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Paul Thomas Anderson
{{Infobox Cinéma (personnalité)

Paul Thomas Anderson est un scénariste, réalisateur et producteur américain, né le 26 juin 1970 en Californie (États-Unis).

Biographie

Son Enfance

Fils d'un doubleur travaillant à Hollywood, Paul Thomas Anderson est un enfant turbulent d'une fratrie de sept. Il a ainsi fréquenté Buckley school (dont il sera exclu de son école pour s'être bagarré et ses mauvaises notes), Montclair college et Emerson. Il décide très tôt de devenir cinéaste. Néanmoins il refuse le chemin prévu dans une école de cinéma (la pourtant reconnue New York University School) pour préférer apprendre directement sur le terrain : il est en effet exclu rapidement de son école n'ayant pas payé les frais de scolarité investis dans un court-métrage qu'il réalise. Il commence à la télévision comme assistant de production sur des téléfilms et des jeux télévisés.

Ses débuts au cinéma

Dès 18 ans, il réalise un premier essai, the Dirk Diggler story. Si ce court-métrage est un premier essai, il en reprendra l'histoire dans une partie d'un film suivant Boogie Nights (1997), 9 ans plus tard, qui sera nominé pour l'oscar du meilleur scénario. Parallèlement à de l'assistanat sur des productions diverses (téléfilms, vidéoclips ...), il s'inscrit à l'Université de cinéma de New York. Au milieu de sa scolarité, il se retire pour garder ses fonds pour financer Cigarettes & Coffee, court-métrage qui sera remarqué dans des festivals et en particulier à celui de Sundance 1993. Cette histoire de personnages qui se croisent dans un café préfigure le thème de la rencontre et le style choral qu'il affectionnera par la suite. Cigarettes & Coffee va lui permettre d'obtenir le financement pour mettre en route son premier vrai film Sydney (1996), rebaptisé plus tard Hard Eight. C'est sous ce titre que le film est présenté et rencontre un succès d'estime au festival de Cannes (section parallèle)

La reconnaissance

Fort de ce succès et avec des moyens plus importants (un budget de 15 M$), il reprend le script de son premier court-métrage pour Boogie Nights. On commence alors à comparer son cinéma à celui de Martin Scorcese et Robert Altman. Si les critiques sont parfois sévères (on évoque la prétention et la plagiat), d'autres au contraire relève la naissance d'un futur grand cinéaste.

Ce succès lui permet d'enchainer rapidement avec un film sur lequel il a un grand contrôle tant pour le casting, la durée du film et le montage. Un peu plus de deux ans après Boogie Nights, sort Magnolia en décembre 1999 pour concourir aux Oscars avec la confiance de son distributeur. Le film n'est pas retenu dans les favoris, mais glane 3 nominations (Scénario, second rôle pour Tom Cruise et musique) non converties, l'Ours d'Or au festival de Berlin 2000 et surtout la reconnaissance de la profession et des critiques.

Un auteur

En 2002, il change de registre une nouvelle fois abandonnant le ton amer et le film chorale pour la comédie romantique déjantée, avec Punch-Drunk Love, avec Adam Sandler et Emily Watson. Chacun salue l'originalité de son ton et les surprises de sa mise en scène qui sont couronnées par le prix de la mise en scène au Festival de Cannes 2002. Mais le public ne suit pas totalement.

Il accroit son image d'éclectisme en décidant de se tourner, avec There Will Be Blood, vers un western moderne sur le pétrole. Il y consacre cinq ans de sa vie mais obtient en définitive un vrai succès public, des critiques excellentes et convergeantes ainsi que la reconnaissance de ses pairs (huit nominations aux Oscars - pour un Oscar du meilleur acteur - et une nomination par la Director Guild of America).

Les films

Hard Eight

Boogie nights

Boogie nights fait écho à un court-métrage que Paul thomas Anderson réalise à 17 ans : The Dirk Diggler Story, un documentaire fiction sur un acteur fictif de film X. filmé en vidéo, ce court-métrage est constitué de faux-interviews de personnages évoquant l'acteur. Le personnage de DIrk Diggler est directement inspiré de l'acteur John Holmes. Dirk Diggler est le pseudo que prend également le héros de Boogie nights. Il ne s'agit plus ici d'avoir le regard de plusieurs personnages pour avoir une idée kadéoloscopique d'un seul, mais de présenter plusieurs personnages pour donner une vision globale d'une communauté. Au-delà du monde qui y est présenté, il s'agit d'un film ambitieux dans le sens où il raconte à la fois une époque (1977/1984), un business et des destinées personnelles.

Le film sortit dans une version raccourcie de quelques 40 secondes pour obtenir un "restricted". Cela ne géna pas son accueil par le public et la critique. Le film reçu ainsi un accueil très positif et reçu quelques récompenses de premier plan (3 nominations aux Oscars et un prix du nouveau réalisateur par la Boston Society of Film Critics).

Magnolia

Punch-drunk love

Punch-Drunk Love est le troisième film de suite de son auteur dons l'action se passe dans la vallée de San Francisco. Sa durée (97 minutes) est nettement plus courte que le reste de sa filmographie. Il s'agit d'une comédie sentimentale narrant la rencontre d'un petit entrepreneur célibataire, timide et complexé avec une jeune femme mystérieuse.

Pour une comédie sentimentale, Paul Thomas Anderson utilise un ton innovant quelque peu onirique tant dans le forme que le fond de certaines scènes. La musique de Jon Brion est en accord avec les images pour créer un patchwork d'image ui restranscrivent plus la vision subjecive du héros que les images réalistes des films précédents de son réalisateur. A titre d'illustration, on citera la scène du baiser dont est tirée l'affiche du film avec ses figurants en ombres chinoises ou les interludes de couleurs ou encore l'apparition inexpliquée d'un harmonium.

A l'inverse, la manie du personnage à collectionner les bons de réduction s'inspire d'un fait réel relaté par le Time magazine (un ingénieur civil de Californie a acheté 12 150 produits pour une valeur totale de 3 000 $ lui permettant d'acquérir ainsi 1 250 000 miles sur une compagnie aérienne). De même, les sept soeurs du héros sont inspirées de sa propre famille : il a 2 frères et 4 soeurs.

A la sortie, les critiques ont rapproché le côté lunaire et décalé du héros au personnage de M. Hulot de Jacques Tati. Cela peut étonner dans une filmographie au contraire constituée de personnages réalistes et noirs. Dans ce film, on retrouve ce type de personnage pourtant dans celui interprété par Philip Seymour Hoffman. Autre lien avec un film précédent du réalisateur, la chambre d'hôtel à Hawaï est la même que celle citée par le patron de Buck dans Boogie Nights.

La critique a été globalement favorable avec un écho favorable sur la mise en scène et le ton novateur pour ce type de film. Si la majorité a totalement adhéré (L'Express, Le point, Le figaro, Le monde ...), certains ont trouvé que le film avait du mal à maintenir l'intérêt sur la durée (Télérama, Libération, L'humanité)ou qu'il n'allait pas assez loin dans la folie (Les Inrockuptibles, Les cahiers du cinéma).

There will be blood

Style et thèmes

Genre

Ses films chorales à multiples personnages et multiples intrigues (Boogie Nights et Magnolia) sont emblématiques du style qui l'a rendu célèbre. Son cinéma se caractérise pourtant par son approche de genre varié et de films qui se détachent nettement de cette image (There Will Be Blood, Sydney / Hard Eight).

Style

Il démontre à partir de son deuxième film une capacité à offrir un ton innovant et une mise en scène inventive dont Punch-Drunk Love est une bonne illustration dans le genre pourtant codé du film romantique. Il aime notamment les plan-séquences (les trois premières minutes de Boogie Nights par exemple) et les travelling bas, même si There Will Be Blood porte moins cette marque. Il aime également à jouer avec les sons et la musique. Sa façon de filmé est caractéristique d'un style personnel : travellings filmés très bas, zooms lents, symbiose image et musique.

Thèmes

Le thème de la relation familiale dans une famille (Magnolia, Punch-Drunk Love, There Will Be Blood) ou une communauté - qui représente une famille reconstituée - (Boogie Nights, Sydney) est au centre de ses thématiques. Il a également une attirance pour la description de la fatalité (à l'image du titre prophétique de There Will Be Blood) qui peut prendre une forme divine (Cf. les grenouilles à la fin de Magnolia). On note également une récurrence des événements extraordinaires volontairement inexpliqués et des héros désorientés dans un monde cruel

Les influences

L'influence de Jonathan Demme

Quand on demande à Paul Thomas Anderson sa plus grande influence, il répond Jonathan Demme. Il n'hésite pas non plus à le citer comme son réalisateur préféré.

Parmi les films qui ont inspiré Boogie Nights, il cite Melvin and Howard de Jonathan Demme. Il considère également que c'est notamment en voyant Le silence des agnaux qu'il a saisi le type de gros plan qu'il affectionne.

Jonathan Demme n'hésite pas a dire à l'inverse que Boogie Nights l'a influencé alors que son réalisateur indique l'avoir tourné en pensant au réalisateur du Silence des agneaux.

On notera qu'il a sollicité des acteurs comme Robert Ridgely et Jason Robards, habitués des castings de Jonathan Demme.

L'influence de Robert Altman

P.T. Anderson et Robert Altman ont un univers commun et une sensibilité qu’eux-mêmes reconnaissent proches. Mais leur propos connaît des différences profondes. Paul Thomas Anderson (PTA) était, après seulement quatre films, déjà considéré comme l’un des plus talentueux réalisateurs américains, dépassant le stade des talents prometteurs. Le prix de la mise en scène gagné avec Punch-Drunk Love à Cannes en 2002, deux ans après un Ours d’or à Berlin pour Magnolia, confirmait ce nouveau statut. Le cinéma de P.T. Anderson a lui-même déjà influencé bon nombre de jeunes cinéastes doués (à commencer par Richard Kelly et son Donnie Darko).

Il a aussi beaucoup impressionné un réalisateur bien installé et reconnu : Robert Altman qu'il a bien connu de 1998 à 2006.

Le respect entre les deux hommes est réel. P.T. Anderson, malgré un fort ego, revendique sa filiation avec Robert Altman (" Il n'y a pas moyen d'échapper à son influence. Il est l'une des meilleures choses qui soient arrivées au cinéma" - studio n°185 ; "A ce jour, je ne pense pas avoir encore digéré tout ce qu'il m'a appris" Ciné live 121 mars 2008). D’ailleurs, Magnolia est assurément à hommage à ses films polyphoniques : Nashville (1975), Un mariage (1978), The player (1992), Short cuts (1993) et Prêt-à-porter (1994). Boogie nights (1997) s’avère le M.A.S.H (1969) de P.T. Anderson, c’est-à-dire un regard ironique et cruel, 20 ans après, sur la nature humaine dans un environnement hostile (le ghetto du X des années 70 succédant à la guerre d’Indochine). Et Punch-Drunk Love reprend volontairement une chanson " He needs me " interprétée par Shelley Duvall dans Popeye (1980) de Robert Altman.

De son côté, Robert Altman affirmait en avril 2002 que les deux cinéastes américains qui lui semblaient les plus intéressants étaient Wes Anderson (La Famille Tenenbaum) et … Paul Thomas Anderson. La présence d’acteurs communs aux génériques de leurs films accentue la perception d’un univers très proche entre les deux auteurs : - Julianne Moore appartient à leurs deux univers (Cookies fortune et Short cuts pour l’un, Boogie nights et Magnolia pour l’autre) ; - Emily Watson a tourné Gosford park pendant le tournage de Punch-drunk love ; - Michael Murphy affiche dans sa filmographie Kansas city et Magnolia. - Philip Baker Hall fut un Nixon grotesque et pathétique dans Secret Honor(1984) et le présentateur vedette d'une émission de télévision dans Magnolia (1999).

En outre, si les deux hommes sont de deux générations très distinctes (Altman est né en 1925 dans le Missouri alors que P.T. Anderson est né à Los Angeles en 1970), ils partagent un goût commun pour un cinéma qui a quelque chose à dire sur le comportement humain. Chez eux, les héros n’ont pas grand chose d’héroïque (voire ce que deviennent les icônes : Buffalo Bill chez le grand Bob et Tom Cruise chez PTA). Mais le propos diffère significativement. Ainsi, autant Altman revendique haut et fort son regard féroce sur l’American way of life, autant PT Anderson est moins sévère ("Je suis sans doute stupide, mais je n’y ai jamais pensé consciemment … Au fond, cela reflète l'idée qu'il est difficile de vivre en Amérique si l'on a des opinions différentes. On peut s'y sentir très seul. Mais cela me plaît bien"). En effet, si l’auteur de M.A.S.H. s’intéresse aux moeurs de communautés pour les dénoncer, le réalisateur de Magnolia s’attarde sur les réactions individuelles, en particulier face à la solitude. Car bien qu'intégrés dans une communauté (la pègre dans Hard Eight, le milieu du cinéma pornographique dans Boogie nights, Los Angeles dans Magnolia et une famille nombreuse dans Punch-Drunk Love), les personnages de P.T. Anderson s’y sentent particulièrement seuls. Pour y remédier, P.T. Anderson propose des solutions, les meilleures (l’amour, la musique) comme les pires (le sexe, l’argent).

Contrairement au cinéma hollywoodien traditionnel, la famille n’est pas exposée comme une solution satisfaisante : la famille accroît encore davantage le sentiment de solitude. Face à ses sept soeurs et à leur mariage réussi, Barry Egan, le héros de Punch-drunk love, se sent isolé. De même, Magnolia est construit sur la difficulté de se construire seul par rapport à l’image du Père. Et déjà Hard Eight évoquait une relation paternelle sans avenir, qui se construisait entre le héros et un vieil escroc. Ironie, le troisième film de Wes Anderson, la famille Tennenbaum, est centré également autour d’une famille qui ne cesse d’imploser en réaction à l’attitude du père. Cette sensibilité différente est particulièrement perceptible dans une scène commune aux deux auteurs. Dans Short cuts et Punch-drunk love, une américaine occupée à des taches quotidiennes répond, à titre professionnel, à des hommes qui la sollicitent pour une communication de téléphone rose. Si la scène est franchement comique chez Altman (alors que le film est dramatique), les hommes qui appellent ne sont pas montrés et apparaissent comme des pervers. Au contraire, chez Anderson, bien qu’il s’agisse d’une comédie, on a une certaine compassion pour le héros qui appelle. Dans Docteur T et les femmes (2000), c’est au tour de Robert Altman de reprendre une idée de son jeune confrère. Le film s’achève par une pluie torrentielle qui tombe sur la Nouvelle Orléans, directement inspirée de la pluie de crapauds qui s'abattait sur Los Angeles à la fin de Magnolia, sorti un an plus tôt.

Ce rapprochement s'est concrétisé sur le dernier film de Robert Altman, The Last Show (2006), sur lequel Paul Thomas Anderson l'a secondé à la réalisation (en tant que "stand-by director", une obligation des assurances pour couvrir le film alors que Robert Altman était déjà malade). Un an après, sorti There Will Be Blood que Paul Thomas Anderson dédia à Robert Altman.

Les autres influences

Son cinéma se caractérise non seulement par une grande maîtrise de la mise en scène, mais aussi par la diversité des genres abordés puisque, comme un Stanley Kubrick, il aime à changer d'univers et de genre pour y apporter une vision originale et personnelle. C'est ce qu'il fait notamment dans son approche de la comédie romantique dans Punch-Drunk Love ou pour le western dans There Will Be Blood entre autres.

Outre l'influence de Robert Altman et de Jonathan Demme, ses films sont influencés par la mise en scène de divers auteurs : Martin Scorsese dans Boogie Nights, Jacques Tati et Fred Astaire dans Punch-Drunk Love. Il cite lui-même François Truffaut (pour l'aspect biographique et son amour des acteurs) et Max Ophuls (pour les mouvements de caméra). Pour There Will Be Blood, Paul Thomas Anderson cite lui-même Le Trésor de la Sierra Madre (1948) de John Huston qu'il a regardé de nombreuses fois avant de tourner. Daniel Day-Lewis, son acteur principal, évoque la tonalité de John Huston dans Chinatown qui l'a inspirée .

Anecdotes

  • Il est le plus jeune des six cinéastes phares repris dans l'ouvrage Les Six Samouraïs : Hollywood somnolait, ils l’ont réveillé ! de Sharon Waxman. A l'image de Steven Soderbergh, Quentin Tarantino, Spike Jonze, David O'Russell et David Fincher, ces auteurs, qui ne se sont pas formés dans des écoles de cinéma, mais en faisant des films, sont apparus dans les années 90 : "En transgressant toutes les règles, ces réalisateurs ont ouvert la voie à un style de montage en phase avec la nouvelle génération nourrie aux jeux vidéo" indique Sharon Waxman dans son livre.
  • Le rôle de réalisateur de secours sur The Last Show (2006) de Robert Altman n'est pas crédité au générique, mais est symbolisé par un "Special thanks to ..." dans le générique de fin.
  • Sa maison de production se nomme "Ghoulardi" en hommage au personnage de série B d'horreur que son père créa pour un feuilleton de la télévision de Cleveland.
  • Paul Thomas Anderson et la chanteuse Fiona Apple ont eu une relation pendant plusieurs années ; elle apparait à ce titre dans le making-of du DVD de Magnolia. Depuis, il vit à Los Angeles avec l'une des membre de l'équipe du Saturday Night Live show, Maya Rudolph avec qui il a une fille
  • Il aime tourner avec les mêmes comédiens. Les acteurs récurents de sa filmographie sont :
- Philip Baker Hall : Cigarettes & Coffee, Hard Eight, Boogie Nights, Magnolia - Philip Seymour Hoffman : Hard Eight, Boogie Nights, Magnolia, Punch-Drunk Love - John C. Reilly : Hard Eight, Boogie Nights, Magnolia - Melora Walters : Hard Eight, Boogie Nights, Magnolia - Luis Guzmán : Boogie Nights, Magnolia, Punch-Drunk Love - William H. Macy : Boogie Nights, Magnolia - Alfred Molina : Boogie Nights, Magnolia - Julianne Moore : Boogie Nights, Magnolia

There Will Be Blood se caractérise par l'absence de tous ses acteurs à son casting.

  • Network est l'un de ses films préférés.

Filmographie

Court métrages

  • 2002 : Couch
  • 1988 : The Dirk Diggler Story
  • 1993 : Cigarettes & Coffee

Longs métrages

Clips

Succès au box-office

  • en France

TitreDate de sortie FranceNb. entrées
Boogie Nights, 18 mars 1998161 124
Magnolia, 1er mars 2000333 292
Punch-Drunk Love.22 janvier 2003326 742
There Will Be Blood27 février 2008586 409

  • aux Etats-Unis

TitreDate de sortie USRecettes au BO US
Sydney / Hard Eight28 février 1997222 559 $
Boogie Nights10 octobre 199926 400 640 $
Magnolia17 décembre 199922 455 976 $
Punch-Drunk Love11 octobre 200217 844 216 $
There Will Be Blood26 décembre 200740 222 514 $

Récompenses

Oscars:
  • 1997: Meilleur scénario original (Boogie Nights, nominé)
  • 1999: Meilleur scénario original(Magnolia, nominé)
  • 2007: Best Director (There Will Be Blood, nominé)
  • 2007: Meilleur film (There Will Be Blood, nominé)
  • 2007: Meilleur scénario adapté(There Will Be Blood, nominé)

Bafta:

  • 1997: Meilleur scénario original (Boogie Nights, nominé)
  • 2007: Meilleur réalisateur (There Will Be Blood, nominé)
  • 2007: Meilleur film (There Will Be Blood, nominé)
  • 2007: Meilleur scénario adapté(There Will Be Blood, nominé)

Berlinale:

  • 2000: Ours d'or (Magnolia, gagnant)
  • 2008: Meilleur réalisateur (There Will Be Blood, gagnant)
  • 2008: Ours d'or (There Will Be Blood, nominé)

Festival de Cannes:

  • 2002: Meilleur réalisateur (Punch-Drunk Love, gagnant)
  • 2002: Palme d'or (Punch-Drunk Love, nominé)

Directors Guild of America:

  • 2007: Meilleur réalisateur (There Will Be Blood, nominé)

Writers Guild of America:

  • 1997: Meilleur scénario original (Boogie Nights, nominé)
  • 1999: Meilleur scénario original (Magnolia, nominé)
  • 2007: Meilleur scénario original (There Will Be Blood, nominé)

Références

Liens externes


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