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{{Infobox Commune de France
Mantes-la-Jolie est une commune française du département des Yvelines et de la région Île-de-France, chef-lieu de l'Arrondissement éponyme. C'est une ville moyenne industrielle, située sur la rive gauche de la Seine, à 53 km à l'ouest de Paris.
Les habitants en sont les Mantais.
Géographie
La commune de Mantes-la-Jolie est située au centre d'une agglomération d'environ 100 000 habitants. Son territoire englobe deux îles de la
Seine, l'île l'Aumône en totalité, et en partie l'île aux Dames, appelée aussi île de Limay. Elle est limitrophe de
Mantes-la-Ville et
Buchelay au sud, de
Rosny-sur-Seine à l'ouest et, séparées par la
Seine, de
Limay et Follainville-Dennemont, au nord.
Hydrographie
Deux cours d'eau sont à remarquer : la Seine, qui arrose la ville au nord-est, et la Vaucouleurs qui, si elle ne passe plus dans le territoire actuel de la commune, avait un bras détourné, le
Mauru, qui alimentait les
tanneries jusqu'au début du XX
e siècle, quand le bras reprit son cours naturel.
Climat
Le climat à Mantes-la-Jolie est un climat tempéré de type
océanique dégradé caractéristique de celui de l'Île-de-France. Les températures moyennes s'échelonnent entre 2 à 5 °C en
Hiver (janvier) et 14 à 25 °C en été (juillet). La
Pluviométrie moyenne, relativement basse, s'établit à environ 600 mm par an. Les mois les plus
pluvieux vont d'octobre à janvier.
Voies de communication
La commune est desservie par la
Route nationale 13 et par l'autoroute A13 qui passe à proximité immédiate.
Mantes-la-Jolie est un important carrefour ferroviaire, et dispose de deux gares :
Quatre lignes électrifiées desservent Mantes : Deux lignes vont en direction de Paris-Saint-Lazare, chacune passant par une rive de la Seine, et deux autres desservent la Haute et la Basse-Normandie. De plus, une liaison directe est assurée vers Paris-Montparnasse via Plaisir-Grignon par la ligne de la vallée de la Mauldre qui se raccorde à Épône. La ville est aussi desservie par le TGV Rouen - Lyon - Marseille.
Subdivisions de la commune
Bien qu'il n'y ait pas véritablement de division officielle, on distingue généralement, pour des raisons pratiques et historiques, le centre-ville, Gassicourt et le Val-Fourré en tant que secteurs de la ville, d'autant plus que chacun de ces secteurs dispose de services administratifs. Par ailleurs, le Val-Fourré, lors de sa construction, fut divisé en plusieurs quartiers dont les noms rendent hommage à des personnes célèbres, arrangées par thème : les peintres, les médecins, les explorateurs, les aviateurs, les musiciens, les inventeurs, les écrivains et les physiciens.
Lieux-dits
Il n'y a plus aujourd'hui à proprement parler de lieux-dits, ceux-ci ayant été absorbés par le tissu urbain. Cependant, on les retrouve encore généralement dans la toponymie :
- La Butte Verte
- La Cellophane : nouveau lieu-dit, nommé d'après une usine
- Chantecoq : territoire de Gassicourt
- Les Chats
- Les Coquilles (hautes et basses) : territoire de Gassicourt
- La Croix Blanche : territoire de Mantes-la-Ville
- La Croix Ferrée : territoire de Gassicourt
- Les Garennes : territoire de Gassicourt
- Les Martraits : territoire de Mantes-la-Ville
- Saint-Jacques (hauts et bas) : territoire de Mantes-la-Ville
- Saint Nicolas : territoire de Gassicourt
- Le Val Fourré : territoire de Gassicourt
- Les bords de Seine
Toponymie et étymologie
Le nom de « Mantes » viendrait d'un mot gaulois,
medunta, le
Chêne, encore que d'autres étymologies soient proposées. De nombreuses variantes du nom sont également attestées :
Medanta,
Medonta,
Medenta, plus des relatinisations tardives. Ce nom évolua en français sous la forme
Mante (avec nombre de variantes au Moyen Âge, dont
Maante, avec une
Diphtongue issue de la disparition du
d intervocalique du nom latin), puis progressivement Mantes à partir de la fin du XVII
e siècle, son nom devint sporadiquement Mantes-sur-Seine dès le XVII
e siècle, à l'époque du développement des services postaux, pour éviter toute confusion avec
Nantes. Suite à la fusion en 1930 de la ville avec le village de Gassicourt à l'ouest, ce nom devint Mantes-Gassicourt en
1930 (la conservation du nom de Gassicourt dans le nom fut une des conditions de la fusion). Elle a pris son nom actuel en
1953, en reprenant le qualificatif « la jolie », déjà officieusement donné depuis longtemps. Ce qualificatif est souvent - plaisamment - attribué à
Henri IV : Dans une lettre adressée à
Gabrielle d'Estrées, sa maîtresse, qui résidait à Mantes, le roi lui aurait écrit : «
je viens à Mantes, ma jolie ». Mais une autre hypothèse est que ce qualificatif viendrait du site exceptionnel où la ville a été bâtie, représenté par le cadre naturel de la vallée de la Seine.
Histoire
Sur le site de Mantes existait un port de pêche vers la fin du haut Moyen Âge, mais le nom de la ville plutôt gallo-romain, pourrait lui donner une fondation plus ancienne encore. Vers la fin de l'époque carolingienne, une motte fut établie à proximité afin de défendre l'accès à la Seine et la frontière avec le Vexin Normand. Autour de ce noyau se développa la ville et des édifices religieux.
La ville subit d'importants dommages en 1087 lors de l'attaque de Guillaume le Conquérant pendant sa campagne de représailles dans le Vexin français. Louis VI concéda ensuite à la ville le statut de commune par sa charte de 1110, qui lui octroyait des privilèges. Le roi Philippe Auguste y mourut le 14 juillet 1223.
En raison de son emplacement stratégique sur la Seine et à la frontière de la Normandie, Mantes représenta un enjeu majeur de la Guerre de Cent Ans et fut très convoitée par les Anglais, mais aussi par Charles le Mauvais et changea de maîtres à de nombreuses reprises. Après la Guerre de Cent Ans, elle connut une période de calme relatif. À la mort d'Henri III, et pendant les guerres de religion, Mantes fut partisane de la Ligue, mais fut prise par Henri IV, qui y installa son quartier général en vue de la conquête de Paris, qui eut lieu le 22 mars 1594. Par la suite, il vint régulièrement à Mantes passer d'agréables moments avec Gabrielle d'Estrées.
La ville de Mantes déclina au XVIIIe siècle, en raison d'un dépeuplement progressif du à la proximité de Versailles, des charges toujours plus lourdes représentées par le logement des troupes de passage, de la perte de la plupart des privilèges qui lui avaient été donnés par la charte de 1110, du désintérêt du roi pour une ville qui a perdu son importance stratégique, de la baisse des ventes du vin, première ressource de la ville...
À partir du XIXe siècle, la ville connut une expansion importante vers l'ouest, par l'annexion de territoires appartenant autrefois à Mantes-la-Ville, et des résidences cossues commencèrent à être bâties dans les nouveaux quartiers.
Au XXe siècle, la ville s'était tellement agrandie que l'on proposa de la fusionner avec le village de Gassicourt, ce qui fut fait en 1930.
En 1944 Mantes fut la cible de plusieurs vagues de bombardements qui firent plus de 450 morts. Celui du 30 mai, particulièrement violent, détruisit le pont ainsi que la majeure partie du coeur historique de la ville et ses hôtels du XVIe siècle. La ville a pour cela eu l'attribution de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de vermeil.
Culture et patrimoine
Patrimoine architectural
De par son histoire riche, Mantes possède un certain nombre de vestiges et édifices intéressants, même si la plus grande partie de ceux-ci ont disparu avec le temps.
Patrimoine religieux
- Collégiale Notre-Dame, église gothique des XIIe et XIIIe siècles, classée monument historique depuis 1840 ;
- La tour Saint-Maclou, datant du XVIe siècle, dernier vestige d'une église démolie en 1806.
- L'église Sainte-Anne de Gassicourt, église romane du XIe siècle.
Patrimoine civil
- La fontaine dite "Renaissance"
- La tour Saint-Martin, vestige des fortifications
- La porte au Prêtre, vestige des fortifications.
- La porte Chant à l'Oie, ou plutôt un vestige, faisant partie des anciennes fortifications
- Des hôtels particuliers
- Le Vieux Pont, dont l'origine remonte au XIIe siècle. À l'origine, il reliait la ville de Limay à Mantes, mais une partie fut démolie pour construire le pont Peronnet au XVIIIe siècle. Aujourd'hui, il n'en reste que quelques arches. Ce pont, classé monument historique depuis 1923, figure sur un tableau de Jean-Baptiste Camille Corot (Le pont de Mantes, Musée du Louvre).
OEuvres d'art diverses
- Un tableau de 1958 de Maurice Boitel a été laissé en dépôt par le Fonds national d'art contemporain (FNAC) et peut être vu à la sous-préfecture de Mantes-la-Jolie.
Patrimoine environnemental
- Square Gabrielle d'Estrée
- Square du château
- Square Brieussel
- Promenade de l'île aux Dames
- Réserve ornithologique de l'île l'Aumône
La ville participe au Concours des villes et villages fleuris et possède 3 fleurs en 2007.
Patrimoine culturel
- Musée de l'hôtel-Dieu (dépôt lapidaire, exposition de peintures)
- Cinémas : Méga-CGR, centre culturel le Chaplin
Artistes ayant représenté Mantes
Claude Chastillon, Johann Peeters, Joachim Duviert,
Adolphe Maugendre, Jean-Baptiste Corot...
Personnes célèbres
Qui y résidèrent
- Louis VI
- Louis VII
- Henri II d'Angleterre
- Blanche de Castille
- Marguerite de Provence
- Guillaume le Breton y fit une partie de ses études
- Saint Louis
- Marie de Brabant
- Saint Bonaventure
- Jeanne II de Navarre y passa son enfance et y épousa Philippe d'Évreux
- Charles II de Navarre la convoita et y résida à plusieurs reprises
- Louis XI
- Henri III
- Henri IV
- Gabrielle d'Estrées
- Diane de Poitiers en 1547
- Jean de Lancastre, duc de Bedford, y possédait un hôtel
- Michel de La Vigne, médecin
- François Quesnay, médecin, y commença sa carrière
- Jean-Baptiste Corot, peintre
- Charles Garnier, architecte
- Hélène Boucher, aviatrice
- Hassan el-Haski, terroriste
- Rachida Khalil, actrice
- Faudel, chanteur
- Sandy Casar, coureur cycliste, y vit toujours.
Qui y naquirent
Qui y moururent
Qui y combattirent
Qui furent influencées
Charles Aznavour, chanteur
Démographie
Évolution démographique (Source : Cassini et INSEE ") <nowiki /> |
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Histogramme (élaboration graphique par Wikipédia) Démographie pour le village de Gassicourt avant la fusion avec Mantes
Évolution démographique (Source : Cassini) <nowiki /> |
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Histogramme (élaboration graphique par Wikipédia) Économie
Centres commerciaux
- Le marché du centre-ville, ancienne tradition mantaise, se tient les mercredi et samedi matins sur la place du Marché au Blé et la place Saint-Maclou. Le marché couvert du Vieux Pilori vient le compléter.
- Le marché du Val-Fourré se tient le mardi et vendredi après-midi au centre commercial Mantes 2, véritable institution de la vie commerçante de la ville, inaugurée le Vendredi 4 Mars 1977 par le maire de l'époque Jean-Paul David.
- Les commerces sont très concentrés dans le centre-ville et l'on y trouve de nombreuses boutiques, mais aussi quelques supérettes et épiceries. En revanche, ils sont rares dans les zones urbanisées au XIXe siècle et au XXe siècle, à l'exception du Val Fourré et de son grand centre commercial, le pendant des commerces du centre-ville.
Urbanisme
Les premières opérations d'urbanisme à grande échelle se firent lors du percement de la rue Royale au XVIII
e siècle qui était le tronçon
intra muros de la grande route de
Paris à
Rouen. Le chantier fut considérable et nécessita la démolition de nombreuses maisons, car la route traversait en droite ligne la ville, depuis la porte de Rosny jusqu'à la Seine, donnant sur le pont Perronet.
L'urbanisme connut un renouveau après la seconde guerre mondiale. En effet, les bombardements de 1944 causèrent des dégâts considérables à une grande partie du centre historique. L'architecte Raymond Lopez, nommé architecte de la ville par Jean-Paul David (maire de 1947 à 1977), fut chargé de la phase de reconstruction. Après le déblaiement des ruines, il proposa un nouveau plan pour le centre-ville, basé sur ses conceptions de l'urbanisme.
Au début des années 1960, on procéda à l'assainissement des îlots insalubres situés en bord de Seine, dans le centre historique. Cet assainissement était envisagé déjà depuis les années 1920 mais n'avais jamais été mis à exécution. Le projet, réalisé en plusieurs tranches, amena la démolition totale du secteur connu sous le nom de « bas-quartiers », et le remplacement des îlots par des immeubles de plus grande taille disposés régulièrement.
Le Val-Fourré
Au même moment se posa le problème de l'accueil des populations ouvrières et il fut décidé d'utiliser les terrains de l'ancien aéroclub de Gassicourt au lieu-dit du
Val-Fourré, à l'ouest de la ville pour construire un important complexe de logements. Ce complexe fut divisé en plusieurs quartiers, dont les rues furent nommées d'après des explorateurs, des médecins, des écrivains, des musiciens et des peintres. Un grand centre commercial fut conçu en son milieu. Conçu à l'origine pour être un "Mantes 2", ce projet ne vit pas le jour sous sa forme initialement prévue. Il symbolise à lui seul les grands ensembles construits à partir des années 1960 en France.
Le quartier du Val-Fourré a compté jusqu'à 25.000 habitants avant les premières démolitions de tours entamées dès 1992, sous le mandat Paul Picard (maire de 1977 à 1995).
Une densification trop importante de logements dans sa partie Nord (Quartiers des Peintres, Médecins), un quartier excentré et mal relié au centre-ville, peu d'équipements publics en raison du dérapage financier de l'opération, la ghettoïsation des populations pauvres dans un parc constitué presque uniquement de logements sociaux sont autant de raisons ayant abouti à la dérive de ce quartier à partir de la fin des années 1970. Pauvreté économique, difficultés sociales et erreurs urbanistiques eurent comme conséquence les émeutes urbaines de 1991.
Dès 1992, Mantes-la-Jolie devient un site pilote de la politique de la ville. Dès lors, les quartiers du Val-Fourré bénéficient de fonds importants de l'État, puis de l'Europe avec la mise en place du Programme d'Initiative Communautaire Urban (PIC Urban). Ce programme vise, par diverses mesures, à favoriser le développement économique et social. Ainsi depuis 1992, les programmes successifs aboutirent à la démolition de treize tours d'habitation et de plusieurs immeubles en barres, soit environ 2.000 logements, afin de réduire la densité de ces quartiers.
- le 26 septembre 1992 : démolition des quatre tours des Écrivains, remplacées par une pépinière d'entreprise appelé Centre d'affaires Clemenceau,
- le 1er octobre 2000 : démolition des deux tours Millet, remplacées par le square des Peintres,
- le 1er juillet 2001 : démolition des deux tours Sully, remplacées par la Caisse primaire d'Assurance Maladie (CPAM),
- le 20 novembre 2005 : démolition des deux tours Ramon. Des logements sont en projet sur l'emplacement des deux tours.
- le 2 juillet 2006 : démolition des trois tours Degas. Un pôle nautique devrait voir le jour vers 2008 sur le site des trois tours.
Au début des années 2000 a commencé un vaste chantier sur l'ancienne zone d'activités commerciales Henri IV visant à démolir la totalité des entrepôts et autres bâtiments afin de construire un complexe immobilier de standing. Le projet, connu sous le nom du Domaine des bords de Seine, prévoyant à l'origine un certain nombre d'équipements et de logements, a rencontré un certain nombre de problèmes et de changements d'orientation, notamment la réduction du nombre d'équipements et l'augmentation du nombre de logements prévus. Ce projet est sujet à controverse, les opposants invoquant le grand nombre de logements en construction, le caractère répétitif de la construction, mais aussi l'absence de logements sociaux, ce qu'ils considèrent comme une volonté de changer l'électorat.
De nombreuses associations forment le paysage associatif mantais, quelques exemples :
L'ASM (Association Sportive Mantaise), créée en 1951 proposant de multiples activités sportives,le Collectif des aînés, association de promotion du 3e âge, les amenant a sortir de leur isolement et a participer a la vie sociale de la ville ou encore l'association Diam's Music créée en 2002, et qui propose aux jeunes de la ville une offre de loisirs axée sur les cultures urbaines (danse hip hop, chant rap, slam,théâtre, ou encore l'organisation de spectacles en lien avec des jeunes artistes de la scène locale)...
Vivre à Mantes-la-Jolie
Sport
Infrastructures : patinoire, piscine, bassin d'aviron, stades, salle de judo, terrains de football, de sport en salle… Le bassin d'aviron est internationalement reconnu et des championnats de zone et de France y sont régulièrement organisés.
Lieux de culte
- Église Notre-Dame (culte catholique)
- Église Sainte-Anne (culte catholique)
- Église Saint-Jean-Baptiste du Val-Fourré (culte catholique)
- Mosquée
- Église réformée
- Église Évangélique
- Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours
Administration
La ville a été
Sous-préfecture de
Seine-et-Oise de
1800 jusqu'à la création des
Yvelines, sauf entre
1926 et
1943.
Les maires de Mantes (la Jolie)
Établissements scolaires- Écoles maternelles : les Églantines, les Pervenches, les Tulipes, les Capucines, les Jonquilles, les Primevères, les Campanules, les Glycines, les Iris, les Anémones, les Coquelicots, les Lavandes, les Gentianes, les Violettes, les Mimosas, les Bleuets, les Clématites, les Pensées, les Roses, les Myosotis
- Écoles primaires : Henri Matisse, Jean Mermoz, Louis et Auguste Lumière, Hélène Boucher, Ferdinand Buisson, Jean Moulin, Gabrielle Colette, Louise de Vilmorin, Anna de Noailles, Pierre de Coubertin, Mme de Sévigné, Jacques Cousteau, Jean-Jacques Rousseau, Louis Lachenal, Jules Verne, Albert Uderzo, Notre-Dame (établissement privé), Marie Curie.
- Collèges : Paul Cézanne, André Chenier, Georges Clemenceau, Jules Ferry, Louis Pasteur, Gassicourt, Notre-Dame (établissement privé)
- Lycées : Saint-Exupéry, Jean Rostand, Notre-Dame (établissement privé)
- Enseignement supérieur : Institut universitaire technologique de Mantes en Yvelines, Classes Préparatoires aux Grandes Écoles au Lycée Saint-Exupéry, Institut de Formation en Soins Infirmiers, Institut des Sciences et Techniques des Yvelines, préparation aux Brevets de Technicien Supérieur aux lycées Saint-Exupéry et Jean Rostand, Centre de Formation d'Apprentis
JumelagesLe village de GassicourtGassicourt (en latin Wasi Cortis) était un village rural dont le territoire s'étendait à l'ouest du centre historique de Mantes. Galerie | Cliquez sur une vignette pour l'agrandir. |
<gallery perrow="5" > Image:Mantes-la-Jolie - Hôtel-Dieu01.jpg| L'Hôtel-Dieu (musée) Image:Mantes-la-Jolie - Palais de Justice01.jpg| Palais de Justice Image:Mantes-la-Jolie Collégiale01.jpg| La collégiale Image:Mantes-la-Jolie Val Fourré01.jpg| Le Val Fourré Image:Gare de Mantes-la-Jolie06.jpg| La gare Image:Mantes-la-Jolie - Église Sainte-Anne de Gassicourt06.jpg| Sainte-Anne de Gassicourt </gallery> Voir aussiArticles connexes- Communes des Yvelines
- Mantois
- Images de Mantes-la-Jolie
Bibliographie- Sylvie Bergougnoux, Hèlène François, Véronique Icole, Stéphanie Maquart, Gassicourt, identité d'un village des origines à 1930, Mantes-la-Jolie, 2002.
- Alain Erlande-Brandenburg (sous la direction de), Mantes médiévale, la collégiale au coeur de la ville, Mantes-la-Jolie, 2000.
- G.R.E.M., Mantes et Mantes-la-Ville de 1789 à nos jours, s.l., 1993.
- Jean-François Holvas, Véronique Icole, Antoinette Le Lièvre, Mantes-sur-Seine, une histoire d’eau du Moyen Âge à nos jours, Mantes-la-Jolie, 2005.
- Jean-François Holvas, Véronique Icole, Mantes au temps de Madame Campan, Ancien Régime, Révolution, Empire, Restauration, Mantes-la-Jolie, 2006.
- Véronique Icole, Hommage à Pierre Goujon, Mantes-la-Jolie, 2003.
- Marcel Lachiver, Histoire de Mantes et du Mantois à travers chroniques et mémoires des origines à 1792, Meulan, 1971.
- Eugène Saintier, Les fortifications de Mantes depuis l’origine jusqu’au XVIe siècle, Montligeon, 1925.
- La collégiale Notre Dame de Mantes la Jolie, Robert Bailly, édition financée par le conseil général des Yvelines et la ville de Mantes-la-Jolie, 1980.
- Notre Dame de Mantes la Jolie, Thomas Schwob et Cédric Sidobre, éditions Italique, 2007.
Liens externesSourcesNotes |