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Lure (homonymie).
Lure est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône et la région Franche-Comté. Les habitants de Lure sont appelés les Lurons ou les Lurois. La ville est la troisième de son département de par sa population, après Vesoul et Héricourt et avant Gray. On peut classer la ville comme de moyenne importance pour la Franche-Comté et de grande importance pour le département de la Haute-Saône
Toponymie
Les premières mentions du lieux dans un document remontent au Concile d'Aix-la-Chapelle en 817. La commune a changé plusieurs fois de dénominations depuis le Moyen-Age; Luterhaa en 959 puis successivement Luthra/Lutra, Ludra en 1289, Ludrensem, Luder en 1374, Luthre, Liura, Lura, Liure, Luyre, et pour finir Lure au XVème siècle, nom actuel de la ville. Il ne reste de tout ces anciens noms aux sonorités exotiques qu'un bar très fréquenté connus sous le nom de Luthra.
L'étymologie du nom, quelque soit l'hypothèse retenue, fait ressortir un lien avec l'eau et l'humidité du fait que la région soit criblée d'étang, dans un territoire marécageux. En effet, Lure, en latin se traduit par Luthra, Ludra ou encore Lura qui signifierai Loutre. Cet animal aurait ainsi vécu dans la région, propice à son développement de par le nombre de points d'eau.De même, le nom Lutro, se traduit du gaulois par source ou cours d'eau ce qui confirme le lien hydrologique. Une autre hypothèse est plutôt en relation avec les événements. Il est possible que Lothaire II qui aie donné son nom à la ville, Luthre ressemblant à Lothera, qui aurait donné Luthra au fil du temps. L'histoire peut mettre en évidence un lien entre la famille et les décendants de Lothaire et Lure.
Le nom de Lure existe pour une autre commune de France, et en anglais, celui-ci pourrait se traduire par Lure, nom d'un lac de pêche assez prisé aux USA. Celui-ci se situe au sud de l'Alaska. La confusion est d'autant plus grande que Lure est entourée d'étangs ou la pêche peut être pratiquée. Quelques communes des alentours ont leur nom se terminant par Lure, comme par exemple Vy-lès-Lure, ou encore Frotey-lès-Lure. Le phénomène est toutefois assez courant dans la région.
Le nom de la ville peut faire des jeux de mots comme en témoigne certains commerces. A vive a Lure, Flora Lure, ...
Géographie
Localisation
Presque au pied des
Vosges, à 80 km de Besançon et 30 km de
Belfort, la ville de Lure se situe dans le département de la
Haute-Saône, en
Franche-Comté. Celle-ci forme un triangle routier avec
Vesoul et
Luxeuil-les-Bains. L'autoroute la plus proche est l'A36, à un peu plus de 30 kilomètres, en direction de
Baume-les-Dames. La ville est assez proche de la frontière suisse : une soixantaine de kilomètre de
Porrentruy et 180 de
Lausanne. Par les grands axes de communications, l'Allemagne est reliable en moins de deux heures en voiture. La gare ferroviaire de Lure est sur la ligne Paris-Bâle.
Topographie et relief
La ville de Lure est relativement plate à l'exception de la colline de l'hôpital (le mont Châtel), de la « dune » (le mont Randon) vers l'avenue de Franche-Comté, et du bois du Mortard. Les lieux forment une pente très douce jusqu'aux étangs, point le plus bas du coin. En direction de Luxeuil, le terrain devient plus vallonné et l'altitude augment de plusieurs dizaines de mètres.
Géologie
Le sol de la commune de Lure, au centre du village
En creusant pelle et pioche à la main, il est possible d’atteindre la nappe phréatique en traversant plusieurs couches. Sur les 40 premiers centimètres, la terre est d'apparence similaire à celle de la surface, en creusant vers 1 mètre de fond, la terre se mêle à des cailloux ronds et change de couleur ; elle vire au jaune. En descendant sous cette barre, les cailloux se font de plus en plus fréquents — de diamètre moyen avoisinant les 10 cm — jusqu'à remplacer la terre. Sous la barre des 1,8 mètres, à périphérie des étangs à une altitude peu élevée, l'eau apparaît.
Dans un potager, la terre permet de cultiver divers légumes comme les tomates, courgettes, pomme de terre, salade, poireaux et sur ce sol, peuvent pousser pêcher, pommier, châtaignier, cerisier et autres arbres fruitiers.
Hydrologie
À la proche périphérie de la ville — comme dans la région dite des mille étangs — se trouvent une dizaine d'étangs. Ceux-ci auraient été d'anciennes gravières qui se seraient inondées, la Nappe phréatique ne se situant guère plus profond que cinq mètres. Il ne s'agit que de quelques uns d'entre eux. Les autres sont d'origine naturelle, d'où le nom de la région des milles étangs. La profondeur de ces étendues d'eau avoisine 6 mètres et leur berges forment une pente assez abrupte de l'ordre de 30°.
La ville est traversée par l'Ognon, une rivière en crue l'automne, et asséchée l'été. Lors des crues annuelles, une parties des pâtures de la rive droite sont inondées, ce qui est assez courant dans les parties plates des alentour de la vile. Une rivière au débit inférieur et aux caractéristiques identique, la Reigne s'écoule plus vers le centre de la commune, jusqu'à en sortir vers la station d'épuration. Les eaux pluviales s'écoulant le long des routes descendant la butte du Mortard passent par un petit canal sous-terrain en dessous de l'esplanade Charles de Gaulle. Un bassin d'accumulation est prévu pour contenir le trop plein en cas de fortes pluies. Deux autres ruisseaux fusionnent en dessus de la rn19. D'autres bassins d'accumulation se trouvent vers les étangs, derrière la zone commerciale de la Saline. Ceux-ci servent probablement à la régulation du niveau d'eau des étangs.
La région souffre rarement de sécheresses mêmes lorsqu'elles sont étendues à l'échelle européenne. Les étangs sont forment un bon moyen de contrôle de l'état et des réserves de l'eau et été. Ceux-ci peuvent voir leur niveau baisser de plus d'un mètre, et inversement, monter jusqu'à inonder les chemins de promenade. L'hydrologie à Lure est un élément important, tant au niveau du bâtiment qu'au niveau étymologique, qu'au niveau climatique. Les étangs ont donc une grande influence.
Climat
La ville subit d'épais
brouillards tôt le matin et le soir quelque fois au printemps et en automne, et reçoit des manteaux de neige épais de 10 à 40 cm (en 2005-2006), et chauffe jusqu'à 40°C au soleil. La proche présence des étangs ont pour conséquence l'apparition d'une sorte de microclimat. Il fait moins froids en hivers et moins chauds en été, comparé à de proches villages, comme par exemple
La Côte. Ces régulateurs thermiques n'empêchent pas la ville de subir de fortes gelées, allant jusqu'à -10°C à l'aube et de chauds étés.
Communes limitrophes et quartiers
[] En rouge l'axe de la quatre voix, en bleu l'axe RN19-D486, en blanc, ce qui pourrait former dans le futur, une véritable agglomération.
Lure n'est pas une agglomération, malgré le fait qu'elle soit à la foi le chef lieux de la Communauté de communes du pays de Lure et la sous préfecture de la Haute Saône.
La ville n'a fusionné avec aucune ville de taille semblable, cependant, le village de Roye est collé à la commune. En suivant le route liant les deux communes, on peut s'apercevoir que les hameaux de Magny-Vernois gare et tuilerie sont séparé de la ville par une mince bande de pâture de quelques centaines de mètres pour le plus grand espace. Une partie de ce village touche déjà la ville, et des terrains limitrophes sont en construction sur le Mont Randon. Ce village est très proche de Vouhenans mais ne le cotoie pasencore. Si la ville et les villages continuent de croître de cette façon, il est envisageable qu'il se produise une petite agglomération d'une forme oblongue ou en croissant de lune qui peut se distinguer grâce aux phtos satellites récentes. Cet axe est dynamique car il s'étend entre une grande forêt et une quinzaine d'étangs.
Dans cette directions, les villages limitrophes sont plus éloignés les uns des autres, et aucun village n'est pas séparé d'importants terrains agricoles forêt, étangs ou autre. Il est presque impossible de voire une fusion dans ce sens. De plus, la géographie s'y oppose avec la présences d'obstacles majeurs comme forêt et étang.
Roye, Magny-Vernois, Vouhenans, Bouhans-lès-Lure sont les seuls villages suffisamment proches pour pouvoir être considéré comme limitrophes. Dans le cas présent, cette notion peut être liée soit à la distance séparant les communes, soit au temps mis pour y parvenir. En tenant compte de ce paramètre de temps, tout les villages ayant une sortie de la quatre voix peuvent être considéré en tant que tel, y compris Luxeuil
-Quartier de la Pologne, avec son école primaire et maternelle, composé essentiellement de villa et pavillon.
-Quartier du Mortard, avec son collège. Quelque fois appelé "ghetto 70", ce quartier est constitués des rares immeubles de la ville, ou loge une communauté étrangère. Cet ensemble est souvent perçu comme un quartier sensible.
-La gendarmerie où loge un grand nombre de personnes dans les logements qui ont pris la place des anciennes casernes.
-Les eaux vives sont un quartier situé sur une ancienne fonderie démolie. Il sont composé d'un ensemble de plusieurs barres. Le coin n'as pas une mauvaise réputation
[image]
Faune et flore
[image] L'aquafaune est plus ou moins variées suivant les étangs, mais permettent néanmoins de pratiquer de la pêche. Dans l'Ognon vit quelques très rares anguilles. Celles-ci souffrent de l'assèchement d l'Ognon en été. Le ciel de Lure abrite des corbeaux en abondance, voir en surnombre, ainsi que des pigeons, des tourterelles, des rouges-gorges des moineaux et bien d'autres oiseaux. En passant sur la 4 vois de Luxeuil, il n'est pas rare de croiser quelques hiboux endormis. La chasse a une part importante dans les villages aux alentours. Avec de la patience, on peut attraper chevreuil, sanglier ou autre.
Les 1065 hectares de forêt de Lure sont composé dans leurs immense majorité de feuillus tels que le Chêne et de hêtre. Une certaine quantité de bouleaux sont visibles dans les forêts. Quelques conifères sont parsemés parci par là, mais de tout évidence ils sont certainement du à l'activité humaine. Une flore typique des étangs s'est développés dans la zones de loisirs. Dans les zones plates à l'orée des forêt, les zones en friches se voient recouvertes de petits buissons, ou suivant les endroits de ronces. Sur les plaines entretenues, l'herbe pousse permettant des pâtures pour les chevaux. Le gel en hiver empêche plus d'un végétal de se développer naturellement, notamment l'Olivier ou le palmier.
Histoire
D'après certains points de vue, les celtes auraient un lien avec le lieu. Toutefois, les 1ère trace de civilisation de la région remontent à l'époque romaine comme en témoignent des fouilles aux thermes de Luxeuil. Dans le cas de Lure, un certains Pereciot qui l'a visité avait, en 1771 touvé des tuilles romaines ou quelques fragments. Ce dernier signala même sur le territoire quelques restes de voies romaines, malgré quelques controverses de situations. Ce sont ces mêmes voies qui auraient amené les Invasions barbares dans la région. Les attilas ont réduits en cendres, en 451, quelques communes, notamment Luxeuil.
A la suite de ces tourmentes, les Burgondes s'établirent durablement dans la région, avant que les francs ne s'emparent des vastes territoires en 534. Alors que débutait le VIème siècle, un homme et douze disciple arrivèrent; saint Colomban, moine irlandais. Lorsque celui-ci fut exilé, il dispersa ses disciples, qui partirent en suivant la même direction qu'auparavant. Saint Delle alla fonder l'Abbaye de Lure, après avoir construit deux oratoires. Après sa mort en 620, la ville gagne en renommée, mais durant le siècle suivant, l'histoire de la ville est quasi inconnue. On sait en revanche que l'invasion des sarrasins fit beaucoup de mal dans la ville comme jusque dans ses plus lointaines périphéries. A ce propos, il est à noter qu'à Luxeuil, l'abbé et ses compagnon furent massacré, et le cloître fut abandonné pendant 15 ans, fait à dater de l'an 732. S'en suivit à nouveau une période plus ou moins mémorable pour les religieux, pendant l'époque de Charlemagne. En 870, après la mort de Lothaire, le royaume se partage, et Lure fut compris dans la partie cédée à Louis-le-Germanique. Suites à des agitations au niveau de la noblesses, les bourguignons on cherché un prétexte pour attaquer Lure. Ainsi, le monastère a été fortifié d'un mur de brique, garnis de plusieurs tours, ainsi qu'entouré d'un double fossé à la périphérie sous les ordres de Jacques de Vyt, vers 1343. De plus amples fortifications on débuté en 1340. Il y avais alors une muraille laissant 3 portes ainsi que quelques petits bastillons. Celles-ci survécurent jusqu'au XVIIème siècle. C'est en 1695 que Louis XIV ordonne la démolition de la muraille. Les travaux dureront jusqu'en 1758. La dernière porte disparu en 1796.
En 1674, le marquis de Renel, sur l'ordre de Louis XIV, s'empara de Lure. Les princes allemands n'étant plus les protecteurs de l'abbaye elle fut rattachée le 10 août 1679 à la Franche-Comté et donc à la France. À cette époque, la ville était entourée d'une muraille et d'un fossé. L'église Saint-Martin fut construite vers 1740-1745, à la place de l'ancienne qui fut la proie des flammes lors de l'incendie de 1720. Plus tard, l'abbaye fut vendue, ce qui mit fin à huit siècles religieux. Jusqu'en 1870, on pouvais considérer Lure comme une petite ville agricole, malgré la présence de deux petites fonderies et quelques artisanats, comme par exemple, le tissage du coton ou la tannerie. Ce n'est que suite à la guerre de 1870 et l’annexion de l’Alsace-Lorraine, que nombre d'industriels alsaciens s'établirent dans la région. Les deux guerres mondiales ont causé de nombreux morts à Lure. Ces morts pour la France ont leur mémorial, face à la sous-préfecture. L'attitude de Lure durant les deux guerres mondiales fut récompensée par l'attribution des croix de guerre qui ornent son blason. La libération de la ville de Lure eut lieu le 16 septembre 1944 par la 3e division d'infanterie US. En 1979, un contournement de la route nationale 19 permit à la ville de retrouver une part de son calme. Depuis mi 2006, le contournement Luron est en travaux.. Ceux ci seront terminés en 2009 : création d'une 2 fois 2 voies, en site neuf (projet RN 19 : Langres / Delle). L'ancienne chaussée sera réservée au trafic local inter-quartiers.
[image] [image] La ville a pour devise « Undique nos Tuere », ce se traduit par : « Protège‑nous de tous côtés ou protège‑nous partout ». Cette devise peut se comprendre en la liant avec les faits historique des lieux, qui sont chargés de Pillage et Razzia pratiqués depuis maints siècles par des envahisseurs successifs. Les armoiries de la ville sont un écusson bleu ciel striés horizontalement, exposant habillement le soleil doré avec un visage qui a plusieurs significations. Cet ensemble est symétriquement décoré sur ses deux flancs par des lauriers. L'écusson est surmonté d'une couronne composée de trois tours de gardes. La valeurs symbolique de cet élément nous provient certainement encore une fois du passé. Cet ensemble peut se retrouver dans les armoiries de Ronchamp et Fresse. Dans l'arrête supérieur est placée la devise écrite sur un morceau de parchemin déroulé. Les croix de guerre Croix de guerre 1914-1918 et Croix de guerre 1939-1945) qui ornent le blason de la ville ont été attribuées afin de récompenser l'attitude de la bourgade durant les deux guerres mondiales qui compte de nombreuses victimes des conflits. On peut constater qu'elle ne figurent pas sur l'écusson en pierre de 1850 (voir la photo). Le visage du lumineux soleil est lui aussi absent.
Le sapeur Camembert ne figure pas sur les armoiries, malgré le fait qu'il soit en quelque sorte le symbole de la ville. Comme on peut s'en douter, le blason de la ville est bien plus ancien que le personnage de la bande dessinée. Bien que les abbayes soient souvent affichées sur les armoiries municipales, celle de Lure est absente bien que la ville lui doit son existence, à moins qu'elle soit la couronne de fortifications en haut du blason comme pourrait l'expliquer certains faits historiques. Saint Colomban n'y figure pas non plus.
Administration
Le portrait de chacun de ses élus sont exposés en permanence dans le rez-de-chaussée de la mairie.
Liste des maires successifs |
Période | Identité | Parti | Qualité |
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1848 | 1863 | Eugène Grobert | - | - |
1863 | 1864 | Bruno Rodolphe Prinet | - | - |
1864 | 1878 | François Thiébaud Martelet | - | - |
1878 | 1881 | Charles Coutherut | - | - |
1881 | 1882 | Antoine Boisson | - | - |
1882 | 1887 | Auguste Frechin | - | - |
1887 | 1908 | Joseph Constant Lotz | - | - |
1908 | 1912 | Alphonse Boileau | - | - |
1912 | 1925 | Henri Marsot | - | - |
1925 | 1936 | Charles Cotin | - | - |
1936 | 1944 | Emile Jeandel | - | - |
1944 | 1965 | Georges Péquegnot | - | - |
1965 | 1971 | Jacques Cordonnier | - | - |
1971 | 1977 | Henri Courtois | - | - |
mars 1983 | mars 1989 | Jean Hertz | DVG | - |
mars 1989 | juin 1995 | Gilles Roy | DVD | - |
juin 1995 | janvier 2007 | Michel Federspiel | DVG | - |
janvier 2007 | en cours | Éric Houlley | PS | - |
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
Démographie
Contrairement à la démographie générale de la
Haute-Saône, Lure n'as pas connu de dépeuplement notoire depuis 1880. Pour pouvoir comparer les deux évolutions, il faut savoir que le Haute-Saône s'est repeuplée qu'à partie de 1950. Consulter l'article de la démographie Haut-saônoise peut s'avérer intéressant.
[image] Évolution démographique1790 | 1815 | 1841 | 1861 | 1881 | 1906 | 1936 | 1962 |
---|
2015 | 2246 | 3058 | 3537 | 4360 | 5816 | 5970 | 6408 |
Évolution démographique(Source : INSEE)1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 |
---|
6408 | 7415 | 8639 | 9130 | 8843 | 8727 | 8337 |
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes |
Victimes de la guerre;
- 1ère Guerre Mondiale : 221
- 2ème Guerre Mondiale : 15 morts, 23 fusillés, 23 déportés
- Algérie et Indochine : 15 morts
Économie
Secteur primaire
Bien que la ville de Lure soit presque entourée que de champs, il n'existe aucune activité agricole notoire à Lure, malgré la présence de nombreux fermes transformée en résidence. Les exploitations appartenant à des habitants d'autres communes voisines. L'exploitation forestière de Lure à proprement dit n'est pas importante, voire inexistante (sauf ONF), du fait que les villages limitrophes font une part importante de travail en la matière. Il est a relever que la surface boisée recouvre un peu plus de 1000 hectares sur les 2431 de la commune, soit quand même un bon pourcentage. (878 de bois communal) Les production de
Gravier et les sablières elles ne chôment pas, comme en en témoignent les infrastructures et les étangs. On peut en voir en passant sur la 4 voies en direction de Frottey-lès-Lure. Actuellement désaffectés, il reste des hangars pour sécher le
Tabac qui était produit dans le terrains près de la 4 voies, derrière la zone commerciale des Cloyes.
Usines et productions
- Jadis, Lure comptait deux tuilleries, trois tissages de coton, trois teintureries, une brasserie, deux fonderies, une imprimerie, et enfin un atelier de gravure et de dorure sur bois.
- Actuellement, Les entreprises suivantes se sont installées : Isoroy, Vétoquinol, Faurecia..., alors que d'autres ont fermé, comme la fonderie qui à laissé place aux Eaux-vives et l'usine de tissage est partie à La Côte, délocalisant à nouveau actuellement.
Commerces
[image] La ville est bien garnie en commerces qui peuvent se regrouper sous 3 sections :
- La ZAC des Cloies (1ère) et la zac de la Saline (2ème) se partagent la majorité des commerces et des grandes surfaces de Lure. La plus grande surface commerciale est certainement le centre E.Leclerc de la zone des Cloyes, juste avant le supermarché des mousquetaires. On peut considérer la zone des Cloyes comme uniquement commerciale et définitivement aménagée, alors que la zone le la Saline peut encore s'agrandir de manière conséquente. Cette zone offre d'autre services qui s'éloignent quelque peu de la vente, comme des centre de Lavage, des centres autos, voir même des commerces "administratifs". Ces deux zones sont constituées essentiellement de grandes surfaces desservant de l'alimentaire à l'outillage en passant par l'électroménager et le vêtement. La construction de la quatre voies dynamise fortement les deux zones commerciales, surtout celle des Cloyes. Une énorme bretelle sortant du giratoire y est d'ailleurs exclusivement dédiée.
- Le centre ville (3ème) qui conserve ses boutiques, sa librairie, ses coiffeurs, bars, restaurants, fleuristes, boulangeries, chocolateries, pharmacies, et boutiques d'habillement. Elles sont plus prisées pour le shopping que pour l'achat de biens vitaux. Cependant, ces petits commercent une prestation meilleur et une qualité plus grande allant évidemment avec une hausse des prix.
Le supermarché Match fait exception. Il est la seule grande surface à l'intérieur de la ville, en ne comptant pas le LIDL, nettement plus petit très fréquenté par les élèves des deux lycées voisins. Une petite zone commerciale ne rivalisant pas en tailles avec celles citées ci-dessus se trouves au pieds des immeubles du Morard.
Services publiques ou non
Scolarité et enseignement
La ville de Lure possède un système éducatif assez complet; on y trouve plusieurs plusieurs écoles maternelles et primaires (La Pologne, Jean Macé, ...), ainsi que le collège publique du Mortard et privé de St Anne, un lycée général nommé G.Colomb, deux lycées professionnels, le Bartholdi et celui de St Anne. On peut donc suivre une scolarité à Lure jusqu'au niveau du Bac. La fréquentation de ces établissement peut sembler excessive pour la taille de la ville, mais s'explique par a présence d'élèves des communes voisines ou plus lointaines, comme le fait envisager la présence d'internat dans le lycée G.Colomb. Notons au passage que ce lycée a, d'après les avis du personnel, une bonne réputation. Les lycéens de cet établissement n'ont pas le samedi de libre.
Services
Globalement complet en le domaine, Lure possède médecin généraliste, hôpital, radiologue podologue et autres, ainsi que l'office du tourisme, une poste, un gare SNCF, deux auto-écoles, un centre ANPE, deux tribunaux (en changement), et une maison d'arrêt, une caserne de pompier, sans oublier la Sous-Préfecture.
Transports
[image] La commune est traversée par le rail qui permet d'arriver à
Belfort ou
Bâle. La gare de Lure est utilisée rentablement de par le nombre de passager. Il y circule des TER, des trains de marchandise quelquefois, mais généralement, cette gare est utilisée pour le transport de passagers. La gare travail pour la LGV passant dans le département.
Un grand contournement qui est transformé en 4 voies permet l'accès rapide aux villages possédant une sorties, et diminue fortement le temps pour rallier des grandes villes. La rue centrale, l'Avenue Carnot était la route principale avant la construction de la déviation de 1979. Celle-ci connaît des difficultés de circulation lors du passage d'un train ou aux heures de pointes. Des bouchons peuvent aller jusqu'à 800 mètres de longueur dans le pires des cas, lorsqu'on ajoute le parking sauvage au rond point de la Poste. Celle-ce dispose de deux pistes cyclables et de très larges trottoirs. Autres axes important à mentionner, la D18, la D64, la D486 la RN19, et la route de Luxeuil appelée "quatre voix". La région de Lure jusqu'à Ronchamp est prisé pour le passage de convois exceptionnels.
Il y a eu un projet de réhabilitation de l'aérodrome de Malbouhant, ancien aérodrome militaire mais il fut interrompu 2 fois par l'action d'écologistes, dans le but de préserver l'habitat d'une pie et d'un certain papillon. Si le projet avais vu le jour, le trafique aérien aurais permis d'amoindrir les temps mis pour parvenir aux villes d'ordre national, tout en dynamisant la ville.
Une gare routière des Lignes Saônoises recueille les bus des alentours. A proprement dit, on ne peu pas parler de transport en commun à Lure, mais il se trouve ça et là des abris de bus. En revanche, les navettes et transports scolaires se font remarquer de par leur nombres les jours d'écoles, le matin et le soir sur l'esplanade Charles de Gaulle. Accessoirement, il est un fait négligeable: la rare présence de quelques taxis venant probablement de quelques compagnies privées.
Loisirs
On y trouve l'espace Meliès, un
Cinéma comprenant deux salles. Celui ci est apprécié pour le faible coût de ses entrées, sa convivialité et pour ses films. Ceux-ci sont très variés pour la taille de la ville bien qu'ils soient souvent "une seule semaine à l'affiche". Une bibliothèque municipale met à disposition plusieurs milliers d'ouvrages et une vingtaine de périodiques. Elle est divisée en deux parties; une pour les enfants, une pour les adultes. Le centre culturel François Mitterrand permet d'assister à des concerts, du théâtre ou d'autres animations. D'autres salles de fêtes et autres espaces existent également.
Les installations sportives sont conséquentes. On peut compter trois terrains de foots, deux en herbe, l'autre sur du sable tassé nommé familièrement "stablisé", ainsi qu'un Gymnase, le Gymnase Brosset. Il est doté à l'intérieur d'une grande salle multisports, d'une salle de ping-pong, de sports martiaux, un grand mur d'Escalade avec surplomb, ainsi qu'une salle de danse. A l'extérieur, on peut encore pratiquer plusieurs sports d'équipes sur un grands terrains en béton. Dans le même endroit, il est mis à disposition la Piscine municipale. Celle-ci comporte un unique bassins de 12.5x25 mètres, si on ne compte pas la pataugeoire de quelques mètres carrés, pour 40 centimètres de profondeurs, à l'extérieur démunie d'eau ou poussent des mauvaises herbes. La piscine va heureusement être massivement rénovée lorsque les travaux débuteront à la rentrée de 2008. L'espace culturel offre plusieurs activités payantes, notamment une fonction de Cybercafé des cours de langues, de cuisines, ainsi qu'un club de danse Hip-hop connus sous le nom de (à venir).
Il est un fait important et bien connus que les étangs, pourtant interdits à la baignade rencontrent un fort succès l'été, malgré la présence de la piscine et des nombreux panneaux d'interdiction qui mènent rarement à des verbalisations. On peut expliquer leur succès par leurs gratuités, leurs taille, les chemins qui les entourent, ainsi que l'état de la piscine municipale et ses divers exigences. Ces étangs sont entourés de chemins entretenus bordant l'Ognon allant à allant à la Vouhenans, ainsi que d'une grande place de jeux, ce qui explique une partie de leurs popularité. A coté se trouve un centre d'équitation d'une taille notoire et d'un camping. Le bois du mortatd est traversé par un parcours sportif long de 1,8 km. Notons aussi la présence d'une discothèque. Dans les étangs, en saison estivale, il y a la possibilité de faire de la Pêche.
Développement durable
[image] [image] En matière de développement durable, la municipalité est dotée d'une station d'épuration comprenant deux bassins construite sur un terrain d'environ 4 hectares, a l'extérieur de la ville, à côté des rails, près de la forêt. Une
Déchèterie, se localise à l'extérieur la zone commerciale des Cloyes, près de la gravière. Les déchets sont triés dans plusieurs bennes différentes selon le contenu. La municipalité met en place la collecte des déchets à domicile grâce aux camions-poubelles. Réparties, quelques points de collectes et de tri existent sous formes de conteneurs soulevables. Ils permettent notamment de triller le plastique, le verre et le papier. La ville dispose aussi d'une ou plusieurs balayeuses électriques qui nettoient le ville en permanence. Elles sont particulièrement utiles pour nettoyer les reste du marché le mardi. Sur les poubelles de la ville, en dessous de l'effigie il est fait mention de "Lure, ville propre" Lure n'as pas encore été victime de pollution notoire, malgré les soupçons infondés sur les vapeurs émanant de la cheminée d'Isoroy. Dans le cadre scolaire, il faut noter que le lycée est un établissement pilote dans l'opération agenda 21 qui consiste en divers économies d'énergie et tris des déchets.
Cultes
Sur le sol luron possède l'église Saint Martin pour le culte catholique, un temple moins fréquenté, ainsi qu'une mosquée. A côté du cinéma se trouve toujours un bâtiment religieux chrétien, mais celui, sans être abandonné n'a plus sa vocation religieuse. Sans être reconnaissables en tant que tel, n'ayant rien avoir avec l'architecture de églises francomtoises, d'autres cultes sont réalisé dans la chapelle St-Paul, dans un autre église se disant évangélique et une église se voulant apostolique ainsi que dan un autre local d'une église évangélique. Les témoins de Géovas sont aussi présent dans la ville. Le cimetière de la ville se situe derrière le lycée G.Colomb.
Lieux et monuments
[image] - La sous-préfecture : construite sur les restes de l'abbaye dont n'a subsisté qu'un morceau de chapelle sur un terrain privé voisin de la sous-préfecture. Le parc ainsi que le bureau du préfet sont ouverts au public lors des Journées du patrimoine. Le bureau est la seule pièce qui échappa à un incendie dévastateur.
- En face de la sous-préfecture, le « Puits de la Fond », un petit étang qui donne naissance à la Reigne. Un petit escalier mène à une des résurgences sur le bord. Cet escalier est bordé d'une barrière en béton formé comme si c'était du bois. Le puits à une légende : un meunier avait son moulin juste devant l’abbaye. Ce meunier avait une fille qui s'éprit un homme qu'elle ne pouvait épouser à cause de l'avarice paternel. La colère s'abattit sur le meunier et la foudre détruisit son moulin. Dans le trou formé ainsi s'accumulèrent les eaux de cet orage.
- En face du puits, juste à côté de la sous-préfecture, on voit un vieux lavoir par lequel la Reigne s'échappe et coule vers Magni-Vernois. Le lavoir est comme tous les lavoirs de la région charmant mais quelconque.
- On peut suivre la Reigne sur un cinquantaine de mètres jusqu'au très récent parc de l'Abbaye. On traverse un simple pont pour rejoindre ce parc entouré par l'eau, au centre une cascade artificielle.
- Parc du quartier de la Pologne
- Il ne faut pas oublier le « Chapitre », un château construit par deux ecclésiastiques quelques années avant la Révolution française. Leurs constructeurs ne purent jamais l'habiter. Dès le début séparé en deux parties identiques, il l'est encore aujourd'hui. La partie gauche appartient à un particulier, la droite appartient à un couple d'artistes qui en a fait une maison de l'art et une chambre d'hôte. La partie droite est ouverte au public depuis 2006 à l'occasion des Journées du patrimoine.
- Le sentier de l'Onde, artificiel, longe de très près l'Ognon. Des tableaux permettent d'un apprendre plus sur le fleuve. Ce sentier fait le tour de plusieurs gravières inondées et arborées. Depuis ce sentier on peut en période de crue admirer les champs inondés de l'autre côté de l'Ognon. Il débute au pont de l'Ognon mais il est difficile de dire où il se termine. Un terrain de jeu pour enfants a été construit et le centre équestre luron ainsi que le camping en sont très proches.
- L'église en plein coeur de Lure dont le toit n'est pas décoré contrairement aux églises courantes dans la région est une construction relativement récente. Elle remplace l'ancienne église Saint-Martin qui était sur la colline où se trouve maintenant le cimetière.
Personnages célèbres
- Georges Colomb, connu comme l'un des pères de la Bande dessinée sous le pseudonyme de Christophe, y est né le 25 mai 1856. Un de ses personnages, le Sapeur Camember est devenu en quelque sorte l'emblème de la ville. À l'occasion du 29 février, la ville organise une série d'animations en l'honneur du sapeur Camember et de son auteur, notamment en plaçant des plaques de rues comme rue de Mam'zelle Victoire, rue du docteur Guy Mauve… La mode 1900 étant de rigueur dans l'esprit de « L'Art Nac du sapeur ». Le principal lycée de Lure porte le nom de cet auteur. Une partie intéressante de ses créations sont dans l'encyclopédie au titre de Anémélectroreculpédalicoupeventombrosoparacloucycle.
- Pierre Joseph Desault, né le 6 février 1744 à Vouhenans, village a proximité de Lure.et mort à Paris le 1er juin 1795, il fut un précurseur de la Chirurgie moderne, il apporta des soins à Louis XVII de France alors emprisonné à la Tour du Temple. Il fut nommé successivement professeur à l'école pratique, membre du collège de chirurgie en 1776, chirurgien en chef de la Charité en 1782, puis de l'Hôtel-Dieu en 1788. Il enseigna l'anatomie sur des cadavres et non plus sur les planches murales ou sur des pièces de cire. Pendant la Révolution française, il se dévoua aux malades et aux blessés. Il fut chargé en 1795 de donner des soins au jeune Louis XVII. Il mourut pendant ce traitement, à 51 ans. Une rumeur se propagea, Pierre Joseph Desault aurait été empoisonné pour avoir refusé de réaliser certains projets criminels du gouvernement révolutionnaire qui aurait voulu tuer Louis XVII. L'autopsie faite de son cadavre ne révéla aucune trace de poison dans ses organes.
- Antoine Boisson, fils de Pierre Boisson fut scolarisé au pensionnat de Sainte-Anne, à Lure. Il a fait des études de droits en 1947 à l'université de Paris. Dès 1950, ce dernier était abonné à des revues littéraires françaises. Il connaissait la langue allemande, et était abonné à un Journal d'apprentissage de la langue anglaise, titrées BBC. Nous pourrons aussi noter que des revues pour enfants en russe furent retrouvées dans le grenier de son ancienne maison. Ce personnage peu connu a une rue à son nom. Son grand-père serait mort dans les tranchées de Verdun, comme en témoigne la présence de son nom et prénom sur une plaque commémorative à l'église, au cimetière, ainsi qu'au lycée G.Colomb.
- Félix Grandmougin, né à Lure en 1805, mort à Luxeuil en 1879, fut un architecte. L'église de la Visitation a été construite au XIXe siècle. De toutes les églises bâties sur les plans de l'architecte luron Félix Grandmougin, celle de Raddon est sans doute l'une des plus accomplies et les mieux exécutées… À l'intérieur, très beau mobilier dessiné également par Félix Grandmougin. L'église de Saint-Germain a été édifiée au XIXe siècle par ce dernier.
- Alain Perrin, entraîneur de football né à Lure le 7 octobre 1956
- Jérome Béglé, journaliste à "Paris Match" serait lié à la ville de par sa famille.
Jumelage
[image] Asperg (
Allemagne), voir
(de) Les 7 et 8 octobre 1967 à Asperg, le jumelage est officialisé ; la charte est signée le 8 octobre.
Le club photo de Lure invite régulièrement celui d'Asperg pour des expositions.
Croyance populaire
Voici quelques croyances et légendes populaires des environs de Lure.
Le mythe de saint Desle (Deicolus en latin) :
Saint Desle était le plus vieux des compagnons de saint Colomban et, arrivé à Lure, il se sentit si fatigué qu'il pria Colomban de laisser là. Colomban exauça cette prière. La capacité de saint Desle était de pouvoir accrocher ses habits à un rayon de soleil et de bien s'entendre avec les animaux même les plus féroces. Un jour, il se perdit dans une forêt proche de Lure pendant plusieurs jours. Il avait très soif lorsqu'il aperçut une Licorne. Or au Moyen Âge on croyait que, si cette créature frappe une pierre de sa corne, une source naît. Saint Desle qui s'entendait bien avec les animaux suivit lentement la Licorne qui fit jaillir l'eau d'un rocher. À cet endroit se trouve maintenant la source de Saint Desle dont les eaux, dit-on, guérissent les yeux malades (mais peut-être vaut-il mieux ne pas essayer car, de nos jours, les eaux noirâtres sont souillées par la terre et les feuilles).
Tante Arie est arrivée jusqu'à Lure mais là elle possède des pattes de chèvre et non des jambes. Les nuits froides d'hiver, quand la neige est venue, elle rend visite à une famille pauvre, termine le travail inachevé dans la journée et offre des cadeaux aux enfants.
La Vouivre on ne sait pas vraiment qui elle est mais elle vit dans la forêt et elle inspire terreur. Son oeil se voit de loin dans la nuit et certains disent que c'est une vieille femme.
On dit que si dans la forêt on marche sur une drosera (petite plante carnivore des zones marécageuses), on est perdu et on ne ressortira jamais de la forêt. On risquerait aussi une mort très prochaine, en s'enfonçant par exemple dans l'eau du marais.
Vie militaire
Unités militaires ayant tenu garnison à Lure:
- 13e régiment de dragons, 1906
- 1er régiment de dragons, jusqu'à sa dissolution le 1er juillet 1999.
Actuellement 3 postes de gendarmerie se tiennent dans Lure. La base aérienne de Luxeuil figure parmi les plus grands employeurs militaires de la ville. La gendarmerie de Lure dispose d'une quinzaines de véhicules, dont un P4. Il arrive parfois que quelques moto de la gendarmerie circulent en ville. Notons la présence de voiture de la police municipales.
Divers
En 2005, la ville, étant trop envahie par les
corbeaux du le bois du Mortard et de la colline de l'hôpital organisa une chasse afin d'en diminuer la population. La sous-préfecture organise tous les ans une chasse sur la colline de l'hôpital (Mt-Châtel).
La course du sapeur, son six courses de 3,5 km populaires, 5 km et 10 km en 2 boucles de 5 km, ceci rue Parmentier.
Les étangs, interdits à la baignade, sont très fréquentés en période d'été.
La ville est traversée au centre par une voie de chemin de fer, et survolée fréquemment par des mirages 2000-N, de provenance de la Base aérienne 116 de Luxeuil-Saint Sauveur, une ville de même taille à une vingtaine de kilomètres.
Galerie Photo
[image] [image] [image] Voir aussi
- Communes de la Haute-Saône
- Anciennes communes de la Haute-Saône
Liens externes
Notes et références