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La Poche de Falaise ou Poche de Chambois - Mont-Ormel ou encore Poche de Falaise-Chambois, fut la dernière opération de la bataille de Normandie pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle s'est déroulée du 12 au 21 août 1944 dans une zone située entre les quatre villes normandes de Trun, Argentan, Vimoutiers et Chambois pour s'achever près de Falaise.
La bataille de la poche de Falaise est une victoire stratégique pour les Alliés. Confinés en Normandie pendant deux mois, ils projettent enfin leurs forces dans tout le nord de la France, et manquent de peu l'encerclement de deux armées allemandes avec leurs dizaines de divisions.
En cela la victoire est mitigée et a occasionné une controverse entre Américains et Britanniques qui perdure encore aujourd'hui.
Après le débarquement de Normandie du 6 juin 1944 , la guerre s'enlise côté américain devant Saint-Lô dans la Bataille des Haies, et dans la Bataille de Caen côté Anglo-Canadien; la progression est difficile vers Falaise. Le maréchal Bernard Montgomery se bat avec une armée anglo-canadienne à coup d'opérations limitées et violentes. Faisant face à la majorité des moyens blindés de la Wehrmacht, sur un terrain (de bocages normands) défavorable à l'offensive motorisée, la progression britannique est lente et coûteuse.
L'Opération Cobra du 25 juillet 1944 , coup de tonnerre planifié par le général Omar Bradley, libère soudainement toute la 3e armée du général Patton après cinquante jours de petites avancées. Le 1er août 1944 la percée d'Avranches permet le jaillissement des divisions américaines vers la Bretagne, seconde étape du plan Overlord. Il devient vite évident que, devant la faiblesse de la 7e armée allemande, une occasion unique se présente d'asséner un coup massif à la Wehrmacht. Une réunion entre Bradley et Montgomery, le 2 août 1944 , parvient à la conclusion qu'un seul corps d'armée américain, avec le concours de la Résistance française, serait suffisant pour nettoyer la Bretagne. D'autre part, on décide que le général Patton devrait s'assurer les passages de la Loire au sud, « et se tenir prêt à se lancer vers l'est (Paris) avec de puissantes forces blindées et motorisées ».
Contre toute logique militaire, plutôt que de se replier en ordre sur les coupures fluviales après la percée américaine, Adolf Hitler imagine une offensive sur Mortain. Il pousse en effet l'armée allemande vers la destruction. Le Führer a pris personnellement en charge les opérations militaires à l'Ouest depuis l'attentat du 20 juillet 1944, car il a perdu toute confiance dans les militaires de ses états-majors. Il n'écoute plus aucun avis, ni mise en garde. C'est donc un plan complet de la main d'Hitler qui est adressé au maréchal von Kluge. La contre-attaque de Mortain, lancée le 7 août 1944 est un échec cuisant pour les Allemands, qui laissent une partie de leurs forces très dangereusement en pointe.
Jusqu'alors, l'ensemble des opérations terrestres avaient été prises en main par le général Bernard Montgomery, chef du 21e groupe d'armées. Eisenhower crée le 12e groupe d'armées et met à sa tête le général Omar Bradley, jusqu'ici chef de la 1re armée américaine. Courtney Hodges est nommé commandant de la 1re armée américaine. Montgomery reste commandant en chef des forces terrestres, mais le général Dwight Eisenhower s'apprête à prendre sa place, afin d'être en position d'arbitre des deux commandants de groupe d'armées. Enfin, le débarquement de la 4e division blindée canadienne permet aux Canadiens de gagner leur autonomie par la création d'une armée forte de deux corps d'armée, dont un canadien à deux divisions blindées et deux divisions d'infanterie.
Autre personnage, le général Heinrich Eberbach est en charge de la 5e armée blindée. Il fait face aux Anglo-Canadiens, qui pressent pour capturer Falaise.
En opposition aux ordres reçus, il refuse de libérer trois divisions de panzers pour la contre-attaque de Mortain, considérant comme imminente l'attaque contre ses propres positions. Dès avant la fin de la contre-attaque allemande sur Avranches, l'Opération Totalize démarre face à ses troupes, lui donnant raison après-coup. Mais ce refus d'obtempérer l'amène à la disgrâce aux yeux d'Hitler, qui le relègue au commandement d'un corps d'armée blindé (Panzergruppe Eberbach). Le général SS Sepp Dietrich le remplace à la tête de la 5e armée blindée. Le général SS Paul Hausser commande de son côté la 7e armée allemande au grade d’Oberstgruppenführer (Général de corps d'armée). Premier général de la Waffen-SS à commander une armée, il est haï par le haut commandement du fait de sa promotion trop rapide. Son armée est littéralement vaporisée par l'Opération Cobra, qui le laisse avec des restes de divisions à gérer. En résumé, le commandement en chef est donc confié à un fidèle d'Hitler en plein milieu de la bataille, le général Model, et les deux armées sous son autorité, à deux généraux de la Waffen-SS, signe clair de la défiance d'Hitler envers la Wehrmacht.
Bien que très fortement entamées par la guerre d'usure qu'elles viennent de subir, les troupes alliées restent quasiment à 100% de leur capacité grâce à la puissance du système de ravitaillement allié. Le moral est très haut depuis la victoire de Patton et son échappée en Bretagne. Le soldat allié sent que la victoire décisive est à portée. Les forces alliées totalisent ainsi 37 divisions dont 11 blindées, ou près de 600 000 hommes et 3 500 chars, y compris les unités rattachées (brigades et bataillons divers). La supériorité numérique alliée est donc totale, sur terre comme dans les airs.
Cela dit, la force allemande de Normandie encore en place début août 1944 reste une puissance respectable, encore correctement équipée en blindés et moyens antichars, dont environ 100 canons de 88 mm et 75 mm devant Falaise. L'armée allemande pèche encore et toujours sur le plan logistique, avec une capacité faible d'approvisionnement en munitions et une incapacité quasi complète à remplacer les pertes en hommes et matériels. Le moral des soldats allemands de cette période de la guerre était en général faible, encore amoindri par l'échec de la contre-attaque de Mortain. Certaines unités connaissent même des redditions massives pendant la progression rapide des américains après la percée d'Avranches.
Seules quelques unités fanatiques de la Waffen SS ont une capacité de rétablissement moral leur permettant de contre-attaquer efficacement. L'articulation de l'armée allemande est la suivante :
Ainsi, sur le papier, la Wehrmacht aligne 28 divisions dont 10 blindées, mais on sait qu'il ne s'agit plus, dans la plupart des cas, que de débris. On estime qu'elle n'est forte qu'au maximum de 250 000 hommes et 250 chars pour faire face aux Alliés dans cette ultime bataille en Normandie.
Le haut commandement allié est pris dans le dilemme classique d'une armée qui perce subitement un front fixe : exploiter ou encercler ? Le commandement allemand avait connu cette expérience difficile sur le Front de l'Est, notamment en 1941, en choisissant l'encerclement au détriment de l'exploitation lointaine. C'est un casse-tête car un général ne dispose en effet jamais de suffisamment d'effectifs pour atteindre les deux objectifs simultanément (encerclement et poursuite). Le premier réflexe du commandement allié est d'exploiter, puisque la 3e Armée américaine du général Patton lance déjà des pointes en Bretagne puis aussi vers le Mans. Aussi, les informations reçues à la fois d'Ultra et de la reconnaissance aérienne occasionnent un changement de plans. Un consensus émerge rapidement au sein du haut commandement allié afin d'envisager l'encerclement des forces allemandes situées à l'ouest de la Dives.
Afin de poursuivre l'offensive, le général Montgomery a pour ambition de rouler vers la Seine, via un très large encerclement. Le 10 août, il expose son plan à Bradley et Eisenhower, mais la décision est prise de réaliser un mouvement en pinces vers Argentan et Falaise. Le vainqueur d'El Alamein met immédiatement au point une nouvelle opération, baptisée Tractable, dont le départ est prévu le 14 août. L'objectif est de s'emparer de Falaise le plus vite possible afin de couper les routes de retraite allemandes. L'objectif secondaire doit permettre de gagner les passages sur la Dives afin d'empêcher tout reflux allemand vers la Seine. Le commandement anglo-canadien a désormais de bonnes chances de réussite, puisque le front allemand devant lui est dégarni au profit des secteurs qui font face aux Américains.
Le général Bradley, que le contexte politique des offensives inquiète, respecte une certaine délimitation du terrain d'attaque. Il craint une collision meurtrière entre les Canadiens qui avancent via un axe nord-sud, et les troupes du général Haislip. Les forces américaines ne doivent donc pas dépasser une position située un peu au nord d'Argentan.
Le 13 août, la 2e division blindée allemande se met en marche sur deux colonnes vers le sud. Mais en raison de la couverture aérienne alliée, elle n'atteint pas ses objectifs. Elle se retrouve en pointe à Rânes le 14 août et perd le contact avec le groupement blindé Eberbach, sans avoir menacé en quoi que ce soit la progression alliée. Le groupement blindé Eberbach se replie dès lors sur Argentan afin de défendre la ville.
Patton décide d'engager le XXe corps d'armée américain à droite du XVe corps, afin de couvrir le flanc droit de l'attaque. À cette fin, la 80e DI américaine est poussée vers Bourg-Saint-Léonard. Au même moment, les Ve, VIIe et XIXe corps américains solidifient leurs fronts afin de repousser uniformément les Allemands vers le fond de la poche. Sans en référer au général Montgomery, le général Bradley arrête ses troupes juste au sud d'Argentan le 13 août, au moment où elles allaient se jeter sur la ville pratiquement sans défenses. Considérant que l'ennemi est très faible entre la Dives et la Seine, et qu'une bonne partie des Allemands a réussi à s'enfuir, il souhaite consacrer une part du XVe corps américain à une progression plein Est avec Dreux pour objectif primaire. Cette division des forces va avoir des conséquences funestes sur le plan initial et la fermeture de la poche.
Le 16 août, la 2e division d'infanterie canadienne attaque brusquement Falaise par l'ouest et surprend la petite garnison allemande. Au soir, toute la ville est aux mains des Canadiens, à l'exception de l'École normale qui ne cède que le lendemain du fait de la résistance acharnée de cinquante Hitlerjungend fanatisés, seuls trois survivants sont capturés. Comme la situation est favorable, le général Simmonds décide que la 4e division blindée a désormais Trun pour objectif, en conjonction avec les Polonais. Le général Crerar ordonne son Ier corps vers Lisieux tout en le renforçant de la 7e division blindée britannique.
Les deux pinces de la tenaille alliée ne sont plus désormais séparées que par 19 kilomètres.
Cette journée a été la plus atroce de ma vie. Adolf Hitler
S'exprimant le soir du 15 août 1944 en conférence avec ses officiers, le Führer a vu tous ses ordres de la journée contrariés par les événements, les uns après les autres. La grande affaire du jour avait été le début de l'opération Anvil-Dragoon, le débarquement de Provence dans le sud de la France. L'ouverture d'un troisième front à l'ouest marque un tournant dans la Bataille de France. Ce même jour, les mauvaises nouvelles du front normand n'ont cessé de s'accumuler. Les jours précédents, l'ensemble de la 7e armée se trouvait encore à l'ouest de l'Orne avec les restes d'une quinzaine de divisions. Hitler espérait encore contre-attaquer une nouvelle fois en direction d'Avranches. Il refusait jour après jour toutes les demandes de repli. Mais comment admettre qu'une contre attaque de vingt divisions soit lancée à nouveau, alors que loin derrière, "l'ennemi s'affaire à nouer le noeud coulant avec lequel il va l'étrangler" ? Finalement en fin de journée, Hitler renonce à cette opération sans espoir de succès, et accepte, sous la pression des événements, de replier ses troupes derrière l'Orne. Mais n'est-il pas trop tard ?
Le 16 août, le général von Kluge, juste avant son départ, donne l'ordre de retraite générale à la 7e armée. Dès son arrivée, le maréchal Model confirme immédiatement l'ordre de son prédécesseur, et le complète en incluant le groupement blindé Eberbach. La situation dans la poche devient difficile du fait de la raréfaction des voies de retraite. Seuls quatre ponts restent accessibles pour le franchissement de l'Orne. Cette concentration de colonnes est un bienfait pour l'aviation alliée qui se jette sur ces cibles faciles. Rappelons que la grande majorité des moyens de transport allemands de cette époque est encore largement hippomobile. Les chevaux sont victimes de ces combats et leurs cadavres remplissent littéralement certaines zones des combats. Les rares forces encore actives à la disposition du général Hausser effectuent quelques combats de retardement qui permettent de contenir les Américains au sud. La situation est bien plus grave face aux Canadiens.
Le 16 août, le maréchal Montgomery appelle le général Bradley pour lui proposer que les canadiens et les américains se rencontrent sur une zone entre Trun et Chambois. Immédiatement, Patton donne l'ordre aux 80e et 90e divisions d'attaquer entre Argentan et le Bourg-Saint-Léonard en direction de Chambois afin de couper la route de Falaise à Gacé. Mais la résistance acharnée des débris de la 116e division blindée allemande met en échec l'action de la 90e division américaine. Ce qui permet aux Allemands d'évacuer plusieurs unités tout au long de la nuit du 16 au 17 août 1944 .
Au nord, la 1re armée canadienne repasse à l'attaque le 17 août. La 4e DB canadienne et la 1re DB polonaise sectionnent la 21e division blindée allemande, et foncent droit devant en direction de Trun par un large mouvement tournant qui prend les Allemands par surprise. Malgré la violence de l'attaque et la détermination des troupes alliées, Trun résiste encore une journée.
Le 18 août, le maréchal Model, nouveau commandant en chef à l'ouest, prévoit une contre-attaque du IIe corps blindé SS depuis Vimoutiers vers Trun. Ceci pour laisser encore une porte de sortie au maximum d'unités allemandes encerclées.
Pendant ce temps, les Canadiens investissent Trun. Un détachement du Régiment des Argyll & Sutherland Highlanders of Canada de la 4e division blindée canadienne, parvient à prendre pied à Saint-Lambert-sur-Dive plus au sud, à mi chemin entre Trun et Chambois. Les Canadiens peuvent dès lors, observer les mouvements de retraite allemands sur l'une des dernières routes encore ouverte. Cette route passe sous les feux de l'artillerie canadienne et de l'aviation, qui réalisent un carnage. Il reste encore à ce moment les débris de 20 divisions allemandes dans la poche.
Le 19 août, une partie de la 1re division blindée polonaise du général Stanislas Maczek occupe Mont-Ormel, la très importante cote 262, qui commande l'ensemble du secteur. L'objectif de l'autre partie de sa division est Chambois, afin de fermer la poche une bonne fois pour toutes. Les combats sont très meurtriers, le village étant attaqué sur trois côtés. Mais les Allemands réussissent à résister une partie de la journée. Le village est attaqué une nouvelle fois par le sud, par des éléments de la 90e division d'infanterie américaine épaulés par le groupement tactique Langlade de la 2e DB française. La résistance allemande cède en fin d'après-midi, et les deux armées alliées font enfin leur jonction. Les Polonais et les Américains ont réussi à éviter toute méprise et tombent dans les bras les uns des autres. Mais la poche n'est pas encore hermétiquement close.
Le 21 août, le sort en est bien jeté. Les unités allemandes encore en état à l'extérieur de la poche de Falaise font mouvement de retraite vers la Seine, dont certains passages en amont et en aval de Paris sont déjà occupés par les pointes motorisées alliées. Celles qui restent à l'intérieur n'ont plus d'autre solution que de se rendre en masse aux Alliés.
En trois semaines de combats depuis la percée d'Avranches, les données de la bataille de France ont totalement changé. Les Alliés reprennent l'initiative, et les Allemands, bousculés, ne sont plus en mesure d'opposer une quelconque résistance organisée.
Une victoire rapide des Alliés en Europe semble possible.
La poche pouvait-elle être fermée plus tôt ? Oui, disent les historiens pratiquement à l'unanimité. Et les mêmes sont dubitatifs quant aux causes de cette incapacité. Il y a eu ici une défaillance, un moment de doute, que les Allemands ont utilisé à leur avantage.
D'une manière générale, les Alliés semblent avoir surestimé la puissance de leur aviation d'appui au sol. Certes, elle est responsable d'une forte proportion des pertes allemandes de la poche, mais n'a pu empêcher l'évacuation des armées allemandes.
Globalement, deux tiers de la VIIe armée sont parvenus à sortir de la nasse, même si une bonne partie de l'armement lourd et des véhicules a dû être abandonnée.
Certains auteurs ont pu contester ces chiffres, jugés bas. Mais la résistance ultérieure des Allemands, et la contre attaque des Ardennes ont montré que les Allemands avaient pu extraire une bonne partie de leurs unités, et surtout de leur encadrement. Seul un cinquième des commandants de corps et généraux de division ont en effet été capturés.
Les Canadiens enregistrèrent le plus lourd tribut allié avec près de 18,000 pertes. Les Polonais ont été très éprouvés dans cette bataille avec 1,500 pertes pour la seule 1re division blindée. D'une manière générale, les forces américaines ont eu des pertes mineures, n'ayant pas porté l'effort principal de la bataille.
Nombreux sont les historiens qui stigmatisent cette attitude du général américain, considérant que les Alliés ont manqué une occasion importante de capturer l'intégralité des armées allemandes coincées dans la poche. D'autant qu'une vision plus large des choses, avec l'adoption du plan Montgomery d'encerclement sur la Seine, avait de réelles chances de succès. La responsabilité américaine semble ici nettement engagée.
De leur côté, les défenseurs de Leclerc affirment que c'est la division des forces du XVe corps qui a empêché la capture d'Argentan et la fermeture rapide de la poche, et non pas la prétendue mollesse d'une seule division.
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