1909 à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques (ISMH).
- la chapelle Saint-Aubert
- la fontaine Saint-Aubert
Patrimoine civil
Fortifications
La ville actuelle est l'une des rares villes françaises à avoir conservé l'ensemble de ses fortifications médiévales. Cette enceinte urbaine date des XIII
e et XV
e siècles. Elles est entièrement classée (MH). La muraille se compose de
courtines flanquée de
tours semi-circulaires et d'une tour bastionnée :
- la tour Claudine,
- la tour du Nord,
- la tour de la Liberté,
- la tour de l’Arcade,
- la tour du Roi,
- la tour Boucle (bastionnée).
Le chemin de ronde et les parapets sont du XVe siècle ainsi que divers ouvrages de défense comme :
- la porte du Roi,
- l’Avancée et sa porte,
- le Boulevard et sa porte,
- le corps de garde des Bourgeois (XVIe siècle).
L'enceinte des Fanils, qui continue les murs du Monteux, de Cantilly et de la Pillette, date du XVIe siècle, avec la tour Gabriel, qui porte en son chef un moulin à vent.
Habitations classées
- maison de l’Artichaut
- maison de la Coquille
- maison de la Licorne
- maison au Pot de Cuivre
- maison de la Truie qui File
- logis de Saint-Aubert
- logis de Tiphaine Raguenel
- logis Saint-Symphorien
- hôtel du Dauphin
- hôtel du Mouton-Blanc
- hôtel de la Mère Poulard
- hôtel Saint-Pierre (restauré conformément à l’ancienne maquette)
Héraldique
Armes de la ville du Mont-Saint-Michel :
- « De sable à 10 coquilles d’argent, 4, 3, 2 et 1 ; au chef de France »
Personnages célèbres
- Robert de Thorigny, célèbre abbé du mont
- Guillaume de Saint Pair, moine de l’abbaye auteur du Roman du Mont-Saint-Michel
- Louis-Philippe Ier, venu démolir les tristement célèbres « cages de fer »
- Louis Auguste Blanqui, prisonnier politique au mont
- Armand Barbès, prisonnier politique au mont
- Monseigneur Bravard, restaurateur de l'abbaye
- la Mère Poulard, restauratrice (voir ci-dessous)
Gastronomie locale
Le mont Saint-Michel se situe à l'embouchure du
Couesnon. Côté terre, des aménagements de digues déjà anciens ont permis jusqu'à aujourd'hui de gagner sur la mer des terrains consacrés à l'agriculture et à l'élevage (dont celui des ovins, qualifiés de moutons
de pré-salé). Le mouton ou l’
Agneau de pré-salé est ainsi une spécialité locale, à déguster de préférence grillé au feu de bois.
Une grande activité médiatique, à laquelle a participé de facto le dessinateur Christophe avec sa famille Fenouillard entoure la préparation de l’omelette de la mère Poulard (du nom du restaurant situé dans le village et réputé pour cette spécialité). Celle-ci est faite d'oeufs et de crème fraîche, abondamment battus en neige dans une bassine de cuivre avec un long fouet sur un rythme spécial que peuvent entendre les passants avant d’être cuite dans une poêle de cuivre sur un feu de bois.
Le Mont Saint-Michel dans la musique et la littérature
- En 1832, le roman La fée aux miettes de l'écrivain Charles Nodier évoque les sables mouvants de la baie du Mont Saint Michel.
- En 1850, le roman fantastique de Paul Féval, La fée des grèves, dont l'action se situe en 1450, évoque les légendes du Mont-Saint-Michel et du mont Tombelaine.
- En 1996, le compositeur anglais Mike Oldfield publie l'album Voyager dont un des titres est dédié au Mont Saint-Michel.
- En 1998, le compositeur français Patrick Broguière publie sous le titre Mont Saint-Michel un concept album de rock progressif entièrement dédié aux légendes du Mont Saint Michel.
- En 1999, le musicien harpiste breton Kirjuhel publie l'album Echo of Mont-Saint-Michel.
- En 2001, le musicien anglais Aphex Twin, originaire de Cornouailles, publie l'album de musique électronique Drukqs, dont le titre Mt Saint Michel + St Michaels Mount est inspiré à la fois par le Mont Saint Michel et le St Michaels' Mount situé en Cornouailles.
- En 2004, le roman La promesse de l'ange, par Frederic Lenoir et Violette Cabesos, est un polar archéologique dont l'action se situe principalement au Mont Saint-Michel.
- En 2005, le thriller Le Sang du Temps de Maxime Chattam se déroule au Mont Saint Michel en 2005 et dans l'Egypte des années 20.
- En 2008, la bande dessinée Le Diable & l'Archange; texte et dessin de Guillaume Néel, couleur de Julien Gondouin. La bande dessinée reprend une vieille légende médiévale sur la création du Mont Saint Michel et se trouve agrémenté par un livret pédagogique pour mieux comprendre le Diable et l'Archange, l'historique du Mont, la ville.
Notes et références
Galerie de photographies
Voir aussi
Liens internes
- Communes de la Manche
- Abbaye du Mont-Saint-Michel
- Baie du mont Saint-Michel
Liens externes