人大国际高端品牌管理硕士-热申中法顶级学府共同培养,使馆支持,亲临欧洲,全英文授课,深入国际顶级企业与品牌大师零距离接触,成就奢侈品行业稀缺人才!www.luxeruc.org
人大法国语言文学与社会科学硕博连读索邦四大、蒙彼利埃三大和中国人民大学为精通法语的人文社科类学生开设的国际型硕、博高等学位教育培养计划。www.masterdocfr.com
25 所法国高校与您相约北京,武汉,成都,西安,上海3月9日至17日。希望赴法攻读硕士或博士学位?希望与法国知名高校进行一对一面谈? 赶快报名!www.chine.campusfrance.org/zh-hans
战斗在法国欧洲最具活力的中文社区.最大的关于法国的中文网络平台www.revefrance.com
法国学校联盟 -- 最专业的留法机构行业首创,全程公开进度查询;官方学校招生代表;专属面签辅导;巴黎专属办事处;全海归团队;高签证率缔造者www.edufrance.org.cn
咪咪学法语法语爱好者的家园 留学与考试的助手 提供各种法语相关的信息与服务www.mimifr.com
法语沙龙四川师范大学法语系专业所创办公益性的法语学习网站,为法语爱好者提供法语学习交流的网上空间www.monfr.com
Vue de la mairie de la ville de Maisons-Alfort. Maisons-Alfort est une Commune française du Val-de-Marne, en Île-de-France. Cette ville se situe dans la banlieue sud-est de Paris, sur la rive sud de la Marne. Située à 3 kilomètres de la capitale, son positionnement lui permet un accès rapide à plusieurs axes majeurs de communications franciliens que sont l'A4 au nord ou l'A86 au sud. Sa population actuelle fait qu'elle est la cinquième ville la plus importante du département derrière Créteil, Vitry-sur-Seine, Champigny-sur-Marne et Saint-Maur-des-Fossés. Les habitants de Maisons-Alfort sont les Maisonnais(es).
Maisons-Alfort est l'une des 47 communes du Val-de-Marne, dont le chef-lieu est Créteil. Elle a la forme d'un triangle :
(Le Carrefour Pompadour est à la limite de Créteil, Choisy-le-Roi et Valenton.)
Maisons-Alfort est entourée des six communes suivantes en commençant au nord et en tournant dans le sens des aiguilles d'un montre : Charenton-le-Pont, Saint-Maurice, Joinville-le-Pont, Saint-Maur, Créteil et Alfortville.
Louis de Falcony, seigneur d'Alfort, possédait plusieurs pièces de terre ; la moitié de la basse-cour d'Alfort, le tout jusqu’à la concurrence de 64 arpents 1/2, ayant compris 16 arpents que M. l’Archevêque venait de lui inféoder dans la censive de Maisons ; mais M. l’Archevêque érigea cette portion d'Alfort en fief, à la prière de Falcony, par acte, devant Dupuis et Nicolas Boucher, notaires à Paris, le 27 juillet 1641.
En 1765, Jean-Louis de L'Héraud ou Lhéreau, seigneur de la baronnie de Bormes, vendit cette propriété pour qu'y soit fondée l’Ecole Vétérinaire par Claude Bourgelat. La ferme de Maisonville restée en dehors de l'opération, comprenait, outre les bâtiments d’exploitation, 500 arpents de terres et prés.
Il est vaguement question en 1240 et 1246 de Charentonnellum. En 1281, l'abbé de Saint-Maur était propriétaire du moulin de Charentonneau, auquel les hommes de Maisons étaient sujets banniers. Le 14 octobre 1377, le roi Charles V acheta à Nicolas Braque, son maître d’hôtel, « la maison qu'il avait à Charentonnel près du pont de Charenton, et ses dépendances » pour 3 200 livres d'or. Il la donna à Philippe de Mézières, chancelier de Chypre. Cette charte est datée de Beauté-sur-Marne, 1377. A cette époque, le pont de Charenton est parfois désigné sous le nom de pont de Charentonneau.
« 1° Dans une maison, bâtiment, cour, dans laquelle il y a un colombier à pied, un jardin, le tout contenant 12 perches ; sis rue Basse devant le cimetière dudit lieu.2° Dans une moyenne et basse justice sur les sujets dudit fief.3° Dans trois quartiers de prés sis au terroir de Maisons, lieu dit Le Prévieu.4° Dans 4 livres 16 sols parisis, et 7 septiers 8 boisseaux d'orge, mesure de Paris, avec autant d'argent que vaut ledit orge de cens ; portant « lods » et ventes, à prendre sur plusieurs maisons, mazures, vignes, terres labourables, prés et autres héritages. » - Extrait de l'histoire de Maisons-Alfort par Amédée Chenal
« 1° Dans une maison, bâtiment, cour, dans laquelle il y a un colombier à pied, un jardin, le tout contenant 12 perches ; sis rue Basse devant le cimetière dudit lieu.2° Dans une moyenne et basse justice sur les sujets dudit fief.3° Dans trois quartiers de prés sis au terroir de Maisons, lieu dit Le Prévieu.4° Dans 4 livres 16 sols parisis, et 7 septiers 8 boisseaux d'orge, mesure de Paris, avec autant d'argent que vaut ledit orge de cens ; portant « lods » et ventes, à prendre sur plusieurs maisons, mazures, vignes, terres labourables, prés et autres héritages. »
tout contenant 12 perches ; sis rue Basse devant le cimetière dudit lieu.
2° Dans une moyenne et basse justice sur les sujets dudit fief.
3° Dans trois quartiers de prés sis au terroir de Maisons, lieu dit Le Prévieu.
4° Dans 4 livres 16 sols parisis, et 7 septiers 8 boisseaux d'orge, mesure de Paris, avec
autant d'argent que vaut ledit orge de cens ; portant « lods » et ventes, à prendre sur plusieurs maisons, mazures, vignes, terres labourables, prés et autres héritages.
- Extrait de l'histoire de Maisons-Alfort par Amédée Chenal
Dans le cadre d'un mécénat de Bio-Springer, le château abrite depuis 2003 le Musée de Maisons-Alfort.
Ce n'est qu'à partir de 1880 que l'on construisit les premières maisons que l'on peut assimiler à nos lotissements actuels et au milieu du XXe siècle, seuls ces deux derniers quartiers étaient urbanisés. Le reste du territoire de la commune était occupé par des terrains maraîchers.
Voici un aperçu dans le tableau ci-dessous pour l'année 2007 :
Elle est desservie au Nord par l'autoroute A4 (qui passe de l'autre côté de la Marne, sur la commune de Charenton-le-Pont).
Les deux nationales partent du carrefour de la Résistance, situé à l'entrée nord-ouest de la ville en venant du pont de Charenton.
Durant sa traversée de Maisons-Alfort, la RN 6 prend successivement les noms d'avenue du général de Gaulle, puis avenue de professeur Cadiot, puis avenue Léon Blum, puis rue Jean Jaurès. Elle est orientée vers le sud le long de la voie de chemin de fer sur la plus grande partie de son tracé, mais elle s'en écarte provisoirement pour contourner la partie du centre ville où se situe la mairie. Dans le passé cependant la route principale, correspondant globalement à l'actuelle nationale, pénétrait dans le centre ville (partie sud de l'avenue du général de Gaulle) et se dirigeait directement sur l'église saint-Rémi, ce qui est un signe de l'ancienneté du tracé.
La RN 19, sous le nom d'avenue du général Leclerc, est orientée transversalement vers le sud-est en coupant la ville en deux parties. La partie au nord-est de la RN 19 est surtout résidentielle avec des quartiers pavillonaires et les bords de Marne, tandis que la partie au sud-ouest abrite la plus grande part des équipements urbains (École vétérinaire, Fort de Charenton, mairie, cimetière, terrains de sport, établissements d'enseignement supérieur, usines Bio-Springer et Aventis, grands ensembles d'habitation, voie ferrée).
Lors de la construction du fort de Charenton au XIXe siècle, on fit la découverte d'une structure en bordure d'un ancien chemin, probablement identifiable à un Tumulus, relief visible appelé « Butte de Grammont ». On y découvrit plusieurs sépultures dont certaines présentent un certain apparat. Elles sont datables de la Tène ou de l'époque romaine.
Par sept chartes successives des années 1262, 1269, 1287, 1291, 1301, 1324 et 1325, les abbés de Saint-Maur « affranchirent de toutes servitudes 143 chefs de ménage et leur postérité née et à naître (...) ». En comptant cinq personnes par ménages, la population est alors estimée à 715 habitants. Cette estimation ne prenant pas en compte les seigneurs, le curé et les serfs qui n'ont pas été affranchis, si toutefois il en reste. Cependant, s’agissant de ce recensement , on ignore s'il n’est question que des serfs de Maisons. En effet, il est plausible que ceux de Créteil, qui appartenaient également aux abbés de Saint-Maur, soient, eux aussi, compris au sein du comptage de la population. Ainsi au vu de ces données, on peut raisonnablement avancer un total approximatif d’environ 800 personnes, soit environ 400 pour Maisons, ce qui semble vraisemblable d’après les informations que l’on dispose et de par la comparaison que l’on puisse faire en vers d’autres hameaux de taille comparable contemporains à cette période énoncée.
Par cet écrit : « (...) cependant, par une charte du samedi avant la Chandeleur, en 1295, l'abbé de Saint-Maur amortit à la confrairie lesdits deux quartiers de vigne, (...) ». On apprend que du vin y est produit. Ce qui constitue un témoignage des aspects économiques et sociale de Maisons-Alfort durant le Moyen-Age.
En 1358, lors de la Guerre de Cent Ans, les Anglais et Charles de Navarre prennent le pont de Charenton. Toutefois, on ignore tout du sort des habitants de cette contré durant cette période trouble de l’histoire.
En 1465, formée par des seigneurs contre le roi de France Louis XI, l'armée de la Ligue du Bien public, campe dans le voisinage du pont. De nombreux combats y sont livrés. Maisons-Alfort est durant un temps un champ de bataille où s’exprime les belligérants de cette guerre seigneuriale.
En raison du cout de la guerre, le roi décida de faire payer à nouveau, en 1652, le droit d'amortissement. Il y a lieu de remarquer que si, d’un côté ; les abbés de Saint-Maur contestaient aux habitants de Maisons la propriété complète des quelques champs dont ils jouissaient en commun, et leur réclamaient de ce fait un impôt sous forme de corvées, le roi reconnaissait leurs droits sur ces mêmes champs, afin de pouvoir à son tour exiger d'eux la taxe de Mainmorte.
En 1680, il est question depuis quelque temps de prés communs entre Maisons et Créteil. Ces prés faisaient partie de ceux concédés par les abbés aux habitants pour le pacage de leurs bestiaux. Ces terres avaient été surnommées Prés des pailles, parce que les habitants de Maisons qui fournissaient depuis longtemps les pailles et litières pour la grande écurie du roi, affectaient le revenu qu'elles produisaient à l'acquisition de cette paille quand elle n'avait pas pu y être récoltée ou qu'elle venait à manquer. C'est de l'une de ces livraisons qu'il s'agit, lorsqu'on parle de l'octroi de Paris. Cette paille était plus généralement livrée à Carrières-Charenton, dans les écuries royales au Séjour du roi. En échange de cette fourniture, depuis le roi Jean, en 1351, jusqu'à Louis XV, en 1717, il leur avait été octroyé dix-huit chartes comportant des privilèges dont on peut lire la dernière :
« Louis, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir salut. Nos bien-aimés les habitants de Créteil, Maisons et villages qui en dépendant, nous ont fait remontrer qu'ils sont obligés de fournir à leurs dépens toutes les pailles et litières nécessaires pour les chevaux de notre grande écurie, et de les conduire en quelque lieu que notre dite écurie soit commandée ... Pour les indemniser, il leur a été accordé l'exemption de tout port, péage, passage, barrage, travers pour eux leurs chevaux et voitures. »
On les exemptait en plus, de fournir des chevaux ou voitures pour l’armée et l'artillerie, de loger des troupes, et de tout impôt et taxes diverses. Ce qui n'empêche pas qu'à diverses reprises il soit constaté des dépenses occasionnées par l'hébergement de troupes ou de leur passage.
La commune compte 450 habitants en 1726 et 92 feux en 1745.
A Paris, le 1er avril 1885. Le ministre de l'Intérieur : « Signé : Jules Grévy », « Signé : Waldeck-Rousseau». La ligne de chemin de fer Paris-Lyon marquait la frontière entre les deux nouvelles communes.
Le 27 juin 1988 en début de soirée se produisait un tragique accident dans la gare de banlieue souterraine de Paris-Lyon faisant 56 morts et 57 blessés. Le train de banlieue à l'arrêt qui avait été percuté était un omnibus pour Melun (actuel RER D) desservant Maisons-Alfort. De ce fait de nombreuses victimes habitaient la ville, parmi lesquelles le conducteur du train. Cette tragédie causa une très grande émotion parmi les habitants de Maisons-Alfort.
Concernant les circonscriptions législatives, les maisonnais dépendent de la huitième circonscription du Val-de-Marne qui constitue l'une des 12 circonscriptions législatives françaises que compte le département du Val-de-Marne.
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du 29 mai 2005 , les maisonnais ont majoritairement voté pour la Constitution européenne, avec 51,48 % de Oui contre 48,52 % de Non avec un taux d’abstention de 29,65 % (France entière : Non à 54,67 % - Oui à 45,33 %). Ces chiffres ne sont pas conformes à la tendance nationale, celle-ci se trouvant en opposition.
Moers (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), le serment de jumelage a été signé le 16 avril 1966 par René Nectoux, maire de Maisons-Alfort, et Albin Neuse, bourgmestre de Moers .
Voici ci-dessous, un tableau démographique du XXe siècle sur la ville de Maisons-Alfort classé par date de recensement :
Le JCMA (Judo Club de Maisons-Alfort) est un des clubs de Judo les plus réputés au niveau français et même européen. Quatre médaillés olympiques ont été licenciés au JCMA : David Douillet, Patrick Vial, Christine Cicot et Christophe Gagliano. Le 16 octobre 1976, le JCMA remporte la Coupe d'Europe des Clubs Champions, c'est alors la première fois qu'un club français remporte une compétition européenne sénior de clubs champions, tous sports confondus.
Escrime
Le club d'Escrime de Maisons-Alfort, l'ASALF résulte de la fusion en 1977 de deux entités : la section escrime de l'ASA (Association Sportive Amicale) et La Française AC du célèbre maître Augustin Parent. Augustin Parent avait aménagé une piste d'escrime dans le grenier de son pavillon, rue de Mars à Maisons-Alfort (quartier des Planètes). Il a formé plusieurs grands champions d'escrime dont Jean-François Lamour et Hervé Granger-Veyron.
Il fut construit dans les Années 1930 à l'initiative de l'Office départemental d'habitations à bon marché (HBM). À l'époque où les familles vivaient dans une pièce unique, les 560 logements du square bénéficiaent d'une salle d'eau et d'une cuisine séparées de la pièce de vie. Il a fait l'objet de l'ouvrage Maisons-Alfort : square Dufourmantelle et école Jules ferry (CAUE 94, éd. CDDP 94, juin 2007). Il est inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques depuis le 29 mars 2007.
Les bords de Marne constituent depuis longtemps un lieu de promenade renommé, c'était notamment le cas à la fin du XIXe siècle et durant la première moitié du XXe, où les fameuses guinguettes, attractions incontournables à l'époque, attiraient de nombreux badauds. Les maisonnais aiment bien maintenir le souvenir de ces lieux de réjouissances.
Au XIXe siècle, le baron autrichien Max von Springer possédait une distillerie sur un terrain situé au centre de la ville. Il rapporta de Vienne l'idée d'extraire la Levure des moûts de fermentation des grains. En 1872, le baron construit la première fabrique française de levure de grains. L'usine de quinze hectares existe toujours. La société Fould-Springer est devenue Bio-Springer, filiale du groupe Lesaffre depuis 1972.
Les odeurs caractéristiques dégagées par les fabrications de l'usine ont pendant longtemps marqué plusieurs quartiers de Maisons-Alfort, en fonction de la direction des vents.
(搜索用时0.001秒)
©2001-2011 欧路软件(法语地带)鄂ICP备09036902号